Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Si Les Affamés n’est pas exempt de lenteur et de maladresse, ce film fort mérite amplement d’être vu tant ce qu’il raconte est ancré dans nos vies quel que soit notre âge et notre condition.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Closer
par La Rédaction
Dans cette comédie sociale tirée de son roman éponyme, Léa Frédeval porte à l'écran son rêve de révolte de la jeunesse, ici joliment incarné par Louane.
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Une comédie générationnelle piquante portée par Louane Emera.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Sans pathos, mais plein de rage et d’humour, ce film pâtit cependant de l’interprétation de Louane Emera (Zoé) qui sonne souvent faux dans une distribution pour le reste juste.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Télé Loisirs
par Gwénola Trouillard
Bien que trop mièvre, cette chronique d'une jeunesse à bout de souffle - mais qui ne veut rien lâcher -, se regarde avec plaisir.
Voici
par Lola Sciamma
Sous des apparats de comédie de coloc, ce film social tourne à hauteur de djeun's (par une réalisatrice de 26 ans), dresse le portrait pêchu d'une génération solidaire, minée par la crise, mais bien décidée à ne pas se laisser faire.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Louane Emera joue les premiers rôles dans une comédie générationnelle qui manque singulièrement de mordant et de crédibilité.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Parisien
par Catherine Balle
Malgré de bonnes intentions et le capital sympathie de Louane, « Les Affamés » hésite entre le manifeste politique et la comédie d'ados. Le résultat n'est pas déplaisant, mais bancal.
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Adaptation, par sa propre écrivaine, d’un roman à succès, cette chronique sans saveur sur la difficulté d’être jeune en France ne prend jamais le pouls réel de son sujet, et semble surtout représenter une jeunesse à laquelle heureusement personne ne veut s’identifier.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Un film vainement militant qui nous laisse sur notre faim.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
Léa Frédeval nous rappelle que vendre des livres ne fait pas de vous une réalisatrice. Et Canal+ se félicite d’ajouter un titre à sa future grille des programmes.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par La Rédaction
Une héroïne de comédie mal ficelée tirée du livre de la réalisatrice elle-même. En cherchant à délivrer un message de «jeune» avec des jeunes, celle-ci donne envie de prendre un coup de vieux.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Mais pourquoi tout sonne faux ? Ils ne sont jamais crédibles, ces diplômés bien lisses qui conversent de leur absence d'avenir dans un appartement cosy, entre des amourettes de bazar. En Che Guevara 2.0, Louane Emera ne convainc pas.
Première
par Sophie Benamon
Le déroulé du récit est assez attendu et d’original le film se transforme en gentille comédie pour ados. Pire, l’omniprésence de la voix-off de Zoé qui raconte la vie du groupe en mode « lui, c’est Arthur… » finit par agacer -les personnages, très peu creusés, renforçant le jeu métronomique des comédiens.
La critique complète est disponible sur le site Première
20 Minutes
Si Les Affamés n’est pas exempt de lenteur et de maladresse, ce film fort mérite amplement d’être vu tant ce qu’il raconte est ancré dans nos vies quel que soit notre âge et notre condition.
Closer
Dans cette comédie sociale tirée de son roman éponyme, Léa Frédeval porte à l'écran son rêve de révolte de la jeunesse, ici joliment incarné par Louane.
Femme Actuelle
Une comédie générationnelle piquante portée par Louane Emera.
La Croix
Sans pathos, mais plein de rage et d’humour, ce film pâtit cependant de l’interprétation de Louane Emera (Zoé) qui sonne souvent faux dans une distribution pour le reste juste.
Télé Loisirs
Bien que trop mièvre, cette chronique d'une jeunesse à bout de souffle - mais qui ne veut rien lâcher -, se regarde avec plaisir.
Voici
Sous des apparats de comédie de coloc, ce film social tourne à hauteur de djeun's (par une réalisatrice de 26 ans), dresse le portrait pêchu d'une génération solidaire, minée par la crise, mais bien décidée à ne pas se laisser faire.
La Voix du Nord
Louane Emera joue les premiers rôles dans une comédie générationnelle qui manque singulièrement de mordant et de crédibilité.
Le Parisien
Malgré de bonnes intentions et le capital sympathie de Louane, « Les Affamés » hésite entre le manifeste politique et la comédie d'ados. Le résultat n'est pas déplaisant, mais bancal.
Les Fiches du Cinéma
Adaptation, par sa propre écrivaine, d’un roman à succès, cette chronique sans saveur sur la difficulté d’être jeune en France ne prend jamais le pouls réel de son sujet, et semble surtout représenter une jeunesse à laquelle heureusement personne ne veut s’identifier.
aVoir-aLire.com
Un film vainement militant qui nous laisse sur notre faim.
L'Obs
Léa Frédeval nous rappelle que vendre des livres ne fait pas de vous une réalisatrice. Et Canal+ se félicite d’ajouter un titre à sa future grille des programmes.
Le Figaro
Une héroïne de comédie mal ficelée tirée du livre de la réalisatrice elle-même. En cherchant à délivrer un message de «jeune» avec des jeunes, celle-ci donne envie de prendre un coup de vieux.
Le Journal du Dimanche
Mais pourquoi tout sonne faux ? Ils ne sont jamais crédibles, ces diplômés bien lisses qui conversent de leur absence d'avenir dans un appartement cosy, entre des amourettes de bazar. En Che Guevara 2.0, Louane Emera ne convainc pas.
Première
Le déroulé du récit est assez attendu et d’original le film se transforme en gentille comédie pour ados. Pire, l’omniprésence de la voix-off de Zoé qui raconte la vie du groupe en mode « lui, c’est Arthur… » finit par agacer -les personnages, très peu creusés, renforçant le jeu métronomique des comédiens.