Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Un joli premier film plein d'émotion et de vie, d'une légèreté profonde.
L'Humanité
par Dominique Widemann
La touche du jeune cinéaste indien est d’une incroyable légèreté qui lui permet d’aborder des thèmes difficiles. Il exprime ses choix avec calme quand toutes les émotions profondes sont en mouvement.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Positif
par Philippe Niel
Cette première fiction d'un réalisateur indien réussit à aborder sur un mode à la fois burlesque et profond deux préoccupations universelles et étroitement imbriquées : la fin de vie et le conflit des générations.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Le film est constellé de petits détails qui le préservent d’un trop grand esprit de sérieux, comme ces verres de lait aromatisé au chanvre indien que les personnages sirotent à la sauvette, ou le soudain prestige qui vient à Daya, devenu le nécrologue officiel de l’établissement.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Corentin Lê
Teinté d’une mélancolie amère, le film peine, lui aussi, à se défaire de la sempiternelle thérapie de l’incommunicabilité familiale.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Alexandre Bernard
Pour son premier long-métrage, Shubhashish Bhutiani signe une jolie dramédie (la mort est une fête et il est agréable de se souvenir des défunts), portée par un casting juste et de somptueux plans colorés des bords du Gange.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Damien Aubel
(...) les séquences s’enchaînent dans une sorte d’hébétude sereine, flottant plus les unes à la suite des autres qu’elles ne se succèdent. Comme dans ces états de rêverie où l’âme, laissée à elle-même, vague dans un état de distraction.
Télérama
par Jérémie Couston
L’auteur ironise ainsi avec tact et humour sur le cérémonial de la mort dans la religion hindoue, tout en faisant preuve, quand advient ce qui doit advenir, d’une maturité remarquable pour un cinéaste de 26 ans.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Clément Graminiès
(...) le récit s'attache à confronter le plus souvent de manière stérile deux personnages qui peinent à gagner en nuances, trop figés dans ce qui les caractérise trop sommairement.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par François Forestier
Ce premier film se caractérise par un ton enjoué, un regard optimiste sur la mort, un goût salé-sucré, mais la réalisation est pataude, peu maîtrisée, avec des acteurs qui cabotinent à qui mieux mieux. Ça sent le bricolage.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Femme Actuelle
Un joli premier film plein d'émotion et de vie, d'une légèreté profonde.
L'Humanité
La touche du jeune cinéaste indien est d’une incroyable légèreté qui lui permet d’aborder des thèmes difficiles. Il exprime ses choix avec calme quand toutes les émotions profondes sont en mouvement.
Positif
Cette première fiction d'un réalisateur indien réussit à aborder sur un mode à la fois burlesque et profond deux préoccupations universelles et étroitement imbriquées : la fin de vie et le conflit des générations.
Le Monde
Le film est constellé de petits détails qui le préservent d’un trop grand esprit de sérieux, comme ces verres de lait aromatisé au chanvre indien que les personnages sirotent à la sauvette, ou le soudain prestige qui vient à Daya, devenu le nécrologue officiel de l’établissement.
Les Fiches du Cinéma
Teinté d’une mélancolie amère, le film peine, lui aussi, à se défaire de la sempiternelle thérapie de l’incommunicabilité familiale.
Première
Pour son premier long-métrage, Shubhashish Bhutiani signe une jolie dramédie (la mort est une fête et il est agréable de se souvenir des défunts), portée par un casting juste et de somptueux plans colorés des bords du Gange.
Transfuge
(...) les séquences s’enchaînent dans une sorte d’hébétude sereine, flottant plus les unes à la suite des autres qu’elles ne se succèdent. Comme dans ces états de rêverie où l’âme, laissée à elle-même, vague dans un état de distraction.
Télérama
L’auteur ironise ainsi avec tact et humour sur le cérémonial de la mort dans la religion hindoue, tout en faisant preuve, quand advient ce qui doit advenir, d’une maturité remarquable pour un cinéaste de 26 ans.
Critikat.com
(...) le récit s'attache à confronter le plus souvent de manière stérile deux personnages qui peinent à gagner en nuances, trop figés dans ce qui les caractérise trop sommairement.
L'Obs
Ce premier film se caractérise par un ton enjoué, un regard optimiste sur la mort, un goût salé-sucré, mais la réalisation est pataude, peu maîtrisée, avec des acteurs qui cabotinent à qui mieux mieux. Ça sent le bricolage.