Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
28 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Ce thriller autour d’une jeune femme internée dans un asile psychiatrique met les nerfs de spectateur à rude épreuve.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Steven Soderbergh ne cesse de bousculer son vocabulaire. Nouvelle preuve avec « Paranoïa », thriller cauchemardesque filmé à l’iPhone. À l’échelle du cinéma, un film mineur, qui n’en reste pas moins très précieux.
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Ce thriller tendu, filmé avec un iphone, joue habilement avec nos nerfs.
L'Express
par Christophe Carrière
C'est du cinoche pour le plaisir de se faire peur, d'être surpris, de frémir...
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Steven Soderbergh s'essaie au film de genre, et y fait la preuve de son talent : construction diabolique, rythme intense qui ne faiblit pas, et effets de peur et d'angoisse garantis.
Le Figaro
par La Rédaction
Le réalisateur avait promis de renoncer au cinéma, on lui pardonne ce pieux mensonge.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
Le nouveau film de Steven Soderbergh («Logan Lucky») instille habilement le doute chez le spectateur : ce que voit son héroïne est-il la réalité ou le fruit de son esprit malade ?
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par C.L.
Entièrement tournée à l’iPhone, une charge sociétale en forme de thriller psychologique expérimental : le grand retour de Soderbergh.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Que Soderbergh force ou non le réel, il pointe ici le destin d’une humanité “monitorée” dans un monde chaque jour plus kafkaïen, une humanité embourbée dans des sables mouvants où chaque geste pour s’en sortir l’y enfonce un peu plus encore.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Luc Chessel
[...] plus fin et plus terrifiant qu’il ne prétend en avoir l’air.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Gilles Esposito
[...] Soderbergh est rarement aussi bon que lorsqu’il met ses prétentions au placard pour se frotter modestement à un genre, et le compte est bon. Ici, le filmage avec un smartphone donne un thriller qui atteint des sommets dans la… paranoïa.
Marianne
par Olivier de Bruyn
La preuve qu'il est possible, aux Etats-Unis comme ailleurs, de donner naissance à des fictions stimulantes pour des budgets minimaux.
Ouest France
par Pierre Lunn
Un grand petit film qui procure un plaisir ludique et... Effrayant.
Positif
par Alain Masson
Il s'y ajoute ici une hardiesse particulière dans le projet : l'ouvrage a été réalisé au moyen d'un appareil téléphonique de la variété la plus sensible. Quand on le voit sur grand écran, on ne s'aperçoit de rien. Le metteur en scène démontre ainsi son esprit d'innovation. Mais il reste fidèle à ses préoccupations [...].
Télérama
par Frédéric Strauss
Avec habileté, le réalisateur brouille les pistes entre vrais et faux malades mentaux ou soignants. S’il s’en amuse, cette perte de repères lui permet, aussi, de parler, sérieusement, de la folie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ecran Large
par Geoffrey Crété
"Paranoïa" est moins intéressant pour ce qu'il est (un thriller très mou) que pour ce qu'il représente (un autre coup de pied dans la fourmilière hollywoodienne). C'est trop peu pour en faire une réussite ou une expérience satisfaisante, mais suffisant pour lui donner un sens, dans la carrière de Steven Soderbergh.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
La Croix
par Céline Rouden
Présenté hors-compétition à Berlin, ce thriller psychologique particulièrement efficace, confirme la capacité du réalisateur, qui a produit et réalisé des séries, à expérimenter de nouvelles manières de faire du cinéma, loin des studios hollywoodien.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
D’une scène à l’autre, la mise en scène expérimentale se renouvelle pour exprimer la peur omniprésente, l’isolement de Sawyer qui perd lentement pied avec la réalité tout en se battant pour prouver qu’elle n’est pas folle.
Première
par Yal Sadat
Steven Soderbergh tire de ce canevas confortable une expérience retorse dont le spectateur, doucement “encamisolé”, est en fait le principal jouet.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Nathalie Dassa
À travers ses crises d'angoisse et ses réactions maniaques, Claire Foy est captivante devant cette caméra portable intimiste qui installe une ambiance hitchcockienne.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Tout est carré, il ne manque rien, sinon une patte personnelle et du suspense.
Télé Loisirs
par Émilie Leoni
Malgré un scénario un peu mince, ce huis clos pyschotique est vraiment palpitant. Techniquement, le film est une prouesse. Et l'interprétation très inspirée de Claire Foy trouble autant qu'elle inquiète.
Voici
par Lola Sciamma
Cette petite série B efficace offre un nouveau couronnement à Claire Foy qui, après la série The Crown, prouve qu'elle est royale toutes catégories.
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
L’esthétique elle-même un peu hybride, entre vidéosurveillance et déformations plus subjectives de la perspective, ne peut rien contre le virage psychologique lourdaud qui vient ponctuer cet encombrement de grands sujets au sein d’un petit film.
Critikat.com
par Josué Morel
Soderbergh embrasse moins un horizon expérimental qu’il ne cherche un cadre technique raccord avec la modestie de ses derniers projets.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Seule idée intéressante : le doute planant autour de la paranoïa de l’héroïne (qui affirme qu’un homme la harcèle). Mais une fois le pot-au-roses dévoilé, le film avance sur les rails habituels du thriller tendance horrifique, en deçà de modèles absolus comme “Shock corridor” et “Vol au-dessus d’un nid de coucous”.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
L’ensemble, dirigé, photographié et monté par l’auteur en un temps record, laisse sur sa faim.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Soderbergh dépeint la société américaine du #Balancetonporc et du repli sécuritaire comme un asile de fous. Amusant ? Pour qui aime la série Z écrite sous électrochocs, peut-être.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
20 Minutes
Ce thriller autour d’une jeune femme internée dans un asile psychiatrique met les nerfs de spectateur à rude épreuve.
CinemaTeaser
Steven Soderbergh ne cesse de bousculer son vocabulaire. Nouvelle preuve avec « Paranoïa », thriller cauchemardesque filmé à l’iPhone. À l’échelle du cinéma, un film mineur, qui n’en reste pas moins très précieux.
Femme Actuelle
Ce thriller tendu, filmé avec un iphone, joue habilement avec nos nerfs.
L'Express
C'est du cinoche pour le plaisir de se faire peur, d'être surpris, de frémir...
Le Dauphiné Libéré
Steven Soderbergh s'essaie au film de genre, et y fait la preuve de son talent : construction diabolique, rythme intense qui ne faiblit pas, et effets de peur et d'angoisse garantis.
Le Figaro
Le réalisateur avait promis de renoncer au cinéma, on lui pardonne ce pieux mensonge.
Le Parisien
Le nouveau film de Steven Soderbergh («Logan Lucky») instille habilement le doute chez le spectateur : ce que voit son héroïne est-il la réalité ou le fruit de son esprit malade ?
Les Fiches du Cinéma
Entièrement tournée à l’iPhone, une charge sociétale en forme de thriller psychologique expérimental : le grand retour de Soderbergh.
Les Inrockuptibles
Que Soderbergh force ou non le réel, il pointe ici le destin d’une humanité “monitorée” dans un monde chaque jour plus kafkaïen, une humanité embourbée dans des sables mouvants où chaque geste pour s’en sortir l’y enfonce un peu plus encore.
Libération
[...] plus fin et plus terrifiant qu’il ne prétend en avoir l’air.
Mad Movies
[...] Soderbergh est rarement aussi bon que lorsqu’il met ses prétentions au placard pour se frotter modestement à un genre, et le compte est bon. Ici, le filmage avec un smartphone donne un thriller qui atteint des sommets dans la… paranoïa.
Marianne
La preuve qu'il est possible, aux Etats-Unis comme ailleurs, de donner naissance à des fictions stimulantes pour des budgets minimaux.
Ouest France
Un grand petit film qui procure un plaisir ludique et... Effrayant.
Positif
Il s'y ajoute ici une hardiesse particulière dans le projet : l'ouvrage a été réalisé au moyen d'un appareil téléphonique de la variété la plus sensible. Quand on le voit sur grand écran, on ne s'aperçoit de rien. Le metteur en scène démontre ainsi son esprit d'innovation. Mais il reste fidèle à ses préoccupations [...].
Télérama
Avec habileté, le réalisateur brouille les pistes entre vrais et faux malades mentaux ou soignants. S’il s’en amuse, cette perte de repères lui permet, aussi, de parler, sérieusement, de la folie.
Ecran Large
"Paranoïa" est moins intéressant pour ce qu'il est (un thriller très mou) que pour ce qu'il représente (un autre coup de pied dans la fourmilière hollywoodienne). C'est trop peu pour en faire une réussite ou une expérience satisfaisante, mais suffisant pour lui donner un sens, dans la carrière de Steven Soderbergh.
La Croix
Présenté hors-compétition à Berlin, ce thriller psychologique particulièrement efficace, confirme la capacité du réalisateur, qui a produit et réalisé des séries, à expérimenter de nouvelles manières de faire du cinéma, loin des studios hollywoodien.
Le Journal du Dimanche
D’une scène à l’autre, la mise en scène expérimentale se renouvelle pour exprimer la peur omniprésente, l’isolement de Sawyer qui perd lentement pied avec la réalité tout en se battant pour prouver qu’elle n’est pas folle.
Première
Steven Soderbergh tire de ce canevas confortable une expérience retorse dont le spectateur, doucement “encamisolé”, est en fait le principal jouet.
Transfuge
À travers ses crises d'angoisse et ses réactions maniaques, Claire Foy est captivante devant cette caméra portable intimiste qui installe une ambiance hitchcockienne.
Télé 7 Jours
Tout est carré, il ne manque rien, sinon une patte personnelle et du suspense.
Télé Loisirs
Malgré un scénario un peu mince, ce huis clos pyschotique est vraiment palpitant. Techniquement, le film est une prouesse. Et l'interprétation très inspirée de Claire Foy trouble autant qu'elle inquiète.
Voici
Cette petite série B efficace offre un nouveau couronnement à Claire Foy qui, après la série The Crown, prouve qu'elle est royale toutes catégories.
Cahiers du Cinéma
L’esthétique elle-même un peu hybride, entre vidéosurveillance et déformations plus subjectives de la perspective, ne peut rien contre le virage psychologique lourdaud qui vient ponctuer cet encombrement de grands sujets au sein d’un petit film.
Critikat.com
Soderbergh embrasse moins un horizon expérimental qu’il ne cherche un cadre technique raccord avec la modestie de ses derniers projets.
L'Humanité
Seule idée intéressante : le doute planant autour de la paranoïa de l’héroïne (qui affirme qu’un homme la harcèle). Mais une fois le pot-au-roses dévoilé, le film avance sur les rails habituels du thriller tendance horrifique, en deçà de modèles absolus comme “Shock corridor” et “Vol au-dessus d’un nid de coucous”.
Le Monde
L’ensemble, dirigé, photographié et monté par l’auteur en un temps record, laisse sur sa faim.
L'Obs
Soderbergh dépeint la société américaine du #Balancetonporc et du repli sécuritaire comme un asile de fous. Amusant ? Pour qui aime la série Z écrite sous électrochocs, peut-être.