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Indo Cynt
20 abonnés
2 critiques
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0,5
Publiée le 13 mai 2021
Un huit clos anxiogène mais malheureusement les jeux d'acteurs des protagonistes sur jouent et on y croit plus. Si vous voulez un bon conseil, fuyez sinon perdez deux heures de votre temps avec un film animé par un vide intersidéral ....
Malgré quelques facilités scénaristiques, Aja nous propose un huis clos en mode S-F de bonne facture et devant lequel on ne s'ennuie pas, entre faux-semblants et rebondissements. Un nouveau film de genre français réussi dans son ensemble.
J'en suis à 17 minutes et je me fais chier comme un rat mort mes premières impressions c'est que Mélanie Laurent joue comme ses pieds , dieu qu'elle est mauvaise comme dans tous ses films d'ailleurs . Dommage pour le film parce que j'aime bien le réal mais j'irai quand même jusqu'à la fin juste pour voir si elle claque à la fin le tâcheron ...
Film qui aurait pu être tenir en angoisse par se huit clos mais gâché par l'actrice qui ne sais pas jouer et récite son texte dommage pour l'histoire qui est quand même dans l'un peut prêt correcte sinon si vous voulez pas gaspillé votre temps passé votre chemin
Film sans grand intérêt pas très bien servi par Mélanie Laurent qui s'essouffle dans un exercice du huit clot limite clostrophobique. Les dialogues rendent mal, et sont à la limite du plagiat avec ceux de sandra bullock et Georges Clooney dans gravity film auquel cet oxygène n'arrive pas à la cheville. Dommage, j'aurais aimé...
Beaucoup de publicité pour un film qui a du mal a garder du rythme, après 5 premières minutes amusantes. Le scénario en huis clos est très poussif, voire lourdingue, les voix offs sont pas très crédibles, et les twists scénaristiques assez faciles à déceler, pour qui a un peu de culture SF. En parlant de SF, Oxygène reprend aussi les défauts de la plupart des films du genre, avec des images d'illustrations très lisses et un personnage principal très normé. Reste Mélanie Laurent qui lui insuffle un peu de personnalité, mais ça ne suffit pas à combler le manque d'idées et d'originalité. Dommage de la part du réalisateur de l'excellent La colline à des yeux, dans un tout autre registre.
Encore un huit clos mais qui est original ! Le film repose sur Mélanie Laurent et elle tient bien, elle délivre une très bonne performance. Le mystère et la tension sont présents. La réalisation est simple mais bonne. J'émets un peu de réserves sur la facilité de la fin mais j'ai passé un très bon moment.
Alexandre Aja a pourtant déjà par le passé fait de l'excellent Cinéma, mais la, voilà, il se retrouve avec un huis clos des plus chiant, n'ayant rien d'original ou d'exceptionnel, avec pire encore, une actrice principale insupportable ... dommage...
De Alexandre Aja, je n’ai pour l’instant vu que Crawl (2019) et ses crocodiles tueurs qui m’avaient vraiment laissé de marbre. Oxygène, qui semble pourtant apporter un horrible écho à notre situation de confiné, s’avère pour moi comme un pétard mouillé. Un film qui m’a intrigué, avant de rapidement me lasser. Si ce labyrinthe scientifico-apocalyptique a certainement les capacités de plaire, il se trouve aussi complétement irrité par une facette mélodramatique assez foireuse, une Mélanie Laurent exténuante (renforcée aussi par cette une caméra toujours aussi proche), tout un environnement aussi lisse qu'artificiel, ainsi qu’une avalanche de contextes et explications scientifiques qui ne peuvent me parler tant leurs bases, aussi ennuyantes soient-elles, sont continuellement désamorcées pour maintenir un semblant de vie au récit. Comment dépasser les gesticulations du huis-clos et poser une véritable histoire ? Tout reposerait donc ici sur des flash-backs tirés d’un Malick malade, et d’une inefficacité à donner un peu de volume et de l'envie à tout ce récit. Tout ça m’a personnellement bien plus fait bailler qu’autre chose. S'il y'a de l'horreur et de la stupéfaction dans Oxygène, ce serait surement dans ses premiers minutes et sa scène de naissance annonçant toute l'asphyxie que voudrait contenir ce cercueil moderne. Mais il y’a quand même un beau pari dans ce long-métrage : tenir Mélanie Laurent dans 2 mètres carré pendant 1h40. Mais c’est ce pitch de départ qui provoque aussi toutes les limites du film. Alexandre Aja l'étire au possible, asphyxiant sa réalisation par son manque d'inventivité, jusqu’à ce que Oxygène ne raconte plus rien de bien passionnant, si ce n’est Mélanie Laurent performant l'harassante impuissance, péniblement rallongée. Mais alors peut-être que tout le but du film serait là, sous nos yeux : minimiser la mise en scène, assommer par les mots, et faire suffoquer par la lenteur des inactions foireuses ? J'aurai dans ces cas-là préférer prendre le sédatif.
Quand le budget manque, Netflix fait un film à petit budget et franchement pas terrible. Des les 1er minutes on comprend qu'elle se trouve dans l'espace. Bref du suspense à 2€. Un très gros buz organisé avant la sortie. Mais si l'on tombe dans le panneau pour regarder on n'est pas dupe sur le résultat.
J’ai bien aimé tous les films d’Alexandre Aja que j’ai vus. Et comme j’aime bien Mélanie Laurent et les films de SF, je me suis donc précipité sur celui-ci. Sur le papier Oxygène lorgnait bien du côté du très réussi Buried. Les deux protagonistes se réveillent enfermés dans un lieu clos et exigu mais la comparaison s’arrête là. Surtout que dans le genre claustro le film avec Ryan Reynolds nous en faisait voir de toutes les couleurs. Je suis resté sur ma faim, je n’ai pas trouvé le côté anxiogène, angoissant et donc claustrophobe que j’attendais. Certes, on ne s’ennuie pas. C’est d’abord assez mystérieux, le rythme est assez lent mais il se passe des choses et il y a quelques rebondissements bien amenés. La mise en scène est soignée, la direction artistique et les effets spéciaux superbes, l’ensemble est visuellement magnifique. Mélanie Laurent est très bien, elle est de toutes les scènes. Mais pour moi il manque quelque chose pour emporter le morceau, je trouve que le tout manque d’émotion, de puissance, d’épaisseur. Le grand écran n’y aurait peut être pas changé grand-chose. Cela se laisse regarder autrement sans problème mais perso je l'oublierai sans doute assez vite.
De Alexandre Aja, je n’ai pour l’instant vu que *Crawl* (2019) et ses crocodiles tueurs qui m’avaient vraiment laissé de marbre. *Oxygène*, qui semble pourtant apporter un horrible écho à notre situation de confiné, s’avère pour moi comme un pétard mouillé. Un film qui m’a intrigué, avant de rapidement me lasser. Si ce labyrinthe scientifico-apocalyptique a certainement les capacités de plaire, il se trouve aussi complétement irrité par une facette mélodramatique assez foireuse, une Mélanie Laurent exténuante (renforcée aussi par cette une caméra toujours aussi proche), tout un environnement aussi lisse qu'artificiel, ainsi qu’une avalanche de contextes et explications scientifiques qui ne peuvent me parler tant leurs bases, aussi ennuyantes soient-elles, sont continuellement désamorcées pour maintenir un semblant de vie au récit. Comment dépasser les gesticulations du huis-clos et poser une véritable histoire ? Tout reposerait donc ici sur des flash-backs tirés d’un Malick malade, et d’une inefficacité à donner un peu de volume et de l'envie à tout ce récit. Tout ça m’a personnellement bien plus fait bailler qu’autre chose. S'il y'a de l'horreur et de la stupéfaction dans *Oxygène*, ce serait surement dans ses premiers minutes et sa scène de naissance annonçant toute l'asphyxie que voudrait contenir ce cercueil moderne. Mais il y’a quand même un beau pari dans ce long-métrage : tenir Mélanie Laurent dans 2 mètres carré pendant 1h40. Mais c’est ce pitch de départ qui provoque aussi toutes les limites du film. Alexandre Aja l'étire au possible, asphyxiant sa réalisation par son manque d'inventivité, jusqu’à ce que *Oxygène* ne raconte plus rien de bien passionnant, si ce n’est Mélanie Laurent performant l'harassante impuissance, péniblement rallongée. **Mais alors peut-être que tout le but du film serait là, sous nos yeux : minimiser la mise en scène, assommer par les mots, et faire suffoquer par la lenteur des inactions foireuses ? J'aurai dans ces cas-là préférer prendre le sédatif.**
Alexandre Aja cinéaste talentueux signe avec Oxygène un huit clos plutôt efficace mais inégale, reprenant beaucoup de codes qui ont émaillé sa carrière. Tourné en France, d'après un scénario Américain, le film à un rythme en dent de scie, le début donne le ton et une atmosphère anxiogène et oppressantes puis quand vient le dévoilement de la situation le soufflet retombe jusqu'à la révélation finale qui intervient dans les 20 dernières minutes. Les décisions de L'intelligence artificielle bien qu'élément centrale peuvent interpellée, et de plus spoiler: si ces individus envoyé dans l'espace sont des clones à qui l'on a implanté une mémoire, pourquoi leurs donner la possibilité de téléphoner grâce ce caisson, de posé ces questions, d'avoir accès aux dossiers ect... De base ils sont pas censé se réveillés, ont leurs donnent donc toutes les clés pour connaître la vérité au cas où il se réveillerait . Le scénario comporte donc quelques incohérences surtout quand on voit la finalité du film, mais malgré tout le suspense reste assez constant pour pousser le spectateur à rester jusqu'à la fin. Mélanie Laurent s'en tire pas trop mal même si son jeux n'es pas toujours juste, à la base Noomi Rapace, ou Anne Hathaway étaient prévus pour le rôle elles auraient peut-être donner un peu plus de prestance à l'ensemble. Pas le meilleur film de son réalisateur, mais clairement au-dessus des dernières productions que ce soit de Netflix ou du cinéma en général.