Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Elle
par Françoise Delbecq
Ce formidable road-movie est porté par l'immense actrice danoise Trine Dyrholm.
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Trouant sa forme assez sage, Nico, 1988 parvient ainsi, par pics récurrents, à prendre l’allure d’une lugubre et assez déchirante tournée d’adieux qui est aussi une autre façon de mettre en sons et en images le genre poétique du tombeau.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Un petit film sincère sur un elfe triste, trop tôt disparu, qui n’a jamais été reconnu à sa juste valeur.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaro
par Olivier Nuc
En résulte le portrait sensible d'une figure tragique et d'une artiste rare, qui a eu la capacité de se réinventer et de devenir enfin ce qu'elle était au fond d'elle.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Thomas Sotinel
Filmé presque brutalement par la chef opératrice Crystel Fournier (Bande de filles), Nico, 1988 ne sacrifie jamais à l’iconographie rock tout en approchant la réalité de cette musique comme rarement on l’a fait au cinéma.
Les Fiches du Cinéma
par Marguerite Debiesse
Concentré sur les deux dernières années de sa vie, ce biopic rend justice à la compositrice-interprète d’un rock tourmenté et à la femme blessée, incarnée par la formidable Trine Dyrholm.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Luc Chessel
Susanna Nicchiarelli se penche sur les dernières années de l’icône warholienne, actrice et chanteuse du Velvet, dans un biopic dont la fidélité évite les écueils du genre.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Bernard Génin
Brûlant, poignant, "Nico, 1988" retrouve les accents testamentaires du dernier album de la chanteuse, au titre évocateur, "Camera Obscura".
L'Obs
par François Forestier
Susanna Nicchiarelli, qui a été collaboratrice de Nanni Moretti, raconte cette vie carbonisée en scènes puissantes (le concert en Hongrie). Epouvantable et fascinant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
La relation complexe et fusionnelle avec son fils, Ari, est l’un des autres atouts de ce portrait dont la mise en scène manque un peu d’audace.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Le film reste au ras du vécu ordinaire de cette figure sublime mais indomptable, avec un tempo et un ton plutôt picaresque, sans s’appesantir sur la reconstitution historique.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Joliment interprété et intelligemment fait.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Damien Leblanc
Non sans évoquer la fougue désenchantée du cinéma de R.W Fassbinder, Nico 1988 capte les dernières lueurs d’un mythe en train de s’évanouir sous nos yeux et réhabilite une artiste intransigeante.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jacques Morice
Certes, la ressemblance n’est peut-être pas indispensable pour un biopic. On est malgré tout peu gêné que l’actrice, Trine Dyrholm, soit si différente physiquement de Christa Päffgen, alias Nico, icône du rock hiératique. A part ce handicap, le film a le mérite de faire un portrait sans concession de la chanteuse, qui ne voulait surtout plus entendre parler du Velvet Underground, une fois engagée dans sa carrière solo.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Une approche pleine d’humanité, mais un peu vaine.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Elle
Ce formidable road-movie est porté par l'immense actrice danoise Trine Dyrholm.
Cahiers du Cinéma
Trouant sa forme assez sage, Nico, 1988 parvient ainsi, par pics récurrents, à prendre l’allure d’une lugubre et assez déchirante tournée d’adieux qui est aussi une autre façon de mettre en sons et en images le genre poétique du tombeau.
L'Humanité
Un petit film sincère sur un elfe triste, trop tôt disparu, qui n’a jamais été reconnu à sa juste valeur.
Le Figaro
En résulte le portrait sensible d'une figure tragique et d'une artiste rare, qui a eu la capacité de se réinventer et de devenir enfin ce qu'elle était au fond d'elle.
Le Monde
Filmé presque brutalement par la chef opératrice Crystel Fournier (Bande de filles), Nico, 1988 ne sacrifie jamais à l’iconographie rock tout en approchant la réalité de cette musique comme rarement on l’a fait au cinéma.
Les Fiches du Cinéma
Concentré sur les deux dernières années de sa vie, ce biopic rend justice à la compositrice-interprète d’un rock tourmenté et à la femme blessée, incarnée par la formidable Trine Dyrholm.
Libération
Susanna Nicchiarelli se penche sur les dernières années de l’icône warholienne, actrice et chanteuse du Velvet, dans un biopic dont la fidélité évite les écueils du genre.
Positif
Brûlant, poignant, "Nico, 1988" retrouve les accents testamentaires du dernier album de la chanteuse, au titre évocateur, "Camera Obscura".
L'Obs
Susanna Nicchiarelli, qui a été collaboratrice de Nanni Moretti, raconte cette vie carbonisée en scènes puissantes (le concert en Hongrie). Epouvantable et fascinant.
Le Journal du Dimanche
La relation complexe et fusionnelle avec son fils, Ari, est l’un des autres atouts de ce portrait dont la mise en scène manque un peu d’audace.
Les Inrockuptibles
Le film reste au ras du vécu ordinaire de cette figure sublime mais indomptable, avec un tempo et un ton plutôt picaresque, sans s’appesantir sur la reconstitution historique.
Paris Match
Joliment interprété et intelligemment fait.
Première
Non sans évoquer la fougue désenchantée du cinéma de R.W Fassbinder, Nico 1988 capte les dernières lueurs d’un mythe en train de s’évanouir sous nos yeux et réhabilite une artiste intransigeante.
Télérama
Certes, la ressemblance n’est peut-être pas indispensable pour un biopic. On est malgré tout peu gêné que l’actrice, Trine Dyrholm, soit si différente physiquement de Christa Päffgen, alias Nico, icône du rock hiératique. A part ce handicap, le film a le mérite de faire un portrait sans concession de la chanteuse, qui ne voulait surtout plus entendre parler du Velvet Underground, une fois engagée dans sa carrière solo.
Franceinfo Culture
Une approche pleine d’humanité, mais un peu vaine.