Nicky Larson et le parfum de Cupidon : Critique presse
Nicky Larson et le parfum de Cupidon
Note moyenne
2,9
26 titres de presse
20 Minutes
Closer
LCI
Le Journal du Geek
Le Parisien
Public
CNews
Ecran Large
IGN France
L'Ecran Fantastique
L'Express
La Voix du Nord
Le Figaro
Le Point
Les Fiches du Cinéma
Télé Loisirs
Télérama
aVoir-aLire.com
L'Obs
Le Dauphiné Libéré
Mad Movies
Ouest France
Première
Télé 7 Jours
Le Journal du Dimanche
Le Monde
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Les scènes d’action de Nicky Larson et le parfum de Cupidon sont impressionnantes. On retiendra notamment une poursuite dans les rues de Monaco avec des voitures et un lit king size.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Closer
par La Rédaction
Une comédie d'action réussie.
LCI
par La Rédaction
Un film à la fois drôle et stylé que le réalisateur a voulu mettre à l'image du dessin animé.
La critique complète est disponible sur le site LCI
Le Journal du Geek
par Allan Blanvillain
Nicky Larson et le parfum de Cupidon est un film drôle et sincère, réalisé par un passionné.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Le Parisien
par La Rédaction
Très librement inspirée d’un manga diffusé à partir de la fin des années 1980, cette comédie joue à démarrer lentement pour mieux faire rugir le turbo auquel sont habitués les fans de l’univers de Lacheau et sa bande.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Public
par Florence Roman
Le réalisateur s’est coulé avec aisance dans l’univers de Nicky Larson dont il restitue l’humour potache, les scènes d’action et les gags très visuels.
CNews
par La rédaction
Cette comédie française qui réunit des "guests" comme Audrey Lamy et Pamela Anderson, multiplie les références à l’animation japonaise et les gags visuels, mais souffre de faibles dialogues et d’un traitement de l’homosexualité digne des bancs du collège.
Ecran Large
par Simon Riaux
Si Lacheau réussit une belle adaptation de Nicky Larson, traversée de purs moments de grâce comique, l'homophobie ordinaire qui colorait déjà les précédents travaux de sa bande est encore de la partie...
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
IGN France
par Erwan Lafleuriel
Ôtez la composante City Hunter de l'alchimie du film de Philippe Lacheau et vous avez probablement le top de ce qu'on fait en comédie action française actuellement. Autant dire que ça vole pas haut, mais c'est rythmé et maîtrisé, avec des combats réussis.
La critique complète est disponible sur le site IGN France
L'Ecran Fantastique
par Cédric Coppola
Malin donc et gentiment provoc' [...], ce portage live, en dépit d'une baisse de régime à mi-parcours et de prestations en retrait de la part des seconds couteaux, fait travailler les zygomatiques.
L'Express
par Christophe Carrière
Point positif et non négligeable : la montée en puissance du metteur en scène Lacheau, capable de mettre en boîte des scènes d'action survitaminées qui font de ce long-métrage un divertissement finalement très consommable.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
À la fois vrai film de fan décomplexé et farce survitaminée visant sous la ceinture. Lourdingue... mais drôle.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par La Rédaction
L'équipe de Babysitting adapte le manga du «Club Dorothée». Une parodie de film d'action de mauvais goût. Très bête et très drôle.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Point
par Mathilde Cesbron
On s'attendait au film le plus nul de l'année. Le pitch, la bande-annonce, les affiches…, tout laissait présager au pire. Mais non, pas d'accident industriel. Nicky Larson : Le Parfum de Cupidon (inspiré du célèbre dessin animé du Club Dorothée et du tout aussi célèbre manga japonais City Hunter) est un délire adulescent complètement assumé, une aventure pétaradante qui vire à l'absurde.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Michaël Ghennam
Cette adaptation passéiste et quasi littérale de la série d’animation “francisée” s’assume comme une récréation cartoonesque, malgré des fautes de goûts.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télé Loisirs
par Thomas Colpaert
Le scénario est léger [...] mais l'acteur-réalisateur fait preuve, comme d'habitude, d'une sacrée énergie et envoie de nombreux clins d'oeil à la génération Dorothée.
Télérama
par Nicolas Didier
Si les gags “osés” sont plus ou moins réussis, le cinéaste se rattrape sur ses habituels points forts : qualité des scènes d’action et pureté des histoires d’amour.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Une production AB dans la forme et le ton monocorde des acteurs, mais toujours drôle et impertinente comme il faut.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Hormis quelques scènes qui ressuscitent la folie absurde de la série animée, le film s'épuise dans une mollesse d'exécution que rien ne réanime : ni la scène seins nus de Chantal Ladesou ni la participation en bimbo insipide de Pamela Anderson.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Si, en matière de nullité, le cahier des charges paraît à peu près rempli, il y manque néanmoins un peu de ce mauvais esprit qui aurait pu donner quelques notes poivrées à ce qui reste, notamment du côté de l’interprétation, une fantaisie souvent fade, et quelques grains de vraie folie qui eussent été utiles à une comédie un peu trop sage pour déclencher les gros fous rires espérés.
Mad Movies
par François Cau
[...] s'en dégage une forme de sincérité, une volonté de bien faire, voire une petite envie de cinoche dans une baston pas trop dégueu en vue suggestive à la "Hardcore Henry" de bac à sable. Une fois ce constat effectué pour l'amour de l'honnêteté absolue, le film épuise à force de gags éculés depuis 40 ans, de clins d'oeil forcés jusqu'au malaise [...].
Ouest France
par Pierre Lunn
Inégal, souvent plombé par des gags vulgaires et des références obscures pour ceux qui n'ont pas grandi devant le Club Dorothée, le film trouve pourtant l'équilibre entre l'esprit trash du dessin animé et 'humour de boulevard propre à la Bande à Fifi. Mais est-ce bien suffisant ?
Première
par François Léger
Bien qu’inégal dans sa mise en scène (on est parfois proche du téléfilm... de TF1) et plombé par la lourdeur de certains gags, ce Nicky Larson trouve dans sa deuxième partie une forme d’équilibre entre l’esprit de l’anime et l’humour de la Bande à Fifi, fusion improbable de deux univers aux antipodes. En soi, c’est déjà un tour de magie.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
C’est énorme, pas toujours carré dans l’interprétation, mais leur humour « potrash » de sales gosses sympas est toujours hilarant.
Le Journal du Dimanche
par E.M.
[...] une comédie d’action efficace dans ses cascades et ses effets spéciaux, mais d’un vide abyssal dans son intrigue, limitée à une succession de gags prévisibles à l’humour lourdingue et vulgaire façon Max Pecas.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Le film, comédie d'action poussive et laide tournée en prises de vues réelles, fait ainsi subir les outrages à la belle bande dessinée originelle, City Hunter.
20 Minutes
Les scènes d’action de Nicky Larson et le parfum de Cupidon sont impressionnantes. On retiendra notamment une poursuite dans les rues de Monaco avec des voitures et un lit king size.
Closer
Une comédie d'action réussie.
LCI
Un film à la fois drôle et stylé que le réalisateur a voulu mettre à l'image du dessin animé.
Le Journal du Geek
Nicky Larson et le parfum de Cupidon est un film drôle et sincère, réalisé par un passionné.
Le Parisien
Très librement inspirée d’un manga diffusé à partir de la fin des années 1980, cette comédie joue à démarrer lentement pour mieux faire rugir le turbo auquel sont habitués les fans de l’univers de Lacheau et sa bande.
Public
Le réalisateur s’est coulé avec aisance dans l’univers de Nicky Larson dont il restitue l’humour potache, les scènes d’action et les gags très visuels.
CNews
Cette comédie française qui réunit des "guests" comme Audrey Lamy et Pamela Anderson, multiplie les références à l’animation japonaise et les gags visuels, mais souffre de faibles dialogues et d’un traitement de l’homosexualité digne des bancs du collège.
Ecran Large
Si Lacheau réussit une belle adaptation de Nicky Larson, traversée de purs moments de grâce comique, l'homophobie ordinaire qui colorait déjà les précédents travaux de sa bande est encore de la partie...
IGN France
Ôtez la composante City Hunter de l'alchimie du film de Philippe Lacheau et vous avez probablement le top de ce qu'on fait en comédie action française actuellement. Autant dire que ça vole pas haut, mais c'est rythmé et maîtrisé, avec des combats réussis.
L'Ecran Fantastique
Malin donc et gentiment provoc' [...], ce portage live, en dépit d'une baisse de régime à mi-parcours et de prestations en retrait de la part des seconds couteaux, fait travailler les zygomatiques.
L'Express
Point positif et non négligeable : la montée en puissance du metteur en scène Lacheau, capable de mettre en boîte des scènes d'action survitaminées qui font de ce long-métrage un divertissement finalement très consommable.
La Voix du Nord
À la fois vrai film de fan décomplexé et farce survitaminée visant sous la ceinture. Lourdingue... mais drôle.
Le Figaro
L'équipe de Babysitting adapte le manga du «Club Dorothée». Une parodie de film d'action de mauvais goût. Très bête et très drôle.
Le Point
On s'attendait au film le plus nul de l'année. Le pitch, la bande-annonce, les affiches…, tout laissait présager au pire. Mais non, pas d'accident industriel. Nicky Larson : Le Parfum de Cupidon (inspiré du célèbre dessin animé du Club Dorothée et du tout aussi célèbre manga japonais City Hunter) est un délire adulescent complètement assumé, une aventure pétaradante qui vire à l'absurde.
Les Fiches du Cinéma
Cette adaptation passéiste et quasi littérale de la série d’animation “francisée” s’assume comme une récréation cartoonesque, malgré des fautes de goûts.
Télé Loisirs
Le scénario est léger [...] mais l'acteur-réalisateur fait preuve, comme d'habitude, d'une sacrée énergie et envoie de nombreux clins d'oeil à la génération Dorothée.
Télérama
Si les gags “osés” sont plus ou moins réussis, le cinéaste se rattrape sur ses habituels points forts : qualité des scènes d’action et pureté des histoires d’amour.
aVoir-aLire.com
Une production AB dans la forme et le ton monocorde des acteurs, mais toujours drôle et impertinente comme il faut.
L'Obs
Hormis quelques scènes qui ressuscitent la folie absurde de la série animée, le film s'épuise dans une mollesse d'exécution que rien ne réanime : ni la scène seins nus de Chantal Ladesou ni la participation en bimbo insipide de Pamela Anderson.
Le Dauphiné Libéré
Si, en matière de nullité, le cahier des charges paraît à peu près rempli, il y manque néanmoins un peu de ce mauvais esprit qui aurait pu donner quelques notes poivrées à ce qui reste, notamment du côté de l’interprétation, une fantaisie souvent fade, et quelques grains de vraie folie qui eussent été utiles à une comédie un peu trop sage pour déclencher les gros fous rires espérés.
Mad Movies
[...] s'en dégage une forme de sincérité, une volonté de bien faire, voire une petite envie de cinoche dans une baston pas trop dégueu en vue suggestive à la "Hardcore Henry" de bac à sable. Une fois ce constat effectué pour l'amour de l'honnêteté absolue, le film épuise à force de gags éculés depuis 40 ans, de clins d'oeil forcés jusqu'au malaise [...].
Ouest France
Inégal, souvent plombé par des gags vulgaires et des références obscures pour ceux qui n'ont pas grandi devant le Club Dorothée, le film trouve pourtant l'équilibre entre l'esprit trash du dessin animé et 'humour de boulevard propre à la Bande à Fifi. Mais est-ce bien suffisant ?
Première
Bien qu’inégal dans sa mise en scène (on est parfois proche du téléfilm... de TF1) et plombé par la lourdeur de certains gags, ce Nicky Larson trouve dans sa deuxième partie une forme d’équilibre entre l’esprit de l’anime et l’humour de la Bande à Fifi, fusion improbable de deux univers aux antipodes. En soi, c’est déjà un tour de magie.
Télé 7 Jours
C’est énorme, pas toujours carré dans l’interprétation, mais leur humour « potrash » de sales gosses sympas est toujours hilarant.
Le Journal du Dimanche
[...] une comédie d’action efficace dans ses cascades et ses effets spéciaux, mais d’un vide abyssal dans son intrigue, limitée à une succession de gags prévisibles à l’humour lourdingue et vulgaire façon Max Pecas.
Le Monde
Le film, comédie d'action poussive et laide tournée en prises de vues réelles, fait ainsi subir les outrages à la belle bande dessinée originelle, City Hunter.