Once Upon a Time… in Hollywood
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2 080 critiques spectateurs

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15 abonnés 133 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 17 août 2019
Deux heures de Quentin Tarantino - des passages trop bavards, comme souvent, de l'humour et du spectaculaire, de la violence insupportable mais qui fait rire, une panoplie d'acteurs-stars performants et une très belle bande-son. What else ? Comme Pascale nous nous sommes posé la question : Et si c'était son meilleur film ?On est toujours en attente maximum lorsqu'il s'agit des grands du monde du cinéma. Mais il faut accepter qu'ils changent, eux -aussi !Tarantino raconte l'Histoire mais se l'approprie à sa manière. C'est ainsi dans "Inglorious Bastards" que Hitler sera tué. Ici nous sommes en 1969 et l'époque est formidablement reconstituée, mais certains événements seront racontés autrement, le fictif et le réel se mélangent, nous n'en dirons pas plus... Nous avons eu la chance de visiter la Californie au début des années 70 et nous retrouvons l'ambiance décalée par rapport à notre vieux continent, la piscine nous faisait rêver, les larges boulevards, la décontraction.Comme il s'agit du monde du cinéma, rien de surprenant que Tarantino parle des films dans le film, nous assistons au casting, au tournage, à la projection. Tout tourne autour d'un héros égocentrique et narcissique, qui se voit face à son déclin. Leonardo Di Caprio interprète magistralement cet acteur en perte de vitesse qui vit dans son passé, dans les séries télévisées dont il était l'acteur principal. Il s'apitoie sur son sort et noie son chagrin dans les margaritas au bord de sa piscine. Il envie ses nouveaux voisins, Roman Polanski et Sharon Tate. A côté de lui son double, un Brad Pitt formidable et désinvolte à souhait, toujours séduisant ! Il est plus que son double, il est l'homme à tout faire et il lui reste fidèle jusqu'au bout. L'amitié avec un grand A, Tarentino nous surprend..Il y a certes quelques belles répliques, quelques scènes tragi-comiques, mais les dialogues ne sont pas plus importants que les images d'un monde qui n'existe plus; on nous montre le changement de l'industrie du divertissement, TV contre cinéma, ou cinéma contre TV, le nouveau Hollywood. Il y a tant de références à de nombreux films, il s'amuse même à refaire des scènes pourtant connues ! Encore une fois il se présente en mémoire vivante du cinéma. Les temps changent, la liberté sexuelle est acquise, Brad demande son âge à une gamine qui le drague crûment, encore une référence aux événements autour de Polanski ?Ce film est sa déclaration d'amour-hommage au cinéma de Hollywood, à la Californie et LA de l'année 69.Il était une fois....un bon film nostalgique 
http://www.matchingpoints.fr/2019/08/17/cinema-once-upon-a-time-in-hollywood/‎
islander29
islander29

894 abonnés 2 396 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 14 août 2019
première chose, j'ai souvent souri devant l'humour subtil de Tarantino...Le film est rare à plus d'un titre...Qui connaissait Rick Dalton, pas moi, pas beaucoup de cinéphiles….Tarantino nous parle du cinéma, d'un acteur de western en fin de carrière ( interprété par Léonardo Di Caprio) et de son cascadeur personnel ( Interprété par Brad Pitt)...On est souvent dans l'ironie, les deux beaux gosses sont des "has been", dont les adolescentes se fichent . Bref…., le film est aussi une merveille pour le cinéphile qui voudrait connaitre la carrière de Rick Dalton et des séries western entre autres dans les années 60 (Allusions à Steve mac Queen (au nom de la loi) à la série chasseurs de prime, etc) qui ont du inspiré le très jeune Tarantino, ….Le film est aussi un bel hommage aux deux acteurs Di Caprio, Et Brad Pitt, réunis pour la première fois , je crois au cinéma et qui ont fait le bonheur de la gente féminine (parfois même masculine)...C'est subtil et plein de sous entendus sur le métier d'acteurs….Quel régal que de voir ces deux légendes devenir la risée d'Hollywood…On notera aussi l'apparition de Polanski, interprété par un Jeune acteur????) .....de al Pacino, très convaincant producteur.....C'est drôle, c'est spirituel bien souvent et La ville de Los Angeles est magnifiée par la caméra et des reconstituions notamment automobiles, pleines de charme et de réalisme....Nous sommes dans les années 69, 70, et le film nous éblouit par la précision de ses décors et de ses costumes, de la bande musicale, comment oublier California Dreams, cette chanson ultime du mouvement Hippie, ainsi que d'autres chansons tout aussi mélodieuses.....C'est d'une culture , dont nous parle Tarantino, celle des années soixante, et qui est à l'origine de son cinéma.....L'hommage est à la hauteur de son génie...Ici, il change de répertoire, on est ni chez les cowboys, (quoique les nombreux extraits de feuilletons sont de parfaits petits films de genre, ni chez les gangsters, mais dans un registre très cinéphile ancré dans la réalité de deux hommes de Los Angeles, et qui pendant deux heures quarante, nous font rêver d'un autre monde...Du Grand cinéma surement....
Le-Chat-Nonne
Le-Chat-Nonne

37 abonnés 169 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 14 août 2019
On reconnaît bien là une œuvre de Quentin Tarantino, non pas pour la violence, mais pour la passion mise dans chaque scène au détriment d'un montage anarchique qui rend l'histoire parfois très lente et dénuée d'intérêt. Le tout se termine avec un final à la fois horriblement violent comme à son habitude et hilarant. Dans l'ensemble un bon film sur la vie des personnes derrière la caméra, mais qui ne plaira pas à tout le monde.
anonyme
Un visiteur
0,5
Publiée le 19 août 2019
Un scénario sans queue ni tête, des scènes qui n'ont parfois aucun lien, un casting pourtant au top noyé dans un ramassis de clichés.
Ace586
Ace586

10 critiques Suivre son activité

0,5
Publiée le 12 novembre 2019
Long ennuyeux sans histoire totalement sans intérêt je n'ai pas du tout aimé ni compris l'intérêt de ce film
anonyme
Un visiteur
4,5
Publiée le 14 août 2019
Un incroyable film ; Tarantino a vraiment mis le paquet sur ce qui pourrait allègrement être son dernier film. Un chef d'oeuvre qui dépeint une fresque de l'année 1969. A voir, surtout si vous êtes fan du réalisateur !
E M
E M

3 abonnés 11 critiques Suivre son activité

0,5
Publiée le 16 août 2019
Mais quel ennui !!! Un film sans queue ni tete. d'une lenteur affligeante. Des caractères qui essayent de faire de leurs mieux malgré un scenario complètement bidon. Aucune âme, vide de sens. Le genre de film que l on va voir parce que c'est 'un tarantino". Ce réalisateur n a plus rien a offrir visiblement. Aussi Has been que le protagoniste de son film !
Christ77
Christ77

12 abonnés 144 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 15 août 2019
Tarantinesque! Un peu long à se mettre en route, mais on s'y accroche! Le casting est parfait, tout le monde y est juste et à sa place. Le violence n'est pas au premier plan et ça fait du bien. À voir et en V.O!
FB27
FB27

1 abonné 7 critiques Suivre son activité

0,5
Publiée le 18 août 2019
Film archi nul, du début à la fin. Très ennuyeux. Aucune histoire...
A EVITER ABSOLUMENT meme en cas de très mauvais temps.
lhomme-grenouille
lhomme-grenouille

3 382 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 24 août 2019
Ah mais il m’agace ! Oui, Quentin Tarantino m’agace, surtout quand il fait des films comme ça. Et je me doute bien que je ne vais pas mettre tout le monde d’accord avec ce que je m’apprête à dire (mais bon, on est aussi là pour exprimer des points de vue hein !), mais moi je ne peux pas m’empêcher de considérer qu’il existe deux catégories de films chez Quentin Tarantino. Il y a d’un côté les films-pionniers où sa volonté première est de mettre en place un univers nouveau, cohérent et animé par une rythmique et une intrigue savamment réfléchies (je mettrais là-dedans « Reservoir Dogs », « Pulp Fiction », « Jackie Brown », « Kill Bill volume 1 », « Django Unchained » et éventuellement « Les huit salopards »), et puis il y a les films plus récréatifs où j’ai l’impression que l’ami Quentin s’amuse et se relâche davantage ; où il combine les références voire les autoréférences dans un enchaînement de scènes certes souvent savoureuses mais qui peinent malgré tout à constituer un ensemble cohérent et fluide. Et dans cette catégorie on retrouverait pour moi « Kill Bill volume 2 », « Inglorious Basterds », « Boulevard de la mort » et donc – vous l’aurez compris – ce « Once Upon A Time In … Hollywood ». Parce qu’oui, pour moi il n’y a pas meilleure manière pour résumer ce neuvième long-métrage de Quentin Tarantino que d’en dire ça : ce film un enchaînement confus de scènes savoureuses. Et des moments savoureux il y en a ! Ce n’est clairement pas moi qui vais vous dire le contraire ! ( spoiler: De la bagarre entre Cliff et Bruce Lee aux moments anthologiques passés par Rick sur les plateaux de tournage, c’est un festin !
) Et à chaque fois, la raison de ce festin est toujours la même : il y a à chaque scène-clef un sens du dialogue et de la rythmique qui relève de l’orfèvrerie et qui offre aux acteurs un cadre idéal pour s’exprimer. A ce petit jeu là d’ailleurs, Leonardo Di Caprio et Brad Pitt livrent encore une fois de remarquables prestations. On les sent à l’aise, amusés. Ils se régalent et c’est plus que communicatif. Et rien que pour cela, j’avoue que je n’ai aucune hésitation à considérer ce « Once Upon A Time… » comme étant l’un de mes très bons moments de 2019… Mais bon… Malheureusement il faut qu’autour de tous ces bons moments le film soit gorgé de boursouflures. Autant de scories qui s’expliquent par l’envie de Quentin Tarantino de nous en foutre plein la vue. Combien de plans ne sont là que pour rappeler que l’ami Quentin sait filmer ? (Voir Brad Pitt sous toutes les coutures quand il conduit, ça va une fois mais au bout d’un moment ça me gonfle clairement ! Ton sujet c’est ton film Quentin, pas toi.) Idem, combien de plans – voire de scènes entières ! – ne sont là que pour caser des références ? Références musicales. Références filmiques. Et parfois même des références à lui-même ! Ça dégueule de partout. Il y a un trip égotique qui souille régulièrement ce film : des plans qui ne sont là que pour rappeler que – oui – on regarde bien un film de Quentin Tarantino et que c’est la classe. Peut-être que ça émoustille la fan-base, mais pour moi c’est trop : j’en suis venu à ne plus supporter la vue d’un minishort ou d’une paire de pieds nus à l’écran, c’est dire ! Alors vous allez me rétorquer que je chipote et que ce n’est que du détail. Sauf que – désolé – mais le rythme et la structure du film pâtissent clairement de toutes ces boursouflures. A bien tout prendre, on se rendra notamment compte que tout l’arc Sharon Tate est clairement un arc mort. Toutes les scènes qui le composent ne sont là que pour montrer des décors, des références et le joli petit corps de Margot Robbie qui défile en habits (légers) d’époque. Au-delà de ça, cet arc est totalement vide. Idem, à vouloir cabotiner formellement autour de certaines scènes, comme celle dans le camp de hippies par exemple, Quentin Tarantino créé des séquences très longues qui en deviendraient presque des films à part entière. En procédant ainsi, ces longues scènes finissent par phagocyter l’intérêt au point que la transition vers un autre personnage entraine inévitablement une brisure dans le rythme. Du coup, ce « Once Upon A Time… » peine a exister en tant qu’entité pleine et entière et se transforme vite en une sorte de film à sketchs dont on a du mal à suivre la finalité. D’ailleurs, les raccords entre ces scènes sont souvent maladroits : c’est par exemple le cas de tout ce qui concerne la séquence spoiler: « Rick et Cliff en Italie »
. Et même si l’ami Quentin semble assumer totalement cette rupture notamment en basculant vers un type de narration différente, je trouve que ça participe malgré tout à un hachage du rythme et de l’intrigue. Personnellement, je trouve vraiment que la dernière grosse séquence ( spoiler: celle où Manson vient pour accomplir son carnage
) ressemble plus à un rajout qu’à un final. En termes de tension et d’attention, moi, ça m’a vraiment pénalisé. En cela, ce « Once Upon A Time » ressemble vraiment à la démarche d’un « Inglorious Basterds » : au fond les scènes prévalent sur l’histoire et n’existent que pour être au service des acteurs plus qu’elles sont au service d’une intrigue ou d’une dynamique globale. On peut aimer. Mais moi ça me pèse. Ça me pèse parce qu’au fond j’ai suivi tout ça sans vraiment savoir où j’allais. Et à raison puisqu’au final on va un peu nulle part. Parce que si on s’interroge un peu sur la finalité de ce film on se rendra vite compte qu’il y a un os. C’était quoi l’objectif ? Montrer deux visages d’Hollywood entre d’un côté l’acteur qui explore tout le côté factice d’Hollywood et de l’autre le cascadeur, celui qui aborde le vrai quartier qui existe derrière les studios ? On sent à un moment qu’il y a un peu de ça, mais ça s’égare vite sur le dernier tiers, et surtout c’est totalement pollué par l’arc Sharon Tate. Est-ce que le but était au contraire de faire une sorte de panégyrique d’Hollywood en offrant une image de ce monde volontairement fantasmé car – par définition – il s’agit d’un monde qui fonctionne comme une usine à fantasmes ? Oui, c’est en tout cas ce que suggérerait la fin : poussant le fantasme jusqu’à spoiler: réécrire l’Histoire. Car après tout Hollywood c’est aussi ça : créer les histoires et le monde qu’on veut. Là encore on est dans une démarche très proche de celle de « Inglorious Basterds ».
Bref, oui, il y a plein de trucs intéressants dans ce film. Ça en dégorge de partout. Seulement voilà, au lieu de faire l’effort de sélectionner, d’élaguer et de travailler la cohérence de son film, pour ce coup-ci Quentin a préféré faire des choix plus égoïstes, égotiques, récréatifs, s’appuyant sur la liberté que les spectateurs lui concéderont de par son statut. Alors oui, ça peut plaire, mais donc moi, ça m’agace. Ça m’agace parce que « Once Upon A Time In… Hollywood » aurait pu être un grand chef d’œuvre. Tarantino pouvait le faire. Il savait comment le faire. Mais au lieu de ça il a préféré céder à ses tics, son égo et certaines autres facilités. Mais bon après tout c’est son droit. C’est lui l’auteur. Il fait ce qu’il veut. Et je suis d’ailleurs certains qu’ils seront beaucoup ceux qui, là-dedans, sauront s’y retrouver. Mais que voulez-vous, on ne se refait pas. Moi dans tout ça, je ne peux m’empêcher de voir le verre à moitié vide. Peut-être sera-t-il davantage rempli la prochaine fois. Qui vivra verra… Après, ça ne reste que mon point de vue. Donc si vous n’êtes pas d’accord et que vous voulez qu’on en discute, n’hésitez pas et venez me retrouver sur lhommegrenouille.over-blog.com. Parce que le débat, moi j’aime ça… ;-)
TakkoNyudo
TakkoNyudo

12 abonnés 19 critiques Suivre son activité

1,0
Publiée le 11 novembre 2019
Plus long que l'éternité, d'un ennuie mortel... On attend que le film commence... malheureusement à la fin!
Hubert Guillaud
Hubert Guillaud

130 abonnés 126 critiques Suivre son activité

0,5
Publiée le 10 décembre 2019
Tarantino n'a plus rien à dire, mais le dit fort. Tout est pathétique ici : jeu des acteurs, vide intersidéral des dialogues, scènes pour elles-mêmes... Fuyez !
yO0f’s
yO0f’s

26 abonnés 218 critiques Suivre son activité

1,0
Publiée le 3 mai 2020
À film trop long, critique trop longue. Pour introduire sa classique scène de fin, son célèbre final, Tarantino a glissé intelligemment un subtil message subliminal spoiler: avec l’extrait sur la télévision allumée « And right now, the moment that you are all waiting for ! »
. Déjà c’est un poil présomptueux, mais en plus et par dessus tout, mais qu’est ce qu’on aura souffert avant d’y arriver ! Alors bien sûr on connait le style du réalisateur, par contre faire trop long rien que pour faire trop long, nous faire poireauter pendant plus de 2h30 d’un bric-à-brac de scènes interminables, insipides et inutiles, juste pour arriver à une de ces scènes finales qui ont fait la réputation du Grand Tarantino, c’est un peu se moquer de nous. Commençons par les acteurs. Dicaprio ? Très grand professionnel, il est excellent et joue son rôle à merveille, heureusement qu’il était là pour nous aider à supporter cet ennui interminable. Brad Pitt ? Excellent aussi, chapeau l’artiste, par contre je ne trouve aucun intérêt à ce qu’un acteur de son calibre ait ce rôle secondaire, au contraire un acteur moins connu aurait suscité bien plus de curiosité. Margot Robbie ? Bien, enfin pour ce qu’elle avait à faire, à savoir jouer une histoire à dormir debout, ce n’était pas très compliqué non plus. Al Pacino ? Pourquoi pas, mais ce n’est pas comme si son rôle était un argument de taille, contrairement à d’autres de ses rôles. Bref, ce casting là est somme toute l’appât du cinéphile. Maintenant le film, je lui donne une étoile car il y a de l’originalité dans la réalisation et une qualité dans les prises de vue et les décors. Sinon c’est simple, « Once upon a time in Hollywood » n’avance pas, il tourne en rond, le scénario n’a rien d’intéressant, il est totalement décousu et ne captive pas un quelconque intérêt. Au début oui un peu, mais à force d’attendre sans trouver un sens aux différents événements, attendre encore et toujours, on finit par s’en lasser définitivement. Il se passe une chose, puis après Tarantino nous dit vous savez quoi ? oubliez, c’était sans trop d’importance en fait, maintenant je vous propose de voir plutôt ceci, cela, et ainsi de suite... Pour ses précédents films ça marchait très bien, moi même j’en suis fan, parce qu’il y avait une certaine cohérence, un lien tangible, un cheminement intéressant. Mais là non, ça ne rimait pas à grand chose, c’est l’ennui total tout simplement. Si je devais décrire ce film ce serait comme un épisode des Simpsons : ça commence avec une histoire, ça dresse une première problématique, et là en plein milieu on laisse tout ça de côté puis on repasse à une autre histoire, enfin pleins d’autres qui sont loins de déchaîner nos passions. spoiler: Rien que pour nous montrer d’où vient le lance-flamme ou comment Cliff sait se battre on va y passer à chaque fois 20min.
Très sincèrement faire trop long je veux bien, on en a vu des films de 3h, mais il faut que ça ait un sens, un réel intérêt derrière, qu’on estime que c’est le temps nécessaire et incompressible pour raconter un ensemble de faits tous aussi importants les uns que les autres à l’intrigue. Là, parce que c’est « du Tarantino », parce que c’est son style, sa signature, on va devoir acquiescer qu’il se fasse autant plaisir à rallonger des scènes inutilement, juste pour nous montrer son talent, que l’intrigue soit dénudée de toute cohérence et trouver ça normal, ou même génial ? Soyons réalistes et osons le dire : c’est plus Once upon a time...dans les coulisses d’une arnaque !
Quentin
Quentin

3 abonnés 4 critiques Suivre son activité

0,5
Publiée le 15 août 2019
Tarantino était une valeur sûre, d’autant plus avec un pareil casting, mais ça c’était avant... Difficile à admettre, mais ce film est l’un des plus nuls que j’ai jamais vu, des gens quittaient la salle et il y a vraiment de quoi. On peut tous faire des erreurs, mais à ce point... ce film est une coquille vide.
Mickael Frezza
Mickael Frezza

27 abonnés 80 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 14 août 2019
On est bien chez Tarantino humour tension acteur parfait scénario un poil oublier mais quand on connaît la vrai histoire on est sur le cu de ce qu'il en a fait avec un final inoubliable ce film ne fait pas parti de mes préférés de lui mais il faut le reconnaître il rentre parfaitement dans sa filmographie un grand bravo à toute l'équipe du film Tarantino à encore frappé
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