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    Il Figlio, Manuel
    Note moyenne
    3,9
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    26 critiques spectateurs

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    Alice L
    Alice L

    165 abonnés 206 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 mars 2018
    Manuel est une révélation ! L'acteur est d'une justesse incroyable et la mise en scène est très intéressante et efficace.
    Un film très émouvant !
    jean l.
    jean l.

    158 abonnés 231 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 mars 2018
    magnifique film sur un rapport inverse mère fils et surtout grande découverte d’un jeune metteur en scène italien! cela fait plaisir de voiir un cinéaste neo realiste émouvant et juste
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 8 mars 2018
    Manuel est baraqué pour ses 18 ans et adore le foot. Maintenant qu’il est majeur, il va devoir quitter le Foyer éducatif, près de Rome, où il a été placé depuis que sa mère est en prison. Sa sortie tombe bien, parce qu’il étouffe. Mais sa liberté d’homme l’inquiète aussi, car s’il veut se porter garant de sa Mama chérie, pour qu’elle sorte plus tôt que prévu sous le régime de l’assignation à résidence, il lui faut devenir un adulte responsable. Tout se joue entre espoir d’une vie nouvelle et devoir d’être à la hauteur.
    Donner des gages aux magistrats, convaincre les services sociaux, multiplier les démarches administratives, trouver un boulot stable, remettre en état l’appartement familial… Cela fait beaucoup pour un jeune homme qui n’a que sa bonne volonté à offrir. Car, ce qu’on lui demande, au fond, revient à renoncer à ses plaisirs d’ado. Et à sacrifier sa propre liberté pour favoriser celle de l’être aimé… Au-delà de la prise de conscience, c’est cet abandon d’une zone de confort que filme Dario Albertini. Comme un passage à l’âge adulte.
    Centré, quasi-exclusivement autour du personnage de Manuel, le scénario d’Il Figlio n’est pas d’une grande audace. Et du point de vue formel, quelques plans un peu étirés parasitent parfois le récit. Mais dans ce film, beaucoup se joue sur la sensibilité avec laquelle Andrea Lattanzi incarne le héros. Avec un entêtement discret et une émotion contenue. A lui seul, le jeune acteur parvient à faire partager ses angoisses et à provoquer « ce moment magique ou fiction et réalité se confondent », comme le souhaitait le réalisateur.
    Barnabé Jarrot
    Barnabé Jarrot

    17 abonnés 62 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 mars 2018
    Une très belle surprise ! Un film tout en délicatesse, sensible, toujours juste. L'acteur principal est une vraie révélation. A ne pas manquer !
    SaintPauly
    SaintPauly

    19 abonnés 64 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 mars 2018
    Il figlio, Manuel est un road movie au milieu de nulle part où la personnage principale n'est qu'un passager qui ne dirige pas où il va, ou ce qu'il voit ou ce qu'il fait. Manuel (le talentueux Andrea Lattanzi) est kidnappé par sa situation et captif à ses circonstances donc sa destination ultime ne dépend pas de lui, jusqu'à ce qu'il arrive et se rend compte qu'il est perdu.

    Il figlio, Manuel est un voyage silencieux dans des teintes de gris avec assez de force d'avancer lentement et des personnages secondaires assez forts de soutenir le tour de force subtile livré par Lattanzi.

    Il figlio, Manuel ne sera pas sur la liste de meilleurs films de l'année, mais il ne sera pas oublié non plus et vaut bien le détour.
    Christophe M
    Christophe M

    3 abonnés 23 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 novembre 2017
    Manuel est grand... Manuel est beau... Manuel est fort... C'est un film simple... Humble... Plein de force...
    domit64
    domit64

    50 abonnés 258 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 mars 2018
    Un beau film sur l’amour et le devoir d’un fils pour sa mère. On suit le parcours de ce gamin devenu grand trop vite, des scènes fortes sans être intenses.
    L’acteur principal est exceptionnel, une présence incroyable.
    On retrouve le réalisme du cinéma italien.
    Joce2012
    Joce2012

    204 abonnés 581 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 mars 2018
    Ce film est moyen.... c'est un petit film sans prétention mais qui n'apporte pas grand chose, hormis l'amour du fils pour la mère ...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 8 mars 2018
    Premier film magnifique et étonnant avec une révélation en la personne de Andrea Lattanzi. Un coming of age âpre et d'un grand réalisme.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 9 mars 2018
    Le film est pas mal du tout. Belle histoire qui tourne autour du jeune Manuel et de sa mère. Intéressant à regarder et belle langue italienne à écouter
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 8 mars 2018
    Découvert ce petit bijou du cinéma italien hier. Un étonnant portrait d'un adolescent responsable, interprété avec maestria par Andrea Lattanzi. Un film fort, tenu, profond, rare.
    traversay1
    traversay1

    3 572 abonnés 4 861 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 mars 2018
    Le récit d'Il figlio, Manuel, est très linéaire et exclusivement centré sur ce personnage de 18 ans qui vient de sortir d'un centre éducatif et dont l'objectif premier est de parvenir à faire libérer sa mère de prison. Un garçon à peine délivré de sa propre prison et qui doit montrer aux autorités son sens des responsabilités, de façon à prendre soin de sa propre mère. Cette inversion du pouvoir et la question de savoir si Manuel sera capable d'être à la hauteur forment l'intérêt principal de ce premier film de Dario Albertini, photographe et, depuis quelques années, documentariste. Si le film cite Truffaut, c'est cependant du côté des Dardenne, voire de Loach, qu'il tend avec un souci de réalisme qui n'est jamais pris en défaut. Ceci posé, Il figlio, Manuel, peu enclin au pathos, c'est bien, manque de rythme et n'accorde pas assez de place aux rencontres que fait son héros. En résulte une certaine uniformité dans son ton et dans ses anecdotiques péripéties, malgré l'excellence de son jeune interprète, Andrea Lattanzi, principale raison pour accorder un peu d'importance au film.
    velocio
    velocio

    1 303 abonnés 3 135 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 mars 2018
    Photographe à l’origine, 43 ans au compteur, le romain Dario Albertini est entré par le documentaire dans la réalisation cinématographique. "Il figlio Manuel" est son premier long métrage de fiction. Il a obtenu 3 prix lors du Festival du cinéma méditerranéen de Montpellier 2017, dont deux prix majeurs : l’Antigone d’or, décerné par le Jury, et le Prix de la critique.
    Arrivé à l’âge de 18 ans, Manuel doit quitter le centre éducatif dans lequel il avait été placé quand, lui étant mineur, sa mère avait été incarcérée : en Italie, l’aide économique permettant à des jeunes de rester dans de telles institutions s’arrête lorsqu’ils atteignent leur majorité. Cette mère, il ne cessait d’y penser durant son séjour dans l’institution et il avait en tête de faire coïncider dans le temps leur retour à la liberté, à elle et à lui. Pour cela, pour que sa mère puisse être assignée à résidence, en liberté surveillée auprès de lui, il doit arriver à prouver, à sa sortie de l’institution, qu’il est apte à s’en porter garant.
    Avec l’histoire de Manuel, Dario Albertini prouve qu’on peut réaliser un film passionnant centré sur un grand adolescent arrivant à l’âge adulte avec un comportement que l’on pourra qualifier, selon sa philosophie personnelle, de raisonnable ou de timoré. Film passionnant car les scénaristes ont fait en sorte que la vie de Manuel ne soit pas un long fleuve tranquille à sa sortie de l’institution : entre cette sortie et le rêve qu’il a en tête, on sent que Manuel est balloté au gré de ses rencontres, dont celle d’un ancien ami venu le visiter pour lui proposer un poste important en Croatie et dont tout laisse à penser qu’il n’est pas très « clean ». Pour le spectateur cela se traduit par un questionnement presque permanent : que va-t-il finalement décider, va-t-il réussir à aller au bout de ce qu’il avait en tête ? Dans ce contexte et sans rien « divulgâcher », on conseillera aux spectateurs de bien regarder la destination d’un autocar pris par Manuel vers la toute fin du film : l’image est fugace, mais, si ce détail vous échappe (et c’est le cas chez une bonne moitié des spectateurs non prévenus), c’est le sens profond du film qui, également, vous aura échappé !
    Même si cela fait des années que le cinéma italien est considéré par certains comme étant en état de mort clinique, il ne se passe pas une année sans qu’apparaisse au minimum un nouveau réalisateur prometteur originaire de ce pays qui nous est si proche. Au tour, cette fois-ci, de Dario Albertini. Il vient du monde du documentaire et on n’est donc pas surpris de trouver chez lui des affinités avec le néoréalisme italien, un néoréalisme toutefois modernisé par son croisement avec le cinéma des frères Dardenne et celui de Ken Loach.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 361 abonnés 4 180 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 janvier 2018
    Manuel est majeur et peut enfin quitter le foyer dans lequel il a grandi depuis l’incarcération de sa mère. Mais comment faire pour devenir un adulte responsable quand on a pas appris à grandir ? Surtout que le jeune homme va devoir redoubler d’efforts pour prouver aux autorités qu’il peut veiller sur sa mère lorsqu’elle sortira de prison. Il Figlio, Manuel est une histoire somme toute simple, qui s’attache surtout à suivre les premiers pas du protagoniste vers la liberté. Ses rencontres sont passagères et éphémères et donnent ce sentiment troublant d’engrenage dans la difficile réalité de la vie. Aussi, le film donne l’impression d’avancer à reculons, sans trop savoir où aller. Loin de respirer l’optimisme, ce premier long-métrage de Dario Albertini s’inspire de son documentaire sur la création d’un refuge dédié aux orphelins et s’inscrit plutôt dans la chronique que dans une prenante fiction.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    Daniel C.
    Daniel C.

    145 abonnés 721 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 avril 2018
    Comment viennent les attaques panique ? Qu'est-ce que la phobie, sinon un trouble spatial. La phobie, c'est la peur de la peur. C'est la terreur que l'instant de la mort pressentie ne survienne. Une perception de perte de contrôle a surgi et le risque de sa réapparition terrifie celui ou celle, qui a connu cet état. C'est sur Manuel, que repose la libération de sa mère. Il atteint la majorité et a donc le pouvoir de permettre à sa mère incarcérée de longue date de connaitre une libération conditionnée par une assignation à résidence. Son fils se porterait garant de sa mère, aurait un contrat, serait fiable. Comment ce jeune homme va-t-il affronter la responsabilité de porter la libération de sa mère...
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