Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
4 critiques presse
L'Ecran Fantastique
par Yann Lebecque
Si tous les ingrédients d’un bon slasher sont réunis, on ne peut s’empêcher de regretter malgré tout le manque d’originalité de l’ensemble, avec une fin de nouveau ouverte sur l’ultime volet.
Mad Movies
par Jean-Baptiste Herment
Moins convaincant [que le premier volet], "Fear Street - Partie 2 : 1978" se veut plus proche de l'esprit linéaire d'un "Vendredi 13" que Janiak tente de doper par un humour noir à la "American Horror Story : 1984".
Télé 7 Jours
par Camille Sanson
Un divertissement gore, fun et servi par des acteurs talentueux.
Ecran Large
par Raphaël Iggui
Passé l'effet de surprise de Fear Street - Partie 1 : 1994, sa suite peine à convaincre. Prolongeant maladroitement sa mythologie tout en s'aventurant sur les terres du slasher, le film ne trouve aucune porte de sortie pour éviter son enlisement dans un récit aussi calibré bien qu'honorablement sauvé par quelques saillies sanglantes et un casting attachant. On reste sur notre faim, mais avec l'appétit ouvert pour le troisième volet.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Ecran Fantastique
Si tous les ingrédients d’un bon slasher sont réunis, on ne peut s’empêcher de regretter malgré tout le manque d’originalité de l’ensemble, avec une fin de nouveau ouverte sur l’ultime volet.
Mad Movies
Moins convaincant [que le premier volet], "Fear Street - Partie 2 : 1978" se veut plus proche de l'esprit linéaire d'un "Vendredi 13" que Janiak tente de doper par un humour noir à la "American Horror Story : 1984".
Télé 7 Jours
Un divertissement gore, fun et servi par des acteurs talentueux.
Ecran Large
Passé l'effet de surprise de Fear Street - Partie 1 : 1994, sa suite peine à convaincre. Prolongeant maladroitement sa mythologie tout en s'aventurant sur les terres du slasher, le film ne trouve aucune porte de sortie pour éviter son enlisement dans un récit aussi calibré bien qu'honorablement sauvé par quelques saillies sanglantes et un casting attachant. On reste sur notre faim, mais avec l'appétit ouvert pour le troisième volet.