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    Once Upon a Time… in Hollywood
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    3,8
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    2 073 critiques spectateurs

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    Samuel B
    Samuel B

    7 abonnés 5 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 11 décembre 2019
    Aucun intérêt ! Ni historique, ni dramatique, ni drôle, ni pathétique ce film ne sert à rien. Un des pires Tarantino
    elbandito
    elbandito

    345 abonnés 964 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 août 2019
    Dix ans après sa première uchronie dans le fabuleux "Inglourious Basterds", QT revisite l'histoire américaine récente, en se penchant sur les mois qui ont précédé un fait divers sanglant perpétré par la "Manson Family" et qui mis fin à la période insouciante des sixties. La question posée par le réalisateur est simple : que serait le mythe hollywoodien aujourd'hui si les adeptes de Manson avaient croisé le chemin de nos deux héros, Rick Dalton et Cliff Booth en allant perpétrer leur méfaits ce 9 Août 1969 sur Cielo Drive ? Aucune réponse possible, néanmoins le cinéaste profite de cette chronique parfaitement chorégraphiée pour porter un regard nostalgique bienveillant sur tous les artisans qui ont contribué à construire le cinéma de son enfance. Et nous le suivons avec un regard insouciant. Leonardo DiCaprio est comme toujours exceptionnel mais c'est Brad Pitt, en nouveau "King of cool" qui lui vole la vedette avec ce rôle tarantinesque qui deviendra culte à coup sûr.
    Laurent C.
    Laurent C.

    257 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 août 2019
    Tarantino verse dans le défaut des grands artistes reconnaissables à la première image : il fait du Tarantino, ce qui en l'espèce est une preuve de son génie, mais qui rend compte d'un certain épuisement créatif, voire d'une forme de complaisance. "Once upon a time … in Hollywood" est-il un film testamentaire ? C'est la question centrale qui se pose tout au long de ce long (trop long) métrage où, lors de la première partie, le cinéaste raconte sa propre histoire du cinéma des années 50 et 60, et dans la seconde partie, met en scène, à l'excès, sa propre filmographie. Deux temps en effet divisent ce film. La première et plus intéressante partie raconte la difficulté à trouver de l'inspiration chez des acteurs blasés, fatigués, et déjà dépassés par la nouvelle génération de comédiens. Il abreuve son récit de reconstitutions de films mythiques, avec un DiCaprio et Brad Pitt absolument magiques. La seconde partie, et donc la plus mauvaise, renoue avec ce que l'on connaît déjà de Tarantino, à savoir un cinéma gore, sanglant, certes très drôle, et à la mise en scène millimétrée.

    Car Tarantino est un as de la mise en scène. Chacun de ses films recèlent des leçons inestimables de cinéma. Les décors participent autant à la conduite d'acteurs qui est absolument géniale. La musique, évidemment toujours très présente chez le réalisateur, constitue une sorte de personnage à part entière, dans un univers rock et fulgurant qui mêle des filles somptueuses à des vieux routards déjantés. Néanmoins, il est difficile de résister au regard très sexiste du cinéaste, voire même profondément misogyne. Toujours est-il que le cinéma de Tarantino attire les foules, souvent pour le mieux, et parfois, comme ici, pour quelque chose de très beau, très fort, mais somme toute assez décevant.
    ManoCornuta
    ManoCornuta

    277 abonnés 2 882 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 août 2019
    Tarantino laisse un peu de côté (un peu seulement) ses marottes habituelles pour livrer sa vision nostalgique du Hollywood de la fin des sixties, entre ses stars vieillissantes et ses gloires naissantes, son luxe tapageur et ses utopies hippies. Loin de se livrer à une exégèse de l'affaire Sharon Tate (qui n'est qu'une toile de fond), c'est plutôt une déclaration d'amour à l'univers du rêve hollywoodien, et principalement à ses acteurs. A cet égard, Pitt et DiCaprio (surtout ce dernier) ont droit à quelques morceaux de choix sur le registre de l'amitié virile et de l'amour du métier, dont ils nous délectent tout au long des 2h30 (soit dit en passant, on ne les sent pas). La mise en scène est absolument impeccable et bourrée de plans de toute beauté. En soi, le film est une errance crépusculaire, exception faite de la fin qui rejoint les moments grand-guignols comme Tarantino les aime, à grand renfort de violence graphique et stylisée dans un immense foutoir déjanté. Le propos est assez désabusé et rêveur, plein d'admiration pour une période mythique appelée à se terminer en cauchemar. C'est du bel ouvrage, moins subversif sans doute qu'attendu, moins surprenant aussi. Tarantino deviendrait-il sage?...
    Rajotd
    Rajotd

    1 abonné 7 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 17 janvier 2020
    insupportable ! parce que c'est Tarantino, les critiques sont dithyrambiques. Le même film avec le nom d'un réal inconnu se ferait démonter, et à juste titre. Deux acteurs pourtant incroyables, mais même eux ne peuvent sauver ce naufrage d'ennui et ce non film sans scénario ni histoire.
    Alain D.
    Alain D.

    594 abonnés 3 287 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 janvier 2020
    Cette comédie Dramatique, écrite et mise en scène par Quentin Tarantino, nous laisse un avis très mitigé. Son scénario nous délivre une entrée en matière très peu palpitante avec une introduction de plus d'une heure. Heureusement, comme pour "Django Unchained", Quentin nous a habitué à des démarrages diesel pour conclure par un final explosif. Le "Maitre du Cinéma" nous délivre aussi une atmosphère bien particulière et une BO très présente, à la fois riche et attractive.
    Outre la belle Margot Robbie, l'affiche de rêve nous offre un très bon Brad Pitt, le cascadeur au look d'enfer, et un tout aussi excellent Leonardo DiCaprio. Il réalise de superbes compositions pour ses rôles de "méchant" dans le western filmé dans le film.
    Naughty Doc
    Naughty Doc

    914 abonnés 432 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 août 2019
    Un belle attente enfin récompensée par un des plus grands réalisateurs contemporains.

    Un Tarantino atypique d'ailleurs, plus lent, qui se regarde moins, mais qui est en totale adéquation avec toutes les thématiques de son cinéma (en questionnant d'ailleurs le réel et le fictionnel avec un côté sincèrement touchant)


    Tout d'abord c'est un réel bonheur de naviguer dans cet Hollywood de 1969 recréé à la perfection que ce soit les rues, les studios, les costumes, la playlist encore une fois géniale, le fait de reprendre bon nombre de personnages pré-existants comme vestiges d'un Age d'Or oublié (Steve McQueen, Martin Schwarz, ou bien sûr Sharon Tate), le tout sublimé par le grain de la photographie de Robert Richardson.




    On se plaira à deviner le scénario de Once Upon a Time in Hollywood, qui va son évocation du conte mais également du western-spaghetti, résume à lui seul les intentions du film.




    En prenant 2 personnages lambdas fictionnels (l'acteur de TV Rick Dalton tenant de percer au cinéma, et son cascadeur Cliff Booth, homme à tout faire et meilleur pote contraint de rester dans l'ombre), Tarantino réhabilite finalement les figures oubliées ayant participé à ériger cet âge d'or qu'il affectionnait tant, le critique également avec légèreté en dressant une peinture de l'Entertainment sous le signe de la loi de la jungle, et réussit finalement un numéro d'équilibriste hors-pair en ce qui concerne de laisser le "réel exister", lui qui se réfugiait toujours dans le fantasme fictionnel.




    Le film a des allures de virée dans une machine à voyager dans le temps, et si on est pas du niveau chef-d'oeuvresque d'un Roma qui arborait le même procédé, le tout se révèle passionnant, malgré les digressions importantes du métrage (que ce soit une Margot Robbie/Sharon Tate, très bonne, se regardant au cinéma, montrant que tout le monde aspire à être aimé et appréciée au sein de ce milieu ; ou bien encore montrer le quotidien de nos 2 personnages).




    Entre scènes de films d'époque intra-diégétiques (où on retrouve le côté sale gosse et outrancier du réalisateur) et récit contemplatif tout en retenue, Tarantino distille tous les pions nécessaires jusqu'à un final jouissif porteur du message du film, où la réalité rejoint la fiction, où le fantasme et la rêverie sont prônés tout en y montrant une limite et une critique du Nouvel Hollywood qui s'annonce.




    A ce titre, le plan final (une échappatoire émotionnelle) est vraiment porteur d'un sens mélancolique et utopique qui ne peut qu'émouvoir.




    Les saillies d'humour burlesques sont moins présentes qu'à l'accoutumée (ainsi que les effusions de sang), mais utilisées avec parcimonie au sein d'une histoire qui certes pourra diviser de par un caractère désabusé, mais qui reste passionnante et montre une certaine maturité chez son réalisateur.




    Concernant le casting, Leonardo DiCaprio est évidemment excellent en acteur bipolaire aspirant à une place dans ce monde (une scène impliquant la jeune Julia Butters est tout simplement excellente), et son duo avec un Brad Pitt transpirant le badass et la cool attitude (avec de vrais moments de bravoure Tarantiniens) n'a pas de prix. Une duo de potes dans la plus pure tradition du réal.

    Si le reste de la distribution (de Emile Hirsch à Margot Robbie, en passant par Kurt Russel, Timothy Olyphant, Al Pacino, Margaret Qualley, Bruce Dern, Austin Butler ou encore Mike Moh) ont souvent des rôles faisant office de caméos, il n'y a pas de fausse note.




    En conclusion un très bon film tout simplement, qui aurait peut-être mérité un traitement encore plus jusqu'au-boutiste dans sa manière de reprendre de telles figures du cinéma d'antan afin de conter son histoire, mais qui reste néanmoins un excellent tour de force de part ses sous-couches de lecture et le fait d'avoir une capsule temporelle fabriquée avec autant de soin et d'amour
    Tumtumtree
    Tumtumtree

    169 abonnés 533 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 août 2019
    Once upon... est un film solaire, construit comme une douce promenade urbaine dans le Los Angeles des années 1960, et porté par un casting exceptionnel. À ce titre, c'est tout bonnement un chef-d’œuvre. Le duo formé par Di Caprio et Brad Pitt fonctionne parfaitement. Le premier prenant le rôle d'un comédien torturé se remettant en question, le second comme un assistant/doublure hyper cool prenant la vie comme elle vient. C'est à coup sûr l'un des meilleurs rôles de Brad Pitt qui en toute occasion est d'un charme irrésistible. Ce duo se lit aussi sous l'angle social, puisque Tarentino oppose frontalement les conditions de vie de la star, richissime benêt vivant dans une villa de luxe et voyageant en business, et celles de son partenaire, vivotant dans un mobile-home avec son chien. Contrairement à la plupart des films de Tarentino, le scénario ici est très nébuleux. Le film s'organise davantage comme une immersion/errance dans cet univers de cinéma. On ignore longtemps le lien entre des scènes d'ambiance où l'on découvre des personnages fantaisistes. Tout coagule à la fin dans une scène ultraviolente typique du cinéaste, et volontairement rendue ridicule et parodique. L'épilogue est un retour à la douceur des débuts. L'étrangeté du récit rappelle le David Lynch de Mulholland Drive parfois, tout comme la construction temporelle assez complexe. Reste à comprendre pourquoi, depuis 3-4 films, Tarentino utilise le cinéma pour inverser le déroulement d'événements réels (la mort d'Hitler dans un cinéma en flammes, la révolte réussie des esclaves noirs contre les blancs, ici le sort de Sharon Tate). Il y a là un sens caché qui reste à éclaircir. La puissance des effets d'ambiance ici créés par les décors, la musique et les comédiens est telle que l'on garde ce film en mémoire longtemps. C'est sans doute cela aussi le propre des chefs-d'oeuvre.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    693 abonnés 3 019 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 août 2019
    Le titre annonce la couleur : nous sommes dans un western spaghetti sur fond de satire de l’industrie hollywoodienne. Le présentatif « il était » rappelle bien entendu les œuvres de Sergio Leone, mais connote plus largement un rapprochement avec la structure du conte. Inutile de préciser pourtant qu’en connaissant le conteur en charge du récit, la morale ne sera guère au rendez-vous. Ce Los Angeles fantasmé où scintillent Cadillac et lunettes de soleil, où grouille tout un monde en chemise fleurie et short moulant, ce lieu qui cristallise les espoirs et les attentes, ne semble vivre que par et pour le cinéma. Ce faisant, Quentin Tarantino reconstruit une carte postale, donne chair et carrosserie à une bulle libertaire qui, à l’heure des grands procès et du politiquement correct, réjouit. Vaste parc d’attractions dont le thème n’est autre que la cinéphilie si particulière – puisque remplie de cinéma bis – de son réalisateur, le film n’hésite pas à mettre sur le devant de la scène des œuvres méconnues ou invisibles, bouleversant ainsi la hiérarchie instaurée par la réception critique et l’oubli provoqué par le temps qui passe. Là se tient le principal intérêt du long-métrage : explorer une frange de l'industrie hollywoodienne jusqu'alors peu représentée avec, comme principal véhicule, le burlesque parodique. Pourtant, si la passion pour les métrages ainsi revisités est flagrante, la transmettre à un spectateur forcément extérieur au système de connivences culturelles et référentielles n’est pas sans provoquer une certaine lassitude, la faute à un excès de transmission qui sature l’acte même de transmettre. Trop de clins d’œil, trop de reprises, trop de musiques engendrent une image saturée, à la fois idéale pour immerger le spectateur dans la frénésie de ces années et néanmoins rugueuse, dans laquelle ce dernier peine à trouver une place. En sortant d’Once Upon a Time in… Hollywood, nous nous demandons pour qui ce film a été réalisé : Tarantino a-t-il envisagé son geste artistique comme le partage d’une rêverie ou, au contraire, comme un défi égotique lancé à Hollywood tout entier ainsi qu’à ses fidèles groupies ? Qu'en restera-t-il dans les semaines, dans les mois, dans les années à venir ? À l’heure où germe la restauration d’œuvres introuvables ou oubliées, cette déclaration d’amour s’ajoute aux nombreuses autres adaptations nostalgiques d’un âge d’or, qu’il s’agisse de L’Amour est une fête, d’Un Couteau dans le cœur ou des rééditions dirigées par Nicolas Winding Refn. Alors le film de Quentin Tarantino est un film de grande qualité, certes, mené avec élégance et interprété avec talent. Un film au crescendo dramatique magnifique, offrant une dernière heure magistrale. Mais un film dispensable qui se déploie sur plus de deux heures quarante pour, à terme, apporter si peu. La mise en scène cherche la fulgurance au détriment du sens, livre de beaux plans, de belles images empruntés à droite à gauche ; la charpente du récit manque, quant à elle, de virtuosité en sautant d’ellipses en raccords volontairement brutaux. C’est dire que l’ensemble dispose d’un savoir-faire indéniable et assure le divertissement ; c’est dire aussi qu’il peine à s’élever au-dessus de l’hommage – sincère, aucun doute sur cela. Notons enfin que la fascination pour les pieds trouve ici son point de non-retour, au-delà duquel contempler nos chaussures dans les transports en commun équivaudra à la signature d’un grand auteur. Mené à vive allure, Once Upon a Time in… Hollywood est un conte autant formidable que saturé d’effets, enfermé dans une signification fixe qui empêche le spectateur d’y engouffrer sa sensibilité propre. Suivre Brad Pitt au volant d’une Cadillac lancée à toute vitesse suffisait à figurer l’ivresse d’un âge hollywoodien où liberté rimait avec créativité. Un paradis perdu, en somme, pour un film qui se perd parfois en route et, parce qu’il se revendique conservatoire d’une mémoire cinéphilique inépuisable, échoue à s’inscrire lui-même dans un conservatoire apte à en entretenir la mémoire.
    Adrien J.
    Adrien J.

    100 abonnés 152 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 novembre 2024
    Once Upon a Time in Hollywood est très différent des précédents films du réalisateur. Je pense sincèrement qu’il s’agit du Tarantino le moins accessible, tant son style dénote avec ce qu'il a pu faire auparavant. Il fait le choix ici de nous dépeindre une époque, un moment T de l'histoire, et de filmer le quotidien de différents personnages avec une certaine mélancolie. Il adopte pour cela un style très contemplatif et installe une ambiance particulièrement hypnotisante. En tant que spectateur, on a l’impression d’être dans un rêve, mais ce n'est pas le notre, c’est celui du réalisateur. Tarantino réinvente ainsi son cinéma et propose une histoire touchante qui oppose fiction et réalité avec brio. J’adore en particulier la fin du film et tout ce que cela représente. L’esthétique globale est d’ailleurs assez incroyable. Once Upon a Time in Hollywood est un film important qui deviendra culte avec le temps, j’en suis persuadé !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 19 décembre 2019
    Soyons honnête, Si le même film était avec des acteurs anonymes et le réalisateur un inconnu, ll serait en DVD dans votre station essence.....j'ai perdu 2 h de ma vie, tarrantino est tombé bien bas, il a du se faire plaisir, mais pas à nous
    Jamais Content
    Jamais Content

    8 abonnés 56 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 août 2019
    Ce film est Comme une pelote de Laine qu’on déroule... on connaît le fils de l’histoire, on sait comment cela va se terminer et ... non. Tarantino a encore réussit à me surprendre. Un grand Di Caprio qui est encore au sommet de son jeu. Plus il prend de l’age et son talent devient éclatent. Il est vrai bien aidé par les réalisateurs italo américain. A noter la prestation éclatante de Brad Pitt. Ne soyez pas surpris c’est un Tarantino, si vous n’aimez pas ses films vous n’aimerez pas non plus celui la.
    L'Info Tout Court
    L'Info Tout Court

    413 abonnés 1 025 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 mai 2019
    Excepté dans sa dernière partie explosive estampillée « séquence tarantinesque » – une des meilleures scènes de sa carrière – c’est un film qui détonne par rapport au reste de sa filmographie, car… très calme. Tarantino trouve avec Once Upon a Time… in Hollywood une certaine maturité cinématographique.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 373 abonnés 4 180 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 mai 2019
    A en voir les files d’attentes et les nombreuses demandes d’invitations, la projection du dernier film de Quentin Tarantino en compétition officielle était l’événement phare du Festival de Cannes 2019. Pourtant « Once upon a time… in Hollywood » est bien différent de sa filmographie. On a souvent l’habitude de se voir confronter à une absurde violence au sang qui jailli de toutes parts grâce à une extravagante mise en scène avec des comédiens confirmés. « Once upon a time… in Hollywood » joue la carte de la mélancolie et de l’hommage au cinéma de la fin des années 60. Alors que les westerns spaghettis font recettes et que la télévision met en avant des icônes en devenir, les hippies font leurs apparitions et l’Amérique connaît un tournant sociétal. Le personnage de Leonardo Di Caprio n’est plus la star adulée de tous et son cascadeur de toujours Brad Pitt va également connaître une carrière au ralenti. Avec beaucoup d’humour, Tarantino s’amuse à réaliser des films dans son film, à placer des affiches et objets références un peu partout. Il nous fait même rencontrer Roman Polanski, Steve McQueen, Bruce Lee et visiter la maison Playboy. Pendant 2h43, « Once upon a time… in Hollywood » s’éclate à reconstituer une époque et l’industrie des plateaux de cinéma. Les formats, pellicules, grains et couleurs évoluent également afin d’explorer l’évolution du septième art. Le cinéaste parvient à nous faire pleurer de rire tout en nous faisant sourire de nostalgie. Di Caprio et Pitt transcendent l’écran et la durée du film passe à une vitesse incroyable. Si l’histoire est pleine de tendresse, les pros Tarantino ne seront pas laissés de côté avec un final complètement dingue.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    dominique P.
    dominique P.

    839 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 août 2019
    Note maximale pour moi.
    Cela film est captivant et passionnant.
    Malgré la longueur, je n'ai pas vu le temps passer.
    J'ai adoré ce film; son ambiance, son atmosphère.
    J'ai aimé les rôles tenus par les deux acteurs principaux.
    C'est pour moi le meilleur film de ce réalisateur et surtout ce que j'ai apprécié c'est qu'il y a peu de violence (un peu à la fin c'est tout).
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