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    Oxygène
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    3,0
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    295 critiques spectateurs

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    FaRem
    FaRem

    8 598 abonnés 9 502 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 mai 2021
    "Oxygène" est un huis clos à la "Buried" ou "Brake" avec une personne qui se réveille enfermée dans un espace clos extrêmement réduit. Ici, il ne s'agit pas d'un cercueil ou d'un coffre de voiture, mais d'un caisson cryogénique. On suit Liz qui est paniquée lorsqu'elle découvre qu'elle est enfermée dans cette caisse sans savoir pourquoi. Elle va tenter de s'échapper et de comprendre les raisons de sa présence dans cette boite. "Oxygène" est un film minimaliste qui se déroule quasiment en temps réel alors que les réserves d'oxygène s'épuisent peu à peu. Une course contre la montre en gros, mais qui n'amène pas pour autant son lot de tension comme dans les films cités plus haut. Le mystère entourant l'identité de Liz et sa présence dans le caisson donne un certain intérêt à l'histoire seulement, le film souffre de nombreuses longueurs. La deuxième partie est mieux avec l'histoire qui révèle des éléments assez intéressants, mais le problème reste le même avec beaucoup trop de longueurs. Il faut savoir que "Oxygène" est plus un drame sur des thèmes bien précis que l'on découvre au fur et à mesure qu'un thriller intense et anxiogène. À ce niveau-là, c'est même le calme plat, ce qui est vraiment décevant. Au final, c'est un film moyen qui ne manque pas d'idées, mais qui manque de rythme et de tension.
    Grandnico
    Grandnico

    9 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 mai 2021
    Comme Locque avec Tom Hardy ou Burried avec Ryan Reynolds, oxygène est un film "à concept" ou le personnage principal est seul, coincé dans un même espace tout au long du film. Ce dernier nous livre ou découvre des éléments de l'intrigue au fur et à mesure.

    Mais oxygène souffre d'un problème de rythme. Après une première partie assez lente, le film emprunte un chemin certes étonnant mais qui peine à tenir sur la longueur.

    Mélanie Laurent n'est pas en cause ,l'actrice s'en sort très bien jusqu'à la fin. Mais sans arriver à sauver le rythme du long métrage.
    Oxygène est trop sur de son scénario ( présent sur la célèbre black list, des meilleurs scenars d'Hollywood ) mais avec un montage trop généreux, le film frôle plusieurs fois l'ennui a vouloir trop miser sur son atmosphèr lancinante.
    Agnes L.
    Agnes L.

    165 abonnés 1 625 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 9 juillet 2021
    Globalement, le film est d'un ennui mortel. Quand l'ordinateur du caisson demande à plusieurs reprises « aimeriez-vous un sédatif ? », on a vraiment envie de lui répondre « oui » pour que ça passe plus vite. C'est surtout la première demi-heure qui est assommante. Ensuite, il y a quelques effets spéciaux qui ne sont pas trop mal. Le jeu de l'actrice n'est pas du tout en cause, c'est juste que le scénario est un peu trop limite pour garder le spectateur en éveil.
    Jeromz Q
    Jeromz Q

    1 abonné 6 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 mai 2021
    Un huit clos qui nous laisse dans une tension omniprésente avec des rebondissements.
    On ne doute pas une seconde de la finalite de l 'histoire...rien est prévisible ce qui m' a permis de tenir tout le long du film dans un cadre unique et anxiogene.
    ConFucAmuS
    ConFucAmuS

    526 abonnés 951 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 novembre 2021
    Belle surprise de l'été 2019, Crawl était une offrande à un spectateur en mal de sensations fortes et un pur exercice de style transformé par Alexandre Aja. Le cinéaste hexagonal contournait les difficultés d'une série B modeste (budget de 17 millions de dollars) en misant essentiellement sur un jeu de panique à domicile, transformant le cocon familial en piège à rat sur plusieurs étages. Le succès critique et public en poche, Aja décide de pousser le bouchon encore plus loin avec un autre film-concept.
    Oxygène limite son décor à un caisson cryogénique et un seul personnage comme relais, alors que le danger est aussi prégnant que mystérieux. D'aucuns diraient que niveau contrainte on est un cran au dessus de la précédente chasse à l'alligator et c'est vrai. Tant mieux puisque visiblement c'est dans un bocal on ne peut plus exigu que le français se sent comme un poisson dans l'eau. Contrairement à ce qu'induit sa nature de thriller S.F en huis-clos, la caméra est constamment sur le qui-vive, fourmillant d'idées pour traduire l'étourdissement, la panique et l'enfermement que subit l'héroïne (Mélanie Laurent, très convaincante). Par un simple panoramique continu, le jeu sur les perspectives étriquées ou un cadre resserré sur le visage d'une souris humaine perdue dans un labyrinthe mental. Souvenirs, informations ou interactions deviennent autant de moyens de libération potentiels que de verrous supplémentaires à ce sarcophage technologique. L'effet d'oppression est percutant (imaginez un mix entre Gravity et Memento) , je n'ose imaginer les sueurs froides qu'un tel dispositif aurait créé sur grand écran.
    Oxygène se montre moins assuré quand il faut développer son univers puisqu'il substitue une narration basique à l'aspect sensoriel qui fonctionne à plein tube. Les rebondissements sans être trop prévisibles sont parfois appuyés lourdement. Les indices et fausses pistes ont beau se multiplier, le territoire est assez banal sur le long terme. Le fait d'expliciter certaines choses ont tendance à amoindrir leur force, ce qui est dommage car plusieurs retournements prêtaient le flanc à une vraie surprise. Comme pour Crawl, Aja est apparemment moins à l'aise quand le récit emprunte une voie plus terre-à-terre. Il était a contrario plus inspiré (et proche d'un The Guilty par exemple) dans sa première heure, en jouant des ambigüités sur les échanges entre Mélanie Laurent et son formidable casting vocal (Éric Herson-Macarel, Mathieu Amalric ou Cathy Cerda). Toujours plus aisé de poser les questions que d'y répondre.
    Ces anicroches laissées de côté, on est pas loin de rester près de 100 minutes en apnée. La mise en scène inventive ne laisse presque aucun moment de répit, attisant la curiosité sur ce que pourrait être le prochain défi de son chef d'orchestre. Si je vois mal comment il pourrait se rajouter encore plus de barrières, il serait intéressant de le retrouver avec un projet à contre-courant de ses expérimentations en lieu clos. Quelque chose me dit qu'il n'a pas l'intention de nous déconfiner de sitôt. Pour le coup, ça me va plutôt bien.
    Cinememories
    Cinememories

    481 abonnés 1 465 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 juin 2021
    Depuis « Haute Tension » et du fabuleux remake de « La Colline a des Yeux », Alexandre Aja continue d’explorer le versant claustrophobique de son cinéma. Mais pas question de nager avec du reptile cette fois-ci. Après avoir récupéré le projet, le scénario en veille de Christie LeBlanc et la mise en scène début 2020, le cinéaste a pour ambition de ne pas plier aux comparaisons faciles et trompeuses de ses prédécesseurs, en pensant astucieusement à « Buried ». Il n’en est rien, à commencer par le détournement d’un caisson de cryogénisation, censé maintenir en vie, mais dont le paradoxe le transforme en un cercueil high-tech et interactif. Il y a donc autant de câbles et de ficelles à tirer dans un contexte aussi limité, où l’identité de la prisonnière, ses souvenirs et les raisons de sa présence demeurent dans une réflexion métaphysique et éthique.

    Mais ne nous voilons pas la face, car le thriller constitue le noyau de l’œuvre et les codes de science-fiction ne font que graviter autour de celui-ci. De cette manière, la structure narrative prend la forme d’un cercle parfait, à l’image d’une caméra pivotante ou de l’intelligence artificielle M.I.L.O, doublé par Mathieu Amalric. Il rôde dans le visuel et l’esprit d’Elizabeth, angoissée de comprendre qu’elle n’en a plus pour longtemps à vivre. L’instinct de survie prend le dessus, c’est humain, et Mélanie Laurent incarne sans défaut toute la détresse émotionnelle d’une femme, isolée et conditionnée dans le secret. De jeu vaut véritablement un détour, grâce au rythme endiablé de l’intrigue, qui ne freine jamais ses envies et n’hésite pas une seconde pour inspirer un bon coup avant de rebondir sur de nouvelles perspectives. La force du récit réside dans ce renouvellement d’enjeux, qui perd inévitablement en pertinence claustrophobique passé un moment, car l’intervention de flashback ou caractériser l’hallucination devient un objet d’étude à part entière. Mais la vitalité de la patience et du spectateur restera au cœur de l’expérience d’un Aja raffiné.

    La quête de vérité correspond à la thématique d’une vie, dont on prend soin d’assimiler l’environnement embryonnaire du caisson à la maternité. Un sentiment de régression du personnage la ramène à raisonner et à douter de ses interlocuteurs, dans le bon sens. La confrontation d’Elizabeth lui permettra de générer les stimulants dont elle aura besoin, chose qu’on lui accorderait à coup de protocoles vicieux et sans nuances. Tout l’attirail électronique et numérique ne lui est pas d’un secours décisif, car c’est finalement en fouillant dans son propre ADN qu’elle obtiendra l’argument de ses crises. À travers cette vitrine, une énergie positive se dégage à en contaminer un espace sur-mesure pour une comédienne qui investit finalement tous les lieux présentés. Performance et atmosphère font que ce cauchemar tombe à pic, au moment où l’humanité commencerait alors à sortir d’un hypersommeil, pour enfin reprendre sa vie en main, ainsi que tous les repères qui vont avec.

    Se reconnecter à l’espoir ne se fera pas sans risques et « Oxygène » (O2) s’agrippe à l’optimisme de son propos et l’assume jusqu’à son point de non-retour, méthodiquement explosive, mélancolique et lyrique. Dommage qu’il ne trouve pas suffisamment de force et surtout de temps pour élargir ses horizons. Mais ce serait trahir la promesse d’une proximité maîtrisée et la nuance même du survival, que d’enfin laisser le spectateur respirer à son rythme et dans une pièce qui ne rétrécira jamais assez pour l’y piéger.
    Requiemer
    Requiemer

    5 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 mai 2021
    Je n’ai pas réussi à finir ce film. J’avais pourtant de grandes attentes concernant cette production française, qui aurait pu équilibrer la qualité du catalogue Netflix... Mais le jeu d’acteur de Mélanie Laurent est tout simplement insoutenable : on croirait regarder une médiocre VF d’un film étranger. Dommage.
    Jonathan P
    Jonathan P

    67 abonnés 395 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 mai 2021
    Labyrinthe mental limité, qui manque de souffle et ne surprend pas dans sa forme. Malgré une mise en scène appréciable et une convaincante prestation de Mélanie Laurent. Le film n'est pas loin de rentrer en hyper sommeil. Boulevardducinema.com
    lilyzab
    lilyzab

    24 abonnés 163 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 mai 2021
    Je pose la question au réalisateur : est ce que les films finiront tous sur lePETIT ECRAN quand ce n'est pas sur le teléphone???. Je n'ai pas besoin de m'abonner à Netflix car il y a bien assez a voir sur le petit écran! Dommage que le film ne sorte pas en salle et dommage pour les salles de ciné qui finiront par ne plus avoir assez de spectateurs!!!! A bon entendeur...
    arno m.
    arno m.

    3 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 22 mai 2021
    Un film gâché par son actrice Mélanie Laurent. Un jeu catastrophique, surjoue toutes les émotions. Et pourtant une filmographie importante. Quand le talent n'est plus primordial pour tourner, voilà avec quoi on se retrouve. Merci le copinage. Heureusement on a eu où il reste encore des acteurs talentueux... dewaere, depardieu, bacri, poolvorde. Schneider. Ardant. Gillain...... Et bien d'autre qui on joués grâce à leur talent. Madame Laurent, vous, vous n'en avez pas.
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