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    Fear Street - Partie 3 : 1666
    Note moyenne
    3,4
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    51 critiques spectateurs

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    Baggio le divin
    Baggio le divin

    5 abonnés 5 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 juillet 2021
    La dernière partie et vraiment pas mal film sympa à regardé un bon scénario pour un film horreur simple mais efficace
    Bryan V.
    Bryan V.

    70 abonnés 922 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 juillet 2021
    La trilogie Fear Street prend fin (le 16 juillet 2021) avec un troisième et dernier film plutôt sympathique et concluant, j'ai vraiment apprécié cette trilogie dans l'ensemble, ce n'est pas le cas pour vous ?
    Après, j'avoue avoir une préférence pour le second volet pour ma part, un préféré également de votre côté ?

    Fear Street (Partie 3 : 1666) est le troisième et dernier volet de la trilogie adapté des livres de l'écrivain R. L. Stine. Il s'agit de la troisième partie du slasher surnaturel qui se déroule sur trois époques, on suit à présent les années 1660 comme l'indique toujours le titre de la partie. Comme pour le premier et le second chapitre, celui-ci est toujours distribué par Netflix avec une distribution toujours identique. La distribution, tout comme son genre est toujours très adolescente avec des habitués des productions Netflix. Quant à l'histoire, inutile de refaire un résumé, c'est la suite et fin directe aux deux précédents films (Fear Street 1994 & 1978).

    Ce troisième et dernier volet est constitué de deux grosses parties bien distinctes. Dans la première partie, nous allons être propulsés en 1966 et revenir aux origines pour en apprendre plus de cette histoire, ainsi que pour répondre et conclure la malédiction de cette trilogie. Quant à la seconde partie, elle reprend le fil de 1994 pour totalement clore (ou presque) cette histoire, presque, car mine de rien, cette série de films pourrait encore proposer un tas de suites, préquels ou encore des spin-offs, (sans compter qu'il y a un post-générique à l'appui), non pas que cette trilogie est déjà un peu tout ça à elle seule. Il faut dire qu'on a déjà bien voyagé avec ces trois volets, la nostalgie et le plaisir fusent fréquemment au rendez-vous, c'est ce qui en fait d'ailleurs tout son charme.

    Cette fois, le récit se déroule globalement en 1666, mais pas seulement, le changement d'ambiance est assez radical pour l'ensemble de cette partie. L'atmosphère est très communautaire, coloniale et secte. On oublie cette fois un peu l'aspect de slasher, car il n'est désormais n'est plus présent dans la première partie, on se consacre cette fois uniquement à l'aspect surnaturel, dont la malédiction qui traite plus précisément de la sorcellerie, à ce stade, ce n'est plus un secret et cela devient même plus intéressant. Après, c'est certes toujours très cliché (, mais cliché ne signifie pas mauvais), on retrouve et comprend notamment le cliché de la rumeur (, mais pas que) qui au bout du compte ressort plutôt bien de cette trilogie, la malédiction est comprise, et presque méritée.

    Enfin bref, c'est une bonne petite trilogie avec une préférence pour le second volet.
    Estonius
    Estonius

    3 375 abonnés 5 452 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 juillet 2021
    Ce film de deux heures se décompose en deux parties, la première qui dure 75 minutes est tout simplement fabuleuse, son seul défaut étant une photo bien trop sombre, mais sinon Kiana Madeira laisse exploser tout son talent dans cette histoire où la réalisatrice prend comme axe principal de narration, le fanatisme, l'intolérance et la bêtise des foules, le gore étant réduit à la portion congrue. Une partie qui vaut bien son 9/10. La seconde partie était nécessaire mais fallait-il la faire durer 45 minutes ? D'autant que les confusions sont loin d'être évités et qu'un étrange et inattendu sentiment de bâclage se fait sentir, une partie qui ne vaut que 4/10, mais quand on moyennise on arrive à un bon 7. Et puis j'aime bien la conclusion, Kiana et sa copine sont lesbiennes en toute décontraction sans état d'âme ni prêchi-prêcha, ça fait du bien de les voir heureuses.
    James Ford
    James Ford

    205 abonnés 186 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 juillet 2021
    Voila, troisième partie et final de la trilogie des Fear Street...

    Est bien même si ce dernier chapitre n'aura clairement pas était la meilleur (pour moi) par rapport au 2er. Notamment la superbe seconde partie.
    Elle n'en reste pas moins efficace, concluant la trilo avec satisfaction (tout en laissant quelques portes ouvertes, comme tout bon film d'épouvante) et surtout des surprises pour le moins inattendues.

    Ce qui fait bien plaisir. Assez rare qu'on me balade comme il faut, surtout avec ce genre la. Ce troisième chapitre n'a pas forcément autant de référence que les 2 autres. Il est surtout là pour connecter l'ensemble, et servir de pont avec le 1er.

    Il reste bien foutue, notamment la 1er heure. Si le dernier acte est un peu précipité, le reste tient la route, même si j'aurais aimé un dernier carnage pour finir la chose comme il se doit (...On est dans un Slasher, ne me jugez pas ^^).

    J'aime particulièrement ce que dénonce la fin du film (et des personnes tuées).

    En tout cas, un plaisir d'avoir vu cette franchise de films, largement plus satisfaisante que beaucoup de films que j'ai vu en salle (ou dans le genre horreur/Slasher). Même si le tout ne réinvente rien, l'équipe derrière et la réalisatrice Leigh Janiak on fait du très bon boulot, et globalement bien fidèle pour ce que j'en ai entendu dire (faudra que je me trouve les livres)...

    Note : Certains fragiles crachent encore sur le fait que l'histoire tourne autour de deux jeunes femmes qui s'aime...En 2021. Décidément, ce que le film montre en 1666 et qui fait écho en 94's, fonctionne malheureusement toujours. Bravo à R.L Stine est a l'équipe pour le récit, et d'avoir créé ces personnages la.
    RedArrow
    RedArrow

    1 669 abonnés 1 531 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 juillet 2021
    Si l'on s'amusait à condenser schématiquement "Fear Street" en un simple slasher fantastique à la durée normale de 1h30, les deux premiers opus en composeraient la première heure, arrivant au fameux point de bascule où une révélation capitale viendrait bouleverser les enjeux et donner une nouvelle grille de lecture pour espèrer en trouver la résolution. Et c'est exactement ce à quoi va servir ce nouveau retour en arrière auquel nous convie cette Partie 3, il n'est d'ailleurs pas ici question de quelques décennies comme dans le précédent mais bien de plusieurs siècles pour nous ramener là où tout a commencé : les origines de la malédiction de Sarah Fier en 1666 dans la petite ville d'Union, scindée à notre époque entre Sunnyvale et Shadyside. Grâce à l'astuce finale de la Partie 2, le visage de l'héroïne de 1994 devient ainsi celui de la future sorcière tout comme la plupart des habitants de ce coin isolé d'Amérique du XVIIème siècle sous l'emprise de la superstition religieuse vont également avoir les traits de tous les personnages majeurs croisés dans les autres films.
    Ce que l'on avait aperçu de ce troisième opus comme avant-goût à la fin du deuxième pouvait laisser craindre que "Fear Street" allait tenter de singer "The Witch" en termes d'atmosphère, sacrifiant de fait le rythme soutenu et généreux de slasher qui avait prévalu jusqu'ici. Encore une fois, on avait encore sous-estimé les têtes pensantes de la saga car si, bien évidemment, ce nouveau cadre temporel va forcément obliger la narration à être plus posée et empêcher l'utilisation de certains subterfuges des deux autres opus (la B.O. en mode juke-box incessant laisse ici par exemple un total champ-libre à une très bonne partition de Marco Beltrami), cela ne va nullement empêcher de faire souffler un vent de modernité et de jeunesse très divertissant en cette triste année 1666 !
    Bien loin d'une posture auteurisante (ça aurait été un changement aussi radical que bizarre), "Fear Street Part 3" s'empare des poncifs du bon vieux récit de chasse aux sorcières révoltante pour en faire des parallèles contemporains plutôt amusants (la fête dans les bois) mais principalement pour souligner les similarités entre la destinée dramatique de Sarah Fier et celle de l'héroïne de 1994 et enfin faire prendre une envergure beaucoup plus intéressante à la mythologie de la saga par un twist bien pensé (quoiqu'un peu prévisible au fur et à mesure que l'on s'en rapproche).
    À travers ce bond dans le passé très réussi (oserait-on dire le meilleur ?), se dessine en effet un discours sur l'ostracisation de la différence qui n'a fait que se prolonger au fil des siècles grâce à ceux se jugeant les gardiens de la normalité mais usant de moyens qui n'y correspondent en rien pour la faire perdurer dans les apparences où ils se dissimulent. Finalement, même si les épisodes de 1666 et de 1978 auront réussi tragiquement à étouffer la voix des pré-freaks dans la violence, rendant par la même occasion les habitants d'Union eux-mêmes responsables de la malédiction qui les frappera durant des siècles, celle-ci ne pourra prendre qu'un point final avec l'avènement des héros/freaks de 1994, ayant désormais pleinement connaissance de l'engrenage qui cherche à les détruire et contre lequel ils vont se lever.

    Boosté par la nouvelle mesure des événements, la trilogie "Fear Street" s'achèvera sur un combat final en forme de feu d'artifice, en écho à celui du premier film, mais où, cette fois, ceux qui avaient les rôles de victimes improvisées prendront leur destin en mains pour enfin tenter de renverser l'ordre établi. Multipliant les trouvailles en forme de rounds jubilatoires avec la galerie de tueurs mis en place, l'affrontement jouera pleinement sur notre attachement à cette équipe de bras cassés créée au fur et à mesure des films dans le but de les faire grandir une fois pour toutes au sein d'un savoureux cocktail de sourires, d'émotion et, bien sûr, d'exécutions en tout genre.

    Leigh Janiak avait donc bel et bien gardé le meilleur pour la fin avec une troisième partie réussissant nettement à hausser le ton autour des fondations de son univers afin de nous emmener vers une ultime bataille condensant à peu près tout ce qui a fait notre sympathie pour cette trilogie durant trois semaines consécutives. Si les deux premiers films avaient fait office de cours de récréation nostalgiques revisitées avec modernité et où l'on avait plaisir à s'amuser, le troisième sera parvenu en outre à donner plus de sens et d'identité à l'ensemble et faire de "Fear Street" une saga qui, sans égaler les meilleurs représentants du genre, deviendra un nom que l'on citera sans rougir à l'avenir si l'envie nous vient de faire découvrir une proposition originale et contemporaine de slasher fantastique.
    Shogo Tsuyeko
    Shogo Tsuyeko

    1 abonné 3 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 16 juillet 2021
    Je déconseille fortement pas de fond au niveau de l histoire l horreur est inexistant et le pseudo message lié à la sexualité n apporte rien du tout.
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