Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Positif
par Olivier De Bruyn
Dépourvu de didactisme, scénarisé et mis en scène avec une sobriété exemplaire, "Mon cher enfant" dresse avec acuité le portrait émouvant d’un homme blessé dans ses principes, sa morale et ses valeurs. Un film intime et politique qui confirme le talent de son auteur.
20 Minutes
par Caroline Vié
Les frères Dardenne ont produit ce film dirigé par le réalisateur de « Hedi, un vent de liberté ». Leur influence bienveillante est sensible tout au long du film.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
La grâce et la puissance toute en retenue de Mon cher enfant confirment après Hedi (2016), son premier long métrage, toute l’attention qu’il faut porter à l’œuvre naissante du Tunisien Mohamed Ben Attia.
Culturopoing.com
par Emna Mrabet
Après "Hédi, un vent de liberté" (2016), "Weldi" vient confirmer l’indéniable talent, tout en justesse et en finesse, du réalisateur tunisien Mohamed Ben Attia.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Mohamed Dhrif nous bouleverse dans ce film qui évoque la radicalisation à travers les yeux d'un père.
L'Express
par Antoine Le Fur
En paterfamilias rongé par le chagrin et le doute, Mohamed Dhrif est impressionnant. Une prestation intense, à l'image du film en quelque sorte.
L'Humanité
par Dominique Widemann
Après Hedi, un vent de liberté, le réalisateur Mohamed Ben Attia s’empare avec une extrême finesse des cauchemars et réalités qui minent la société tunisienne.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Nicolas Schaller
"Mon cher enfant" s'inscrit dans la lignée de "Hedi. Un vent de liberté", le précédent film de Ben Attia, et impose ce dernier comme l'un des rares portraitistes de la Tunisie actuelle.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Mohamed Ben Attia confirme avec ce nouvel opus tout le bien que nous avions pensé et écrit de ses premiers pas.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Cela pourrait se dérouler partout ailleurs qu'en Tunisie. Il ne s'agit surtout pas d'adopter un point de vue politique, d'expliquer les raisons. Le résultat en est mille fois plus fort.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Mohamed Ben Attia signe un drame poignant sur le combat d’un père pour sauver son garçon. [...] Mohamed Dhrif, le père courage, est extraordinaire de pudeur et de justesse.
Le Monde
par Murielle Joudet
Un mélodrame minimaliste, presque éteint, d'autant plus émouvant que le pathos est savamment absent du film.
Le Parisien
par La Rédaction
Le spectateur ressent profondément la honte, la culpabilité et l’incompréhension de Riadh. Au point de ne plus toujours savoir dessiner la frontière entre ses fantasmes et la réalité.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
C'est dans son minimalisme, son approche quasi documentaire, sa manière de recomposer les gestes du quotidien et l'apparente simplicité du réel que "Mon cher enfant" trouve sa plus grande réussite.
Marianne
par Olivier de Bruyn
Un film précieux.
Télérama
par Frédéric Strauss
Un tour de force pudique, émouvant, éclairant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Libération
par Julien Gester
Ces histoires du monde présent, celle d’une Tunisie aux espoirs enlisés comme celle de ces exodes tragiques de jeunes gens ordinaires vers une terre de terreur, on les connaît par cœur, et l’on sait gré au film de Mohamed Ben Attia de ne pas chercher à en sensationnaliser ou à en expliquer les ressorts intimes par les vues très personnelles de son imagination, par delà la grâce que confèrent à son récit la sensibilité des acteurs, son sens du cadre et la fluidité empathique de sa caméra.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Gérard Delorme
Le pari était risqué, compte tenu du comportement désespérant de ces personnages, que le spectateur est invité à suivre sans arrêt mais auxquels il s’attache quand même grâce à une interprétation très juste.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Un mélodrame délicat sur le thème du terrorisme qui nous interroge sur le manichéisme avec lequel on a trop souvent l’habitude de réduire ce phénomène. Le scénario tumultueux et imparfait en diminue toutefois la portée.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Positif
Dépourvu de didactisme, scénarisé et mis en scène avec une sobriété exemplaire, "Mon cher enfant" dresse avec acuité le portrait émouvant d’un homme blessé dans ses principes, sa morale et ses valeurs. Un film intime et politique qui confirme le talent de son auteur.
20 Minutes
Les frères Dardenne ont produit ce film dirigé par le réalisateur de « Hedi, un vent de liberté ». Leur influence bienveillante est sensible tout au long du film.
Cahiers du Cinéma
La grâce et la puissance toute en retenue de Mon cher enfant confirment après Hedi (2016), son premier long métrage, toute l’attention qu’il faut porter à l’œuvre naissante du Tunisien Mohamed Ben Attia.
Culturopoing.com
Après "Hédi, un vent de liberté" (2016), "Weldi" vient confirmer l’indéniable talent, tout en justesse et en finesse, du réalisateur tunisien Mohamed Ben Attia.
Femme Actuelle
Mohamed Dhrif nous bouleverse dans ce film qui évoque la radicalisation à travers les yeux d'un père.
L'Express
En paterfamilias rongé par le chagrin et le doute, Mohamed Dhrif est impressionnant. Une prestation intense, à l'image du film en quelque sorte.
L'Humanité
Après Hedi, un vent de liberté, le réalisateur Mohamed Ben Attia s’empare avec une extrême finesse des cauchemars et réalités qui minent la société tunisienne.
L'Obs
"Mon cher enfant" s'inscrit dans la lignée de "Hedi. Un vent de liberté", le précédent film de Ben Attia, et impose ce dernier comme l'un des rares portraitistes de la Tunisie actuelle.
La Septième Obsession
Mohamed Ben Attia confirme avec ce nouvel opus tout le bien que nous avions pensé et écrit de ses premiers pas.
Le Figaro
Cela pourrait se dérouler partout ailleurs qu'en Tunisie. Il ne s'agit surtout pas d'adopter un point de vue politique, d'expliquer les raisons. Le résultat en est mille fois plus fort.
Le Journal du Dimanche
Mohamed Ben Attia signe un drame poignant sur le combat d’un père pour sauver son garçon. [...] Mohamed Dhrif, le père courage, est extraordinaire de pudeur et de justesse.
Le Monde
Un mélodrame minimaliste, presque éteint, d'autant plus émouvant que le pathos est savamment absent du film.
Le Parisien
Le spectateur ressent profondément la honte, la culpabilité et l’incompréhension de Riadh. Au point de ne plus toujours savoir dessiner la frontière entre ses fantasmes et la réalité.
Les Inrockuptibles
C'est dans son minimalisme, son approche quasi documentaire, sa manière de recomposer les gestes du quotidien et l'apparente simplicité du réel que "Mon cher enfant" trouve sa plus grande réussite.
Marianne
Un film précieux.
Télérama
Un tour de force pudique, émouvant, éclairant.
Libération
Ces histoires du monde présent, celle d’une Tunisie aux espoirs enlisés comme celle de ces exodes tragiques de jeunes gens ordinaires vers une terre de terreur, on les connaît par cœur, et l’on sait gré au film de Mohamed Ben Attia de ne pas chercher à en sensationnaliser ou à en expliquer les ressorts intimes par les vues très personnelles de son imagination, par delà la grâce que confèrent à son récit la sensibilité des acteurs, son sens du cadre et la fluidité empathique de sa caméra.
Première
Le pari était risqué, compte tenu du comportement désespérant de ces personnages, que le spectateur est invité à suivre sans arrêt mais auxquels il s’attache quand même grâce à une interprétation très juste.
aVoir-aLire.com
Un mélodrame délicat sur le thème du terrorisme qui nous interroge sur le manichéisme avec lequel on a trop souvent l’habitude de réduire ce phénomène. Le scénario tumultueux et imparfait en diminue toutefois la portée.