Mon compte
    Memento
    Note moyenne
    4,2
    35508 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Memento ?

    1 226 critiques spectateurs

    5
    447 critiques
    4
    498 critiques
    3
    148 critiques
    2
    83 critiques
    1
    29 critiques
    0
    21 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 14 septembre 2010
    Grandiose. Christopher annonce dés son premier film son domaine de prédilection ; les scénarios non-linéaires. Cette particularité lorsqu'elle est bien maitrisé créé une intrigue exceptionnelle qui tient en haleine le spectateur et demande une bonne concentration. Rajoutant le jeu fascinant d'un Guy Pearce atteint d'oublis maladifs, le film est un thriller très complexe. A l'image de la mise en abîme de l'affiche, l'œuvre du réalisateur donne le tournis, et les nombreuses interprétations possibles en font un sujet de débat permanent.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 12 septembre 2010
    Un film structuré d'une manière très original (on part de la fin pour aller au début). C'est nul alors me direz vous, plus de surprise ! Et bien si, et c'est la force du scénario, une très grande surprise sur sa fin, on nous amène à cela petit à petit. Guy Pearce est excellent dans son rôle. En revanche, je n'ai pas trouvé Carrie-Anne Moss si importante que cela, elle passe presque inaperçu dans le film je trouve. Mais cela n'enlève même pas de charme au film tellement on est fasciné de voir le puzzle se construire et se déconstruire. Il faut avouer qu'il faut bien suivre où l'on est vite perdu. Et si la méthode pour nous emmené sur le final déplait à certain, il m'a franchement séduit. Bravo Mr. Nolan. A voir !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 10 septembre 2010
    En terme de film doté d'un scénario labyrinthique et chialé au possible, je dois avouer que Memento s'inscrit dignement dans la ligné des plus fiers représentant du genre: Fight Club, Seven, Usual Suspect, Le sixième sens, l'Armée des douze singes....Christopher Nolan fait preuve d'un brio rare dans l'écriture d'un scénario se basant sur une idée extrêmement originale et dans la mise en scène, refusant la simplicité et le dédain face à un spectateur toujours plus friand de tortures neuronales. Le montage ingénieux en flash back augmente le suspense de scène en scène jusqu'au final époustouflant, jusqu'au mindfuck intégral qui nous fait revoir tout le film d'une autre manière...Une œuvre que je ne peux que recommander à tous les fans de thriller !
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 5 décembre 2011
    Un vrai chef-d'oeuvre.Un thriller très original, brillament réalisé avec du suspense du début à la fin, avec de très bons acteurs(c'est une bonne chose que Brad Pitt n'aie pas pu avoir le rôle de Leonard) et le tout tenu par un scenario sans acroc, et c'était la chose la plus importante pour permettre au spectateur de suivre le film à l'envers .
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 7 mai 2013
    Memento, ou comment le futur talent d'Hollywood, Christopher Nolan, s'est révélé aux yeux du monde entier. Avec une intrigue des plus tordues et un twist énorme, on reconnaît déjà le réalisateur dans toute sa splendeur. Interprétation de bonne facture (surtout Guy Pearce, bien loin de se limiter au beau gosse de service, et Joe Pantoliano dont on sent bien le caractère mensonger), suspens fou, situations éprouvantes et hallucinantes de trouvailles, on est bien dans les plus sombres retranchements du thriller. Et avec une histoire qui ne cesse de révéler de nouveaux atours, vous ne serez jamais au bout de vos surprises. On regrettera cependant le rythme de l'histoire, qui va souvent plus vite que l'attention du spectateur et qui ne nous laisse pas toujours le temps de reconstituer le puzzle. Un nouveau visionnage s'impose dans ce cas-là.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 29 août 2010
    Réalisation unique : on a quelques peu du mal a rentrer dans le film au début ( on ne comprend rien) ,mais une fois percuter que nous sommes nous mêmes amnésiques, l'immersion est total.
    Réalisation très risqué mais amplement réussi, acteurs crédibles, une BO cohérente, Memento est une petite perle qui vous fera au moins passer un très bon moment.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 septembre 2013
    Film d’ouverture du Festival Christopher Nolan, Memento fait pourtant résonance à ses œuvres d’authentique jeunesse. Il y film, à en subjuguer l’ardeur, des êtres rongés par la labyrinthique présence de l’existence, alors que la vie seule, aurait suffis. Vie et existence se combattent, au sein d’une identité visuelle déjà très prononcée. Pareil à une prose cherchant le vers, les être de Nolan, cherchent la vie dans l’existence et l’existence dans la vie ; des regards égoïstes et Narcisses sans le savoir, filmés en légère contre-plongée, positionnés tels des penseurs de Rodin, tentant de se souvenir de la pose initiale.
    Doodelbug et Following. Ses premières œuvres : une cosmicité naissante, une impressionnante sérénité dans le cadrage, commençaient déjà à jouer à ce jeu de séduction abyssale, avec l’égoïsme rationnel des êtres cherchant la vérité, dans un monde existant seulement bel et bien hors de cette raison. Ainsi naquit Memento, premier mastodonte métaphorique, ou quand la prose se prend les pieds dans la poésie qu’elle ne désire que pour elle, une écriture brillantissime et un montage audacieux, parviennent à dompter une lourdeur métaphysique, qui n’échappe cependant pas à la maladresse.
    Ce défaut prétentieux, dirige le propos à la limite de l’indigeste. Mais le narcissisme est une si belle peinture chez ce cinéma naissant. On ne peut donc que la laisser nous faire franchir cette barrière. Et la découverte se révèle stupéfiante. Le Narcisse que dirige Nolan, souffre d’un grave trouble de la mémoire, et ne peut échapper au fait qu’en cherchant la vérité et donc réparation, il découvrira également, la nature profonde de son identité. Car Il y a être dans le monde, et il y a l’identité qui elle reste identique à soi-même dans le monde. Cette recherche, ce phénoménalise de deux manières ; alternant les séquences de couleurs, et de noir et blanc, par une perspective chronologique étant sensée se rejoindre à la fin du film, correspondant au milieu de l’histoire. Les premières sont le potentiel mémoriel du personnage défilant dans le sens inverse du récit. Les secondes, le cercle narratif normal et filmé en huis-clos dans une chambre d’hôtel.
    Le film se montre redoutablement intelligent. Combattant cette lourdeur volontaire, et cette « auto-narcissisation », avec un plaisir faisant place à une certaine légèreté, subtilité. Le personnage ne restant indifférent à ses retors de conscience se voulant cartésienne, jamais il n’échappe à cette obsession de réparation, d’ordre, de « mêmeté », et ce contre le principe même de vérité. La fausseté et le mensonge, son état psychique ne peut l’en protéger. L’illusion le gagne peu à peu. Son identité, devient alors, et ce contre tout ce qui l’espérait, le bien le plus précieux : il se rend compte, qu’elle ne lui appartient pas. Elle n’est pas sienne, parce que l’identité est en réalité, un mouvement par lequel, nous nous retrouvons dans un monde qui existe en dehors de nous. La vérité conduit au solipsisme, précisément parce qu’en la cherchant, nous la trompons pour cet ordre et cette « mêmeté », cette prétentieuse logique. L’identité ne construit pas dans la mémoire, c’est-à-dire, dans la possession de souvenir, de quelque chose précédent votre être présent, la non-cessation d’être dans ce monde, comme nous le propose la pensée d’Heidegger. L’identité s’échafaude dans l’acte de remémoration. Dans le fait même de se remémorer. Car la mémoire que nous le voulions ou non, est un acte de visée de la vérité, et ce parce qu’elle tente toujours de synthétiser plusieurs perspectives. Le montage narratif, ne laisse jamais le héros hors de cette ellipse. Il retrouve sans cesse, récupère à chaque fois, recommence devant les autres personnages. Son calvaire est sans fin, parce que l’être et l’identité, le fait d’être identique à soi-même dans un monde existant en dehors de soi, ne peuvent se confondre et se rejoindre. Ou comme disait le poète allemand F. Hölderlin : « Nous ne sommes rien, ce que nous cherchons est tout ».
    Plastiquement, la forte identité visuelle du film repose sur la solitude du héros. Nous sommes rendus tout aussi seuls. Et ce parce qu’il nous est impossible de voir plus loin que lui. L’accompagnement, ou l’altruisme sont également remis à leur véritable valeur. Nous sommes vraiment seuls. Identique à nous-mêmes. Irréductibles à l’autre lorsque nous ne cachons rien, pas même une longueur d’avance dans la mémoire. Le montage et l’image nous montrent très peu d’éléments. Nous sommes sans cesse surpris, bousculés par une insoupçonnable envie de chercher dans le cadre, ce que celui-ci nous nargues subtilement. La luminosité est très artificielle, rendue aussi orpheline que l’est la créature de son créateur. Elle est celle de sa mémoire. Trouble, superflue et évanescente. Une certaine forme de poésie s’extirpe de cette condition solitaire. Elle a le mérite de saisir les plans, dans la dynamique architecturale du scénario.
    Voguant ainsi entre la spontanéité de la jeunesse, et le mensonger malin d’une maturité excitante et habile, l’œuvre se défait peu à peu de sa métaphysique des principes, pour construire un véritable conte. Telle que l’identité est promesse faite à l’être de toujours reposer dans le monde, Memento est l’avant-goût assuré d’un formidable raconteur. Et la promesse, sera celle d’une histoire ayant, par-delà la métaphore, créé l’épreuve que des Narcisses aussi littéraire que pop-moderne, devront subirent au plus profond de son écriture.
    (Mon blog : critiquewatch(point)blogspot(point)com)
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 15 mars 2011
    Léonard n'a aucune mémoire immédiate, et cela est contraignant pour lui et son entourage. Le tour de force de Nolan est de nous faire ressentir la même chose que lui avec un procédé simple, mais encore fallait-il y penser : monter le film à l'envers, par portion de film. Et le résultat est superbe, on s'identifie du début à la fin (ou de la fin au début...) au personnage, on galère avec lui pour comprendre ce qu'il se passe.
    DenbroughX
    DenbroughX

    57 abonnés 314 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 février 2014
    Un film impressionnant pour la façon dont il est raconté, avec une série de flash-back, censé représenté les moments de la vie d'un personnage souffrant d'amnésie. Le concept est novateur, et participe essentiellement à la reconnaissance et au succès de ce film, qui, qu'on n'apprécie ou non, a un profond intérêt cinématographiquement pour son inventivité dans le scénario, la richesse de sa mise en scène, et surtout son montage révolutionnaire, qui décide de tout, et mène le spectateur vers un torrent d'indices, d'éléments et de pistes à résoudre, si bien que le spectateur s'interroge tout le film comme un véritable protagoniste de l'histoire, accroché par cette nouvelle et captivante manière de construire un récit, au final tout ce que voulait Nolan ! Un grand film donc, pas forcément d'une grande qualité car la masse d'énigme à résoudre lasse et frustre un peu trop le spectateur à la longue, alourdissent l'effet et vampirise même parfois le bon déroulement de l'intrigue. Cependant il reste d'un intérêt indiscutable !
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 17 juin 2011
    Ce film est extraordinaire, ce génie de Nolan nous livre ici un scénario à la fois fou et magique !!!
    le seul bémol est qu'à mon avis un seul visionnage n'est pas suffisant pour comprendre tous les détails de ce chef d'oeuvre avec un Guy PIERCE monumental.
    Un scénario un peu moins compliqué et un peu plus de détails m'aurais permis de donner 5 étoiles sans hésitation
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 17 août 2010
    J'ai découvert Christopher Nolan avec The Dark Knight et Inception, et je me suis alors interessé à ses autres films comme Le prestige et maintenant Memento, et je dois dire que ce réalisateur est vraiment unique et nous plonge à chaque fois dans un voyage extraordinaire et hors du commun. Comme le prouve la mise en scène à la fois magique et complexe de ce film : un retour en arrière de l'histoire d'un amnesique, comme si nous étions nous aussi dépendant de cette maladie. Prodigieux, d'autant que le scénario nous tient vraiment en haleine pendant 2h, et ou l'on est avide de découvrir la suite, ou plutôt le passé. La pirouette finale, géniale et innatendue, nous surprend agréablement, et explique finalement le reste du film, ce qui nous pousse à le regarder une deuxième fois pour cette fois ci le voir tout en connaissant la fin et ainisi ne pas se laisser duper une deuxième fois et vraiment apprecier la qualité de l'ensemble du film. Et pas seulement le scénario, mais également les dénonciations ( la manipulation ), l'aspect psychologique et le jeu des acteurs. Bon, après la réalisation aurait pu être améliorer, mais Nolan ne disposait pas encore des moyens qu'il a aujourd'hui, et je pense que c'est grâce à ce film qu'il a put exploser sur la scène du grand écran. Un film à conserver donc, rien que pour l'originalité générale, la qualité du scénario et la mise en scène qui est superbe.
    Sebi Spilbeurg
    Sebi Spilbeurg

    83 abonnés 1 005 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 janvier 2015
    Couronné de succès dans divers festival grâce à son film The Following, Christopher Nolan décide de partir s’installer aux États-Unis pour s’atteler à son nouveau projet, un thriller traitant de la mémoire. Son frère Jonathan l’accompagne, profitant du voyage pour terminer ses études universitaires à Washington. Par correspondance, ils vont établir ensemble le scénario du nouveau projet de Christopher, peaufinant chacun de leur côté leur propre version : Jonathan en fera une nouvelle intitulée Memento Mori tandis que Christopher livrera le film qui le fera connaître des puristes du cinéma, Memento.

    Un script qui a été présenté au producteur Aaron Ryder (l’un des dirigeants de la société Newmarket Films) par Emma Thomas, la compagne de Christopher Nolan, et qui a tout de suite été séduit par le projet. Parce que le film suit un homme atteint d’une amnésie rare tentant tout de même de retrouver l’assassin de sa femme ? Plutôt par l’idée de Christopher qui diffère principalement de la version de son frère Jonathan : raconter l’histoire à l’envers, soit commencer par le dénouement et terminer par le début. Un concept pour le moins inédit dans le milieu cinématographique et qui pouvait perdre plus d’un spectateur. Et pour cause, comment intéresser ce dernier quand la fin lui est révélée ? Surtout qu’ici, il est question d’un thriller, un genre de divertissement qui ne jure que par le suspense et donc son climax basé sur une ou plusieurs révélations devant impressionner.

    De ce fait, lors des premières minutes du film, difficile de savoir où Christopher Nolan veut en venir, surtout quand ce dernier alterne séquences montées à l’envers et passages en noir et blanc étrangers à la trame principale qui s’enchaînent, eux, dans un ordre chronologique tout ce qu’il y a de plus normal. Il faut bien le dire, Nolan n’arrive pas à capter l’attention, son scénario se montrant à première vue plutôt fouillis pour ne pas dire sans queue ni tête. Et la mise en scène n’aide pas vraiment, cette dernière ne présentant aucune ambiance. Pas la moindre atmosphère qui pourrait titiller la curiosité, la faute à une musique absente du projet et un style visuel qui se rapprocherait bien plus du documentaire que de la fiction. Un choix tout ce qu’il y a de plus honorable, permettant au spectateur de se rapprocher du personnage principal. Mais cela n’enlève pas cette sensation qu’il manque de l’envergure au projet pour que celui-ci puisse véritablement attiser la curiosité. Serait-ce un coup dans l’eau pour Nolan ? Bien sûr que non !

    Raconter cette histoire à l’envers a permis au réalisateur de faire le même exercice qu’avec The Following, à savoir divertir et intriguer le spectateur tout en le trompant. En effet, chaque séquence (représentant 15 minutes d’enquête du personnage principal avant que celui-ci n’oublie tout) est l’occasion de dévoiler une facette des protagonistes, qui sera remise en cause avec la séquence suivante, ces derniers se jouant du héros et de son amnésie soit pour l’aider soit pour se servir de lui à des fins personnelles. Il se retrouve donc trompé par ceux qui l’entourent, ses propres préjugés mais aussi par son système de mémo à base de post-it et de tatouages dont les messages prennent une toute autre signification à chaque séquence passée. Et comme le style documentaire rapproche le spectateur de Leonard, c’est lui qui se retrouve berné à son tour, jusqu’à un dénouement (le début de l’enquête) tout bonnement inattendu qui vous fera voir le film d’un autre œil lors du second visionnage.

    Qu’en est-il alors des scènes en noir et blanc, étant donné qu’elles racontent une toute autre histoire ? Premièrement, elles permettent de faire une transition entre chaque séquence de l’enquête, étant donné qu’elles s’immiscent entre chacune d’entre elles pour éviter les retours en arrière trop brutaux. Deuxièmement, elles servent à établir une mise en abyme du héros : en lisant entre les lignes, vous verrez que le destin de cet homme, Sammy Jankis, atteint d’une amnésie similaire au héros, est le même que celui de Leonard. Encore une fois, vous vous retrouverez trompés par une histoire qui n’a rien à faire là et qui, pourtant, vous fournit tout un lot d’indices sur l’enquête principale. Et pourquoi ce format en noir et blanc ? Là, plusieurs explications sont possibles, notamment celle de différencier cette histoire à l’enquête principale. Mais ce procédé marque également une transition dans le cinéma de Christopher Nolan, celle où le réalisateur a quitté le Royaume-Uni, sa terre natale (ses courts-métrages et The Following sont tournés en noir et blanc), pour se tourner vers les productions américaines, pour ne pas dire hollywoodiennes (le passage à la couleur).

    Il est certain que Memento en fera fuir plus d’un à cause d’un concept scénaristique dit révolutionnaire qui casse tous les codes spatio-temporels d’un thriller classique et donc les repères du spectateur. Mais une fois cette nouveauté assimilée, il ne sera pas compliqué d’aller jusqu’au générique de fin et de découvrir un bijou cinématographique hors normes, qui jouit d’un script malin au possible et d’une mise en scène personnelle et travaillée faisant de Memento un véritable chef-d’œuvre, servi qui plus est par d’excellents acteurs. Un coup de maître pour un réalisateur-scénariste qui n’en été encore qu’au début de sa carrière internationale !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 4 mars 2011
    Scénario millimétré comme toujours avec Nolan mais là peut-être un peu trop, le film est compliqué même au bout de trois visionnage. Guy Pearce (beaucoup trop rare dans nos salles) à beaucoup de classe. A voir absolument.
    septembergirl
    septembergirl

    609 abonnés 1 069 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 avril 2014
    Un excellent thriller de Christopher Nolan, à l'atmosphère glauque et pesante, qui constitue l'un des premiers films du réalisateur. Une réalisation tout à fait prenante qui trouve son originalité dans son montage. L'intrigue y est intelligente et tortueuse et l'on tente, comme le personnage principal, de recoller tous les morceaux. La fin est surprenante. Un film à voir !
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 10 août 2010
    Film intéressant, complexe, à voir!
    Un thriller survolté sur un homme qui a perdu la mémoire courte, comme un poisson rouge il a une mémoire de 15 minutes.
    Difficile dans ces conditions de comprendre, ce qui lui arrive mais l'homme est intelligent est a trouvé un subterfuge à son mal.
    Le (petit) moins: un film un peu lent au départ.

    Pas loin du classique!
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top