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Leonard n’a qu’un seul but dans la vie : retrouver le tueur violeur de sa femme et le descendre. Mais au milieu de sa route un gros problème de santé depuis le choc du viol de sa femme, il a une mémoire de poisson rouge. Sa mémoire immédiate ne dure que quelques minutes et pschitt… plus rien. Dans sa quête du tueur tous les matins au risque de perdre les infos collectées la veille, il doit les archiver, mais où, car il ne souviendra même pas où il les a mise. La solution est double il utilise son corps comme un pense bête (des tatouages multiples) et des polaroïds qu’ils entassent pour collecter des infos sur son entourage et les lieux.
Çà vous semble compliqué… et c’est pourtant la version simplifiée, car Christopher Nolan décide de raconter l’histoire à l’envers. Ce film construit comme un puzzle nécessite une grande attention et une concentration sans faille durant près de 2 heures. Traitant de la mémoire, il sollicite bien la notre au risque de nous perdre. C’est son filon, la déconstruction totale du récit comme vecteur de suspense, aussi exploité dans « Inception ». C’est très plaisant de se retrouver dans ce labyrinthe narratif ce qui fait de ce film un projet proche de « Usual suspects » ou « Le sixième sens ». Comme Shyamalan, Nolan est à ranger au rayon des gros malins. Le scénario issu d’une nouvelle de son propre frère tient sur un ticket de métro et la psychologie des personnages plus que sommaire. Le principe narratif, très intéressant, est donc globalement le seul véritable intérêt du film à l’exception de quelques scènes inventives. La scène où Jimmy injecte à répétitions l’insuline à sa femme et le twist final hyper ouvert symbolisant la naissance d’un serial killer amnésique volontaire (après effacement volontaire de son passé) traqueur des J.G…. Pour ceux qui ne connaissent pas le film, ne pas lire la suite. Dans sa dernière réplique: "Où en étais-je?". On se rend alors compte que Leonard ne se rappellera jamais qu'il a tué sa femme et on comprend que durant tout le film, il n'a fait que poursuivre un but basé sur une illusion qu'il s'est lui-même construite en se laissant des indices et des notes fausses.
A voir pour l’originalité…
Çà vous semble compliqué… et c’est pourtant la version simplifiée, car Christopher Nolan décide de raconter l’histoire à l’envers. Ce film construit comme un puzzle nécessite une grande attention et une concentration sans faille durant près de 2 heures. Traitant de la mémoire, il sollicite bien la notre au risque de nous perdre. C’est son filon, la déconstruction totale du récit comme vecteur de suspense, aussi exploité dans « Inception ». C’est très plaisant de se retrouver dans ce labyrinthe narratif ce qui fait de ce film un projet proche de « Usual suspects » ou « Le sixième sens ». Comme Shyamalan, Nolan est à ranger au rayon des gros malins. Le scénario issu d’une nouvelle de son propre frère tient sur un ticket de métro et la psychologie des personnages plus que sommaire. Le principe narratif, très intéressant, est donc globalement le seul véritable intérêt du film à l’exception de quelques scènes inventives. La scène où Jimmy injecte à répétitions l’insuline à sa femme et le twist final hyper ouvert symbolisant la naissance d’un serial killer amnésique volontaire (après effacement volontaire de son passé) traqueur des J.G…. Pour ceux qui ne connaissent pas le film, ne pas lire la suite. Dans sa dernière réplique: "Où en étais-je?". On se rend alors compte que Leonard ne se rappellera jamais qu'il a tué sa femme et on comprend que durant tout le film, il n'a fait que poursuivre un but basé sur une illusion qu'il s'est lui-même construite en se laissant des indices et des notes fausses.
A voir pour l’originalité…
Bouh !! Après une première heure éprouvante , la suite est bien moins brouillonne . On y comprend dix fois plus , et autant dire que Memento est bien plus compliqué qu'Inception . Avec un Guy Pearce affirmé grâce à un problème de mémoire rarissime , la réalisation de C. Nolan souffle le chaud et le froid . Entre thriller , et policier , Memento offre peu de suspense . Mais , bon le scénario est très intéressant , mais je me suis senti peu concerné par ce film . C'est loin d'être ridicule , mais je n'ai pas le même avis que la plupart des gens , sur ce film . Ca reste à moitié convaincant .
J'ai beaucoup aimé la narration très originale du film ! Cela rend l'histoire haletante jusqu'au bout ! En revanche, pour ce qui est du twist final, ayant déjà vu Shutter Island (voire même Inception) je ne peux pas dire que le procédé m'ait vraiment surprise ! Mais en tout cas, ce thriller est captivant tout comme Guy Pearce, magnétique.
Shelby (Guy Pearce) a perdu la mémoire immédiate dans un accident. Il est contraint de tout noter, se fait tatouer ce qui est essentiel sur le corps, prend des photos. Pourquoi commet-il un meurtre ?
Mémento peut être qualifié de film expérimental de par sa forme. L’intrigue est donnée par remontées successives dans le temps, chaque scène s’achevant là où la précédente a commencé. L’idée est intéressante, mais lasse à la longue, et nécessite une attention soutenue. Le scénario est centré sur le personnage principal, Guy Pearce, qui joue remarquablement un rôle difficile. Ce scénario est riche en péripéties, mais donne néanmoins une impression de redites. Le succès d’une telle entreprise suppose que le spectateur soit captivé sans cesse, pour qu’il fasse travailler sans trêve ses cellules grises, recomposant l’ensemble de ce qu’il a compris après chaque nouvelle séquence ; malheureusement le spectacle, bien qu’honorable, ne l’y contraint pas, et tout détachement est quasi définitif. Et puis décrire la perte de mémoire immédiate est extrêmement difficile. Ici le postulat est que le héros oublie tout au fur et à mesure depuis son accident. A cet aune, les incohérences guettent, et il y en a !
Une entreprise originale, intéressante, imparfaite montrant cependant que Nolan est un réalisateur à suivre.
Mémento peut être qualifié de film expérimental de par sa forme. L’intrigue est donnée par remontées successives dans le temps, chaque scène s’achevant là où la précédente a commencé. L’idée est intéressante, mais lasse à la longue, et nécessite une attention soutenue. Le scénario est centré sur le personnage principal, Guy Pearce, qui joue remarquablement un rôle difficile. Ce scénario est riche en péripéties, mais donne néanmoins une impression de redites. Le succès d’une telle entreprise suppose que le spectateur soit captivé sans cesse, pour qu’il fasse travailler sans trêve ses cellules grises, recomposant l’ensemble de ce qu’il a compris après chaque nouvelle séquence ; malheureusement le spectacle, bien qu’honorable, ne l’y contraint pas, et tout détachement est quasi définitif. Et puis décrire la perte de mémoire immédiate est extrêmement difficile. Ici le postulat est que le héros oublie tout au fur et à mesure depuis son accident. A cet aune, les incohérences guettent, et il y en a !
Une entreprise originale, intéressante, imparfaite montrant cependant que Nolan est un réalisateur à suivre.
J'aurais pu adorer ce film car le scénario est intéressant et original et les acteurs bons, mais les scènes sont tellement mises dans le désordre qu'on s'y perd.. J'aime bien les flashbacks, mais là il y en avait beaucoup beaucoup trop !
Christopher Nolan propose ici un thriller d'une origine peu commune, novateur de la volonté qu'à le réalisateur de se détacher de ses contemporains afin de puiser indéfiniment dans l'originalité la plus concrète. Chacun, d'une manière relativement puissante, reste à la recherche de son identité, et Memento réveil lors de son visionnage un instinct qui nous concerne tous: la recherche la vérité, quel qu'en soit les sacrifices à faire. Guy Pearce incarne avec excellence un héros à la volonté indéniable de retrouver l'assassin de sa femme, et donne ainsi un fond à son personnage qu'on aimerait voir plus souvent à l'écran. L'intrigue, qui aurait toutefois gagné à être plus clair, ne cherche pas à égarer le spectateur, mais plutôt à l'aiguiller intelligemment; ce qui est promptement révélateur d'un film à succès.
Auteur des magistraux "Inception" et "Dark Knight", Christopher Nolan, signait avec "Memento", son deuxième film, un polar noir qui brille par son intelligente mise en scène. Les scènes en noir et blanc sont montrées dans l'ordre chronologique et les scènes en couleur à l'envers. Mais "Memento" reste un thriller assez honnête mais banal, quand on le visionne dans le bon ordre (bonus accessible sur le DVD du film). Enfin, le dénouement tant attendu nous fait ressentir quelque empathie envers ce protagoniste amnésique sans issue et sans but.
J'ai eu du mal a comprendre l'histoire meme en revisionnant et il reste des points obscures comme le tatouage "I've done it" sur son coeur avec sa femme qui ne figure a aucun autre moment du film, comme si sa femme n'avait jamais été morte.
Mais la réalisation est super, d'où les étoiles. Nolan sait créer une ambiance propice au thriller. Un vrai régal.
Mais la réalisation est super, d'où les étoiles. Nolan sait créer une ambiance propice au thriller. Un vrai régal.
Bien ficelé ! Un film qui nous fait réfléchir par son scénario travaillé ! Il y a une telle immersion que moi-même je commençais à douter de ce que j'ai fait il y a quelques minutes...
Original, malin et vertigineux, tel se présente ce récit à rebours; un exercice scénaristique.
Je ne me base que sur le souvenir de la première et seule séance au cinéma en 2001. Il faudra donc sûrement que je le revois pour affiner voire réévaluer cette première impression. Toujours est-il que je fus bluffé par ce petit casse-tête ingénieux, surprenant et finalement assez profond dans le sens où la forme y rejoignait divinement le fond. Memento faisait soudain émerger cette figure d'anti-héros (presque christique), de martyr paranoïaque répandant la mort sans l'avoir vraiment voulu dans un premier temps, puis reprenant la main pour mettre un terme à son cauchemar, Un héros intimement persuadé d'être dans le vrai parce que croyant aveuglément à "ses écrits saints", faisant une confiance totale à ces petites écritures habillant son épiderme et qui l'autorisaient à ne plus se rappeler, en d'autres termes à ne plus penser par lui-même... C'est pour cela qu'au-delà de l'efficace exercice de style, il y avait dans ce Memento une belle charge (peut-être inconsciente) contre toutes les formes avilissantes d'embrigadement de l'esprit humain. Terriblement d'actualité.
un thriller magnifique qui traite l'histoire avec brillot melant jeu de piste entre réalité et fiction. un amnésique qui essaye de retracé un passé
trouble, ambigu, a la recherche de la vérité. christopher nolan réussi ici avec un certain génie a raconté une histoire complètement déjanté sans se
perdre une seule fois grace à un montage parfaitement réaliser.
trouble, ambigu, a la recherche de la vérité. christopher nolan réussi ici avec un certain génie a raconté une histoire complètement déjanté sans se
perdre une seule fois grace à un montage parfaitement réaliser.
L'histoire met un moment à démarrer, mais quand ça démarre ça ne fait pas semblant ! Des personnages troublants, bizarres dans le bon sens du terme. L'intrigue est bien ficelée et en raccord avec le personnage principal.
Ce film décousu en ordre chronologique inversé est très bien fait et mis en scène par le grand génie de Christopher Nolan.
J'aime toujours autant ses films qui amènent a la réflexion sur la possible fin de l'histoire en question.
Très bon film
J'aime toujours autant ses films qui amènent a la réflexion sur la possible fin de l'histoire en question.
Très bon film
Premier grand succès de Christopher Nolan, Memento est un thriller astucieux sur la vie d'un amnésique partiel.
Interprété par un Guy Pearce, ce personnage fascine par sa complexité. Ce qui nous rapproche d'avantage est que durant toute la narration, nous n'en savons jamais plus que lui, nous mettant ainsi à sa place. Cette narration, très bien maîtrisée par Nolan, nous retrace l'itinéraire de Leonard à l'envers tout en y insérant des apartés qui rejoignent la trame principale avec aisance. Pourtant, la première partie de la narration se révèle trop hachée et empêche de se mettre directement dans l'ambiance du film et deviens trop déroutant tenter de comprendre l'action en cour. La seconde partie de la narration est, quant à elle, beaucoup plus fluide et permet la jonction des histoires parallèles avec facilité. Le scénario en lui même reste classique mais offre des twists surprenant malgré le fait que le premier twist était beaucoup trop prévisible. En s'axant sur 2 twists ( ou 3 en fonction de la définition qu'on en donne), le scénario parait trop simple au premier twist mais prends une tournure imprévisible au second twist. La réalisation est plus que bonne et arrive à surmonter le défi qu'est filmer une course poursuite.
Pour conclure, Memento est un thriller efficace qui se démarque par une narration originale.
Interprété par un Guy Pearce, ce personnage fascine par sa complexité. Ce qui nous rapproche d'avantage est que durant toute la narration, nous n'en savons jamais plus que lui, nous mettant ainsi à sa place. Cette narration, très bien maîtrisée par Nolan, nous retrace l'itinéraire de Leonard à l'envers tout en y insérant des apartés qui rejoignent la trame principale avec aisance. Pourtant, la première partie de la narration se révèle trop hachée et empêche de se mettre directement dans l'ambiance du film et deviens trop déroutant tenter de comprendre l'action en cour. La seconde partie de la narration est, quant à elle, beaucoup plus fluide et permet la jonction des histoires parallèles avec facilité. Le scénario en lui même reste classique mais offre des twists surprenant malgré le fait que le premier twist était beaucoup trop prévisible. En s'axant sur 2 twists ( ou 3 en fonction de la définition qu'on en donne), le scénario parait trop simple au premier twist mais prends une tournure imprévisible au second twist. La réalisation est plus que bonne et arrive à surmonter le défi qu'est filmer une course poursuite.
Pour conclure, Memento est un thriller efficace qui se démarque par une narration originale.
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