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    Memento
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    4,2
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    1 227 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 12 septembre 2010
    Un très bon premier long-métrage pour Christopher Nolan qui signe avec son "Memento" un thriller efficace, mais surtout très bien réalisé et monté. Le scénario, très bien ficelé, laisse entrevoir plusieurs interprétations possibles, sans jamais tomber dans la facilité. Dans les points négatifs, j' aurais aimé une bande-son un peu plus présente et un acteur principal peut etre un peu moins fade que Guy Pierce, mais on ne peut pas tout avoir du premier coup, et Memento reste un super film très original!
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 12 septembre 2010
    Un film structuré d'une manière très original (on part de la fin pour aller au début). C'est nul alors me direz vous, plus de surprise ! Et bien si, et c'est la force du scénario, une très grande surprise sur sa fin, on nous amène à cela petit à petit. Guy Pearce est excellent dans son rôle. En revanche, je n'ai pas trouvé Carrie-Anne Moss si importante que cela, elle passe presque inaperçu dans le film je trouve. Mais cela n'enlève même pas de charme au film tellement on est fasciné de voir le puzzle se construire et se déconstruire. Il faut avouer qu'il faut bien suivre où l'on est vite perdu. Et si la méthode pour nous emmené sur le final déplait à certain, il m'a franchement séduit. Bravo Mr. Nolan. A voir !
    MSM
    MSM

    6 abonnés 102 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 septembre 2010
    Imaginez un pull détricoté que l'on reconstituerait sous vos yeux... Mémento c'est un peu ça: Une trame faite de bouts de ficelles, des notes, des tatouages... La certitude d'un amnésique qui poursuit un but... C'est d'une intelligence rare dans la construction et une fin à couper le souffle! Du grand cinéma!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 10 septembre 2010
    En terme de film doté d'un scénario labyrinthique et chialé au possible, je dois avouer que Memento s'inscrit dignement dans la ligné des plus fiers représentant du genre: Fight Club, Seven, Usual Suspect, Le sixième sens, l'Armée des douze singes....Christopher Nolan fait preuve d'un brio rare dans l'écriture d'un scénario se basant sur une idée extrêmement originale et dans la mise en scène, refusant la simplicité et le dédain face à un spectateur toujours plus friand de tortures neuronales. Le montage ingénieux en flash back augmente le suspense de scène en scène jusqu'au final époustouflant, jusqu'au mindfuck intégral qui nous fait revoir tout le film d'une autre manière...Une œuvre que je ne peux que recommander à tous les fans de thriller !
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 5 décembre 2011
    Un vrai chef-d'oeuvre.Un thriller très original, brillament réalisé avec du suspense du début à la fin, avec de très bons acteurs(c'est une bonne chose que Brad Pitt n'aie pas pu avoir le rôle de Leonard) et le tout tenu par un scenario sans acroc, et c'était la chose la plus importante pour permettre au spectateur de suivre le film à l'envers .
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 7 mai 2013
    Memento, ou comment le futur talent d'Hollywood, Christopher Nolan, s'est révélé aux yeux du monde entier. Avec une intrigue des plus tordues et un twist énorme, on reconnaît déjà le réalisateur dans toute sa splendeur. Interprétation de bonne facture (surtout Guy Pearce, bien loin de se limiter au beau gosse de service, et Joe Pantoliano dont on sent bien le caractère mensonger), suspens fou, situations éprouvantes et hallucinantes de trouvailles, on est bien dans les plus sombres retranchements du thriller. Et avec une histoire qui ne cesse de révéler de nouveaux atours, vous ne serez jamais au bout de vos surprises. On regrettera cependant le rythme de l'histoire, qui va souvent plus vite que l'attention du spectateur et qui ne nous laisse pas toujours le temps de reconstituer le puzzle. Un nouveau visionnage s'impose dans ce cas-là.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 8 septembre 2010
    Un réel tour de force de la part de Nolan.Une façon brillante de nous placer dans le même état d'incompréhension que le personnage principale.Guy Pearce nous livre une interprétation inoubliable dans la peau de Leonard Shelby.Une finale marquante qui nous permet de suivre cet homme torturé par ses pertes de mémoire où toutes les pièces du puzzle prennent forme jusqu'à la fin (qui est en fait le début).On est véritablement touché par ce personnage qui ne peut,mentalement et physiquement,faire le deuil de sa femme.Un film inoubliable à voir absolument.Bon,où en étais-je...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 5 septembre 2010
    Memento fait partie de mon top 1.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 3 septembre 2010
    Tout le plaisir de voir un film de Nolan réside dans l'originalité de ses scenarii. Memento n'échappe donc pas à cette règle et nous offre un jeu de piste rondement mené, à la narration totalement bouleversée. Paradoxalement c'est cette originalité qui peut aussi faire la faiblesse de ce film car à trop vouloir remettre les pièces dans l'ordre le spectateur peut finir par se perdre en chemin.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 30 août 2010
    Super film de Christopher Nolan avec un merveilleux Guy Pearce !
    Histoire vraiment bien ficelée - très bon scénario des frères Nolan.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 29 août 2010
    Réalisation unique : on a quelques peu du mal a rentrer dans le film au début ( on ne comprend rien) ,mais une fois percuter que nous sommes nous mêmes amnésiques, l'immersion est total.
    Réalisation très risqué mais amplement réussi, acteurs crédibles, une BO cohérente, Memento est une petite perle qui vous fera au moins passer un très bon moment.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 septembre 2013
    Film d’ouverture du Festival Christopher Nolan, Memento fait pourtant résonance à ses œuvres d’authentique jeunesse. Il y film, à en subjuguer l’ardeur, des êtres rongés par la labyrinthique présence de l’existence, alors que la vie seule, aurait suffis. Vie et existence se combattent, au sein d’une identité visuelle déjà très prononcée. Pareil à une prose cherchant le vers, les être de Nolan, cherchent la vie dans l’existence et l’existence dans la vie ; des regards égoïstes et Narcisses sans le savoir, filmés en légère contre-plongée, positionnés tels des penseurs de Rodin, tentant de se souvenir de la pose initiale.
    Doodelbug et Following. Ses premières œuvres : une cosmicité naissante, une impressionnante sérénité dans le cadrage, commençaient déjà à jouer à ce jeu de séduction abyssale, avec l’égoïsme rationnel des êtres cherchant la vérité, dans un monde existant seulement bel et bien hors de cette raison. Ainsi naquit Memento, premier mastodonte métaphorique, ou quand la prose se prend les pieds dans la poésie qu’elle ne désire que pour elle, une écriture brillantissime et un montage audacieux, parviennent à dompter une lourdeur métaphysique, qui n’échappe cependant pas à la maladresse.
    Ce défaut prétentieux, dirige le propos à la limite de l’indigeste. Mais le narcissisme est une si belle peinture chez ce cinéma naissant. On ne peut donc que la laisser nous faire franchir cette barrière. Et la découverte se révèle stupéfiante. Le Narcisse que dirige Nolan, souffre d’un grave trouble de la mémoire, et ne peut échapper au fait qu’en cherchant la vérité et donc réparation, il découvrira également, la nature profonde de son identité. Car Il y a être dans le monde, et il y a l’identité qui elle reste identique à soi-même dans le monde. Cette recherche, ce phénoménalise de deux manières ; alternant les séquences de couleurs, et de noir et blanc, par une perspective chronologique étant sensée se rejoindre à la fin du film, correspondant au milieu de l’histoire. Les premières sont le potentiel mémoriel du personnage défilant dans le sens inverse du récit. Les secondes, le cercle narratif normal et filmé en huis-clos dans une chambre d’hôtel.
    Le film se montre redoutablement intelligent. Combattant cette lourdeur volontaire, et cette « auto-narcissisation », avec un plaisir faisant place à une certaine légèreté, subtilité. Le personnage ne restant indifférent à ses retors de conscience se voulant cartésienne, jamais il n’échappe à cette obsession de réparation, d’ordre, de « mêmeté », et ce contre le principe même de vérité. La fausseté et le mensonge, son état psychique ne peut l’en protéger. L’illusion le gagne peu à peu. Son identité, devient alors, et ce contre tout ce qui l’espérait, le bien le plus précieux : il se rend compte, qu’elle ne lui appartient pas. Elle n’est pas sienne, parce que l’identité est en réalité, un mouvement par lequel, nous nous retrouvons dans un monde qui existe en dehors de nous. La vérité conduit au solipsisme, précisément parce qu’en la cherchant, nous la trompons pour cet ordre et cette « mêmeté », cette prétentieuse logique. L’identité ne construit pas dans la mémoire, c’est-à-dire, dans la possession de souvenir, de quelque chose précédent votre être présent, la non-cessation d’être dans ce monde, comme nous le propose la pensée d’Heidegger. L’identité s’échafaude dans l’acte de remémoration. Dans le fait même de se remémorer. Car la mémoire que nous le voulions ou non, est un acte de visée de la vérité, et ce parce qu’elle tente toujours de synthétiser plusieurs perspectives. Le montage narratif, ne laisse jamais le héros hors de cette ellipse. Il retrouve sans cesse, récupère à chaque fois, recommence devant les autres personnages. Son calvaire est sans fin, parce que l’être et l’identité, le fait d’être identique à soi-même dans un monde existant en dehors de soi, ne peuvent se confondre et se rejoindre. Ou comme disait le poète allemand F. Hölderlin : « Nous ne sommes rien, ce que nous cherchons est tout ».
    Plastiquement, la forte identité visuelle du film repose sur la solitude du héros. Nous sommes rendus tout aussi seuls. Et ce parce qu’il nous est impossible de voir plus loin que lui. L’accompagnement, ou l’altruisme sont également remis à leur véritable valeur. Nous sommes vraiment seuls. Identique à nous-mêmes. Irréductibles à l’autre lorsque nous ne cachons rien, pas même une longueur d’avance dans la mémoire. Le montage et l’image nous montrent très peu d’éléments. Nous sommes sans cesse surpris, bousculés par une insoupçonnable envie de chercher dans le cadre, ce que celui-ci nous nargues subtilement. La luminosité est très artificielle, rendue aussi orpheline que l’est la créature de son créateur. Elle est celle de sa mémoire. Trouble, superflue et évanescente. Une certaine forme de poésie s’extirpe de cette condition solitaire. Elle a le mérite de saisir les plans, dans la dynamique architecturale du scénario.
    Voguant ainsi entre la spontanéité de la jeunesse, et le mensonger malin d’une maturité excitante et habile, l’œuvre se défait peu à peu de sa métaphysique des principes, pour construire un véritable conte. Telle que l’identité est promesse faite à l’être de toujours reposer dans le monde, Memento est l’avant-goût assuré d’un formidable raconteur. Et la promesse, sera celle d’une histoire ayant, par-delà la métaphore, créé l’épreuve que des Narcisses aussi littéraire que pop-moderne, devront subirent au plus profond de son écriture.
    (Mon blog : critiquewatch(point)blogspot(point)com)
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 25 août 2010
    Histoire au départ intéressante. Montage réussi. Jeu d'acteur bien rendu. Mais les longueurs interminables et le scénario par moment tiré par les cheveux font que ce film est vite assez ennuyeux.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 15 mars 2011
    Léonard n'a aucune mémoire immédiate, et cela est contraignant pour lui et son entourage. Le tour de force de Nolan est de nous faire ressentir la même chose que lui avec un procédé simple, mais encore fallait-il y penser : monter le film à l'envers, par portion de film. Et le résultat est superbe, on s'identifie du début à la fin (ou de la fin au début...) au personnage, on galère avec lui pour comprendre ce qu'il se passe.
    DenbroughX
    DenbroughX

    57 abonnés 314 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 février 2014
    Un film impressionnant pour la façon dont il est raconté, avec une série de flash-back, censé représenté les moments de la vie d'un personnage souffrant d'amnésie. Le concept est novateur, et participe essentiellement à la reconnaissance et au succès de ce film, qui, qu'on n'apprécie ou non, a un profond intérêt cinématographiquement pour son inventivité dans le scénario, la richesse de sa mise en scène, et surtout son montage révolutionnaire, qui décide de tout, et mène le spectateur vers un torrent d'indices, d'éléments et de pistes à résoudre, si bien que le spectateur s'interroge tout le film comme un véritable protagoniste de l'histoire, accroché par cette nouvelle et captivante manière de construire un récit, au final tout ce que voulait Nolan ! Un grand film donc, pas forcément d'une grande qualité car la masse d'énigme à résoudre lasse et frustre un peu trop le spectateur à la longue, alourdissent l'effet et vampirise même parfois le bon déroulement de l'intrigue. Cependant il reste d'un intérêt indiscutable !
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