Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Ouest France
par Gilles Kerdreux
(...) un très joli film sur l’héritage, la résilience de la guerre, les secrets de famille mais aussi le goût comme vecteur essentiel de la mémoire.
Télé Loisirs
par Gwénola Trouillard
Dans "La Saveur des Ramen" d'Eric Khoo, la cuisine c'est la vie ! Et ce plat de nouilles japonais traditionnel devient la recette, sinon du bonheur, du moins de la réconciliation avec le passé. Joyau de délicatesse qui met les papilles en émoi, ce film s'attache au pas de Masato, interprété par Takumi Saito, célèbre acteur et chanteur pop japonais.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
20 Minutes
par Caroline Vié
Ce film tendre met le spectateur en appétit et ça tombe bien, car c’est ce que le réalisateur singapourien avait souhaité.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
De loin, La Saveur des ramen ressemble à un voyage culinaire exotique. Le film d’Éric Khoo, d’ailleurs, figurait au Kulinarisches Kino, la section Cinéma culinaire du festival du film de Berlin. Et c’est vrai qu’il met l’eau à la bouche, avec ses gourmets ramen, plat japonais de pâtes dans un bouillon de poisson ou de viande, importé de Chine au début du XXe siècle.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Une leçon de vie et de cuisine, un peu trop sucrée mais qui ne manque pas de saveur.
L'Humanité
par Vincent Ostria
La gastronomie permet à ce drame réaliste, factuel, sans trémolos de rester les pieds sur terre tout en nous alléchant. Eric Khoo a peut-être enfin trouvé une voie apaisée…
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Masato, jeune chef de Ramen au Japon, a toujours rêvé de partir à Singapour pour retrouver le goût des plats que lui cuisinait sa mère quand il était enfant. Alors qu’il entreprend le voyage culinaire d’une vie, il découvre des secrets familiaux profondément enfouis. On aime.
Le Figaro
par La Rédaction
Avec La Saveur des ramen, Khoo a voulu faire un film résolument optimiste. Il y réussit notamment grâce à son acteur principal, Takumi Saito, lui-même fils de chef cuisinier.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Renaud Baronian
Une recette réussie à base de mélancolie, d’émotion, d’humour et bien entendu de scènes intenses de cuisine : attention, ce film délicieux donne très faim.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Une délicieuse recette sur la résilience et la réconciliation avec les siens.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Hubert Niogret
Tout en demi-teintes, en sentiments esquissés, "La Saveur des ramen" laisse entendre une petite musique comme dans de nombreux films d'Eric Khoo. Ce dernier est non seulement un des cinéastes les plus attachants de Singapour, un de ceux qui ont reconstruit littéralement le cinéma singapourien qui avait sombré à la fin des années 1990, mais aussi un cinéaste appréciable pour sa grande sensibilité dans l’expression d’une identité singapourienne dont il entend conserver les traditions notamment culinaires.
Première
par Perrine Quennesson
Attention, cette oeuvre attise autant les glandes salivaires que lacrymales.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jacques Morice
Plaisirs de gourmets et émotion douce-amère, voilà la recette de ce film simple et attachant, mais non exempt de cruauté : les épisodes relatifs à la Seconde Guerre mondiale et à la violence exercée par l’occupant japonais sur la population de Singapour se révèlent poignants.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Bande à part
par Olivier Bombarda
Un témoignage raffiné sur la quête d’identité et l’importance de la transmission.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Le trait est délicat, le sujet, gourmand, mais, si la naïveté émeut, elle nous laisse sur notre faim. Les personnages, comme les situations, peinent à exister en dehors du schéma narratif.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Paris Match
par Yannick Vely
Des ingrédients "simples" - une trauma familiale, une pincée de sentimentalisme, des flash-backs explicatifs et une approche historique - mais avec un assaisonnement si précis qu'elle finit par toucher juste.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Rien de très original dans ce film qui ne lésine guère sur les bons sentiments et s’avère parfois même carrément guimauve. Heureusement, Eric Khoo relève l’ensemble d’une pincée d’humour.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Le film a tendance à délayer la sauce.
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Fusion film lisse et mécanique vantant la réconciliation des peuples par la cuisine, "La Saveur des ramen" magnifie certains travers du cinéaste des merveilleux "Be With Me" et "My Magic" (ces excès de bons sentiments et de mièvrerie qui faisaient parfois tiquer dans de bien meilleurs films) sans offrir une originalité de mise en scène qui lui sauverait la mise.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Stéphane du Mesnildot
Le film n’évite pas l’écueil des coproductions lorsqu’elles ressemblent à de la cuisine de fusion, aboutissant à un « cinéma asiatique » sans saveur ni identité. Du cinéma singapourien qu’Eric Khoo représentait à lui seul, il ne reste quasiment rien. En revanche c’est au pire de la production télévisuelle asiatique qu’il se conforme.
Ouest France
(...) un très joli film sur l’héritage, la résilience de la guerre, les secrets de famille mais aussi le goût comme vecteur essentiel de la mémoire.
Télé Loisirs
Dans "La Saveur des Ramen" d'Eric Khoo, la cuisine c'est la vie ! Et ce plat de nouilles japonais traditionnel devient la recette, sinon du bonheur, du moins de la réconciliation avec le passé. Joyau de délicatesse qui met les papilles en émoi, ce film s'attache au pas de Masato, interprété par Takumi Saito, célèbre acteur et chanteur pop japonais.
20 Minutes
Ce film tendre met le spectateur en appétit et ça tombe bien, car c’est ce que le réalisateur singapourien avait souhaité.
Dernières Nouvelles d'Alsace
De loin, La Saveur des ramen ressemble à un voyage culinaire exotique. Le film d’Éric Khoo, d’ailleurs, figurait au Kulinarisches Kino, la section Cinéma culinaire du festival du film de Berlin. Et c’est vrai qu’il met l’eau à la bouche, avec ses gourmets ramen, plat japonais de pâtes dans un bouillon de poisson ou de viande, importé de Chine au début du XXe siècle.
Femme Actuelle
Une leçon de vie et de cuisine, un peu trop sucrée mais qui ne manque pas de saveur.
L'Humanité
La gastronomie permet à ce drame réaliste, factuel, sans trémolos de rester les pieds sur terre tout en nous alléchant. Eric Khoo a peut-être enfin trouvé une voie apaisée…
Le Dauphiné Libéré
Masato, jeune chef de Ramen au Japon, a toujours rêvé de partir à Singapour pour retrouver le goût des plats que lui cuisinait sa mère quand il était enfant. Alors qu’il entreprend le voyage culinaire d’une vie, il découvre des secrets familiaux profondément enfouis. On aime.
Le Figaro
Avec La Saveur des ramen, Khoo a voulu faire un film résolument optimiste. Il y réussit notamment grâce à son acteur principal, Takumi Saito, lui-même fils de chef cuisinier.
Le Parisien
Une recette réussie à base de mélancolie, d’émotion, d’humour et bien entendu de scènes intenses de cuisine : attention, ce film délicieux donne très faim.
Les Fiches du Cinéma
Une délicieuse recette sur la résilience et la réconciliation avec les siens.
Positif
Tout en demi-teintes, en sentiments esquissés, "La Saveur des ramen" laisse entendre une petite musique comme dans de nombreux films d'Eric Khoo. Ce dernier est non seulement un des cinéastes les plus attachants de Singapour, un de ceux qui ont reconstruit littéralement le cinéma singapourien qui avait sombré à la fin des années 1990, mais aussi un cinéaste appréciable pour sa grande sensibilité dans l’expression d’une identité singapourienne dont il entend conserver les traditions notamment culinaires.
Première
Attention, cette oeuvre attise autant les glandes salivaires que lacrymales.
Télérama
Plaisirs de gourmets et émotion douce-amère, voilà la recette de ce film simple et attachant, mais non exempt de cruauté : les épisodes relatifs à la Seconde Guerre mondiale et à la violence exercée par l’occupant japonais sur la population de Singapour se révèlent poignants.
Bande à part
Un témoignage raffiné sur la quête d’identité et l’importance de la transmission.
L'Obs
Le trait est délicat, le sujet, gourmand, mais, si la naïveté émeut, elle nous laisse sur notre faim. Les personnages, comme les situations, peinent à exister en dehors du schéma narratif.
Paris Match
Des ingrédients "simples" - une trauma familiale, une pincée de sentimentalisme, des flash-backs explicatifs et une approche historique - mais avec un assaisonnement si précis qu'elle finit par toucher juste.
Le Journal du Dimanche
Rien de très original dans ce film qui ne lésine guère sur les bons sentiments et s’avère parfois même carrément guimauve. Heureusement, Eric Khoo relève l’ensemble d’une pincée d’humour.
Le Monde
Le film a tendance à délayer la sauce.
Libération
Fusion film lisse et mécanique vantant la réconciliation des peuples par la cuisine, "La Saveur des ramen" magnifie certains travers du cinéaste des merveilleux "Be With Me" et "My Magic" (ces excès de bons sentiments et de mièvrerie qui faisaient parfois tiquer dans de bien meilleurs films) sans offrir une originalité de mise en scène qui lui sauverait la mise.
Cahiers du Cinéma
Le film n’évite pas l’écueil des coproductions lorsqu’elles ressemblent à de la cuisine de fusion, aboutissant à un « cinéma asiatique » sans saveur ni identité. Du cinéma singapourien qu’Eric Khoo représentait à lui seul, il ne reste quasiment rien. En revanche c’est au pire de la production télévisuelle asiatique qu’il se conforme.