Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Guerand
Au suivant! tricote une comédie sentimentale plaisante, A. Lamy et C. Cornillac s'imposent avec charme et fantaisie.
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
MCinéma.com
par Jean-Christophe Derrien
Cette comédie romantique manque de chair. On suit sans déplaisir ce qui se passe à l'écran, mais en même temps, on s'en fiche un peu. Il manque sans doute un enjeu fort et des péripéties sortant de l'ordinaire.
Ouest France
par La rédaction
Jeanne Biras, qui signe là son premier long-métrage, reste sagement dans les couloirs balisés de la convention. Pas de surprise à attendre d'un scénario qui lambine dans les rues de Paris au gré de quelques menus rebondissements d'une saveur souvent émoussée.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Première
par Stéphanie Lamome
Enième dommage collatéral de la crise de la trentaine, ce premier film aurait gagné à exploiter davantage le comique d'anecdotes de casting (...) plutôt que celui, inégal, des one-man-shows de Lamy et Cornillac.
La critique complète est disponible sur le site Première
Score
par Iris Steensma
Alors qu'après la vision d'Au suivant ! vous devriez déplorer le goût fadasse d'une redite de Bridget Jones sauce frenchy, vous ne garderez à la bouche que la saveur sucrée du sourire et des yeux du plus jouissif des clowns, de l'artiste formidable qu'est Cornillac.
La critique complète est disponible sur le site Score
Zurban
par Véronique Le Bris
On vous l'accorde, le thème n'est pas d'une originalité décoiffante. Mais Jeanne Biras (...) réussit à tenir le rythme, à nous amuser par des pics qu'elle adresse au milieu du cinéma et de la pub.
Brazil
par Alex Masson
Une succession de scolaires champs/contre-champs, et de sous-intrigues ne faisant en rien progresser le récit, lui permettant tout juste d'arriver à une durée standard d'une heure trente.
Cahiers du Cinéma
par François Bégaudeau
Rien de plus triste que de voir un acteur [Cornillac] gâcher ses talents, nombreux, en les étalant au sol comme marchandises à troquer (contre quoi ?). Cornillac promène ainsi dans Au Suivant! sa petite entreprise.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
Au final, un produit nain, toujours dans l'ombre de quelque chose (le genre, l'Amérique, la télé), d'une neutralité folle. La comédie française n'a toujours pas trouvé sa star féminine, mais bon, si ça marche, Alexandra Lamy est promise à jouer le même topo pour quelques années, en sursis permanent entre méga succès et nanars invisibles, telle une Michèle Laroque new age.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
par Thomas Sotinel
A moins de faire preuve d'une exceptionnelle tolérance aux sucreries, la consommation d'Au suivant risque de provoquer un léger écoeurement.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Ce qui est grave, c'est le schématisme assassin de l'ensemble. Le pire n'est pas la partie romantique, mais la description du milieu du cinéma et notamment de ce personnage débile de cinéaste américain, prétentieux, capricieux et bête comme ses pieds. (...) On tombe dansle poujadisme.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Pierre Eisenreich
Une comédie qui manque singulièrement de rythme. Les séances d'audition interviennent comme des interludes pop, les caricatures des étrangers sont pour le moins lourdes (...) ; quant au contenu sentimental, il ne dépasse guère le niveau du magazine Marie-Claire.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Télérama
par Cécile Mury
Hélas, il ne suffit pas de mélanger les ingrédients pour réussir la potion. Malgré le charme des comédiens, ce Bridget Jones à la française, bout-à-bout de gags gentillets et attendus, manque sérieusement de peps. Un soda sans bulles.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Rania Hoballah
Si les (rares) scènes de casting sont incontestablement les plus réussies (...), le reste du film par contre ne suit pas du tout et manque cruellement de rythme. L'histoire d'amour entre Alexandra Lamy et Clovis Cornillac ne fonctionne pas et certains épisodes, qui se veulent décalés, tombent totalement à plat (...). Le film s'enlise rapidement.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Au suivant! tricote une comédie sentimentale plaisante, A. Lamy et C. Cornillac s'imposent avec charme et fantaisie.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
MCinéma.com
Cette comédie romantique manque de chair. On suit sans déplaisir ce qui se passe à l'écran, mais en même temps, on s'en fiche un peu. Il manque sans doute un enjeu fort et des péripéties sortant de l'ordinaire.
Ouest France
Jeanne Biras, qui signe là son premier long-métrage, reste sagement dans les couloirs balisés de la convention. Pas de surprise à attendre d'un scénario qui lambine dans les rues de Paris au gré de quelques menus rebondissements d'une saveur souvent émoussée.
Première
Enième dommage collatéral de la crise de la trentaine, ce premier film aurait gagné à exploiter davantage le comique d'anecdotes de casting (...) plutôt que celui, inégal, des one-man-shows de Lamy et Cornillac.
Score
Alors qu'après la vision d'Au suivant ! vous devriez déplorer le goût fadasse d'une redite de Bridget Jones sauce frenchy, vous ne garderez à la bouche que la saveur sucrée du sourire et des yeux du plus jouissif des clowns, de l'artiste formidable qu'est Cornillac.
Zurban
On vous l'accorde, le thème n'est pas d'une originalité décoiffante. Mais Jeanne Biras (...) réussit à tenir le rythme, à nous amuser par des pics qu'elle adresse au milieu du cinéma et de la pub.
Brazil
Une succession de scolaires champs/contre-champs, et de sous-intrigues ne faisant en rien progresser le récit, lui permettant tout juste d'arriver à une durée standard d'une heure trente.
Cahiers du Cinéma
Rien de plus triste que de voir un acteur [Cornillac] gâcher ses talents, nombreux, en les étalant au sol comme marchandises à troquer (contre quoi ?). Cornillac promène ainsi dans Au Suivant! sa petite entreprise.
Chronic'art.com
Au final, un produit nain, toujours dans l'ombre de quelque chose (le genre, l'Amérique, la télé), d'une neutralité folle. La comédie française n'a toujours pas trouvé sa star féminine, mais bon, si ça marche, Alexandra Lamy est promise à jouer le même topo pour quelques années, en sursis permanent entre méga succès et nanars invisibles, telle une Michèle Laroque new age.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
A moins de faire preuve d'une exceptionnelle tolérance aux sucreries, la consommation d'Au suivant risque de provoquer un léger écoeurement.
Les Inrockuptibles
Ce qui est grave, c'est le schématisme assassin de l'ensemble. Le pire n'est pas la partie romantique, mais la description du milieu du cinéma et notamment de ce personnage débile de cinéaste américain, prétentieux, capricieux et bête comme ses pieds. (...) On tombe dansle poujadisme.
Positif
Une comédie qui manque singulièrement de rythme. Les séances d'audition interviennent comme des interludes pop, les caricatures des étrangers sont pour le moins lourdes (...) ; quant au contenu sentimental, il ne dépasse guère le niveau du magazine Marie-Claire.
Télérama
Hélas, il ne suffit pas de mélanger les ingrédients pour réussir la potion. Malgré le charme des comédiens, ce Bridget Jones à la française, bout-à-bout de gags gentillets et attendus, manque sérieusement de peps. Un soda sans bulles.
aVoir-aLire.com
Si les (rares) scènes de casting sont incontestablement les plus réussies (...), le reste du film par contre ne suit pas du tout et manque cruellement de rythme. L'histoire d'amour entre Alexandra Lamy et Clovis Cornillac ne fonctionne pas et certains épisodes, qui se veulent décalés, tombent totalement à plat (...). Le film s'enlise rapidement.