Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
shindu77
79 abonnés
1 589 critiques
Suivre son activité
3,5
Publiée le 4 octobre 2018
C’est un film intéressant sur plusieurs aspects. Tout d’abord par son histoire et surtout sur une maladie difficile à gérer à savoir Alzheimer. Il faut noter aussi le casting et tout particulièrement les deux acteurs principaux dans leur composition respectives. La mise en scène est classique mais efficace, sans temps mort donc c’est un film tout à fait agréable à suivre.
Plus un téléfilm qu'un film, mais qu'importe, cette comédie douce amer sur un jeune homme obnubilé par sa finale de basket et se voit confié son papy frappé d'Alzheimer est d'une infinie tendresse et donne juste. C'est beau.
Il ne suffit pas de jouer une finale, il faut la gagner. Apparemment, le film a séduit le jury puisque « La finale » a remporté le grand prix du Festival International du Film de Comédie de l’Alpes d’Huez 2018. Et cerise sur le gâteau : prix d’interprétation pour Thierry Lhermitte. Pour poursuivre la métaphore « sportive », s’il y a finale cela implique au moins deux équipes, comme au basket pour rester dans le thème du film. Et évidemment, l’équipe qui a perdu la finale ne partage pas l’enthousiasme des supporters ou autres fans adverses. Je suis de ceux qui ne partagent pas l’enthousiasme de ce film. «La finale » m’a laissé de marbre. Un peu comme un spectateur invité à un match dont la discipline sportive n’est pas sa tasse de thé. Ici, ça tombe bien : le basket ! Ce sport m’indiffère. Je regarde pour faire plaisir parce qu’invité parce que ce sont les J.O et la France est engagée. Ma fibre chauvine me procure de l’émotion contrairement à cette comédie. Thierry Lhermitte a un prix d’interprétation mais qui avait-il en face ? A vaincre sans péril, on triomphe sans gloire. J’ai connu mieux en matière d’interprétation pour l’acteur : « La nouvelle vie de Paul Sneijder » par exemple. Ca n’engage que moi. Je n’évoque même pas « Le père Noël est une ordure ». Sa prestation dans cette finale est correcte mais rien d’inoubliable. Il fait le job. Evidemment c’est une comédie et on peut s’autoriser des outrances, mais encore faut-il y croire. Ce n’est pas le cas. Par exemple, le jeune JB qui conduit à vive allure dans Paris comme s’il connaissait parfaitement la ville, je n’y crois pas. Le côté soudainement mélodramatique spoiler: qui nous annonce que Roland est responsable involontaire de la mort de sa femme , je n’y crois pas. Quant aux seconds rôles n’en parlons pas, ils sont décoratifs. D’habitude, on retient un bémol, je retiens un accord mineur : les séquences dans le bus entre Roland et cette voyageuse atteinte de la même maladie que Roland ont titillé ma fibre émotion. Trop léger, trop fulgurant pour apprécier le film dans son ensemble. Sur le thème du handicap, je préfère « Tout le monde debout » le premier film de Franck Dubosc.
Thierry Lhermitte est assez touchant et juste dans ce film. Le duo avec Ryan Bensetti semble un peu tiré par les cheveux. L’histoire est belle mais le film semble pas assez abouti.
Une tendre comédie remplie de bon sentiments. La thème abordé, bien que grave, est ici traité subtilement avec humour. Le duo d'acteurs est très agréable à suivre.
Voir Thierry Lhermitte & Rayane Bensetti dans ce divertissement aussi émouvant que touchant, fut agréable. Même si le récit en lui-même n'a rien d’extraordinaire, le spectateur suit les aventures jusqu'à la finale de basket sur Paris. Un grand père qui a la maladie d’Alzheimer, dont le rôle est tenu par Thierry Lhermitte à l'écran est plus que crédible. Et son petit-fils, obnubilé par sa finale de basket, dont personne dans la famille ne semble croire en lui et l'encourager. Mais contre toute attente, cette finale va rapprocher, JB, de son grand-père Roland Verdi. A voir, le duo, ne manquera pas de vous toucher, voir sur certains passages, à vous faire rire. Mais, le film, nous montre également, toute la difficulté de la famille, face à cette maladie. Et l'impuissance de Roland face à elle.
Gentille comédie sur fond d'Alzheimer;.. On sourit devant ce feel good movie à la française... Il a certes des défauts, mais certaines qualités également...Lhermitte est très bon, le p'tit jeune joue juste, et on suit ce road trip, avec insouciance et enthousiasme...
une comédie dramatique mais plutôt comédie que drame , sur la maladie d'Alzheimer quicnedt pas toujours évident a traiter , mais une maladie qui touche de plus en plus de personne chaque année, mais qui dans ce film est plutôt bien travailler mélanger compte et drame c'est plutôt une bonne chose ça permet de sensibiler un maximum de personne. Un duo Rayane bensetti , Thierry Lhermitte qui fonctionne très bien même si certains dialogue aurait peut être plutôt mieux écrit, on rigoler , on est toucher, et la scène finale du film nius fait verser des larmes ou pleurer d'émotion ce qui n'est pas toujours facile à faire surtout de nos jours . Un grand père qui a toujours travailler dans son bar ce retrouve à devoir habiter chez sa fille (qui a des enfants ) car il a la maladie d'Alzheimer se croit toujours en 1998 alors que les bleus nous pas encore jouer la coupe du monde de football son petit fils Jean Baptiste ce retrouve seul avec lui mais doit jouer sa finale de basket il décide de l'emmener avec lui comme sa il peux le surveiller et il ne sera pas seul pour l'accompagner. Le personnage de JB et plutôt méchants et blessant envers son grand père. retrouve cela dommage il aurait pu écrire un personnage plus gentil ne filme n'en aurait était que meilleur .
S'il y a de bons moments dans cette comédie et que globalement les acteurs s'en tirent bien, on a l’impression d'assister à un éternel recommencement tant les situations qui s'enchainent se ressemblent. Un road movie au final un peu décevant.
Thierry Lhermitte en papy atteint d'Alzheimer, Rayane Bensetti en jeune sportif devenu contre son gré la nounou du vieillard gâteux, une aventure rocambolesque à travers la France pour atteindre la finale de basket à laquelle ce dernier doit participer... Sur le papier, La Finale a tout de la petite comédie légère et émouvante à la fois, qui ne tombe pas dans les gags lourdingues, et c'est bien le cas. Quelques séquences amusantes et tendres (lorsque les pertes de mémoire du grand-père lui font faire des bêtises), tout en décomplexant cette maladie tragique (un final assez touchant avec la séquence des photos). Mais là où La Finale perd les points du jury, c'est dans le rocambolesque. Impossible de croire une seule seconde aux rebondissements énormes, à l'intrigues qui montre rapidement des facilités et à un final très prévisible. Dommage car le duo d'acteurs est bon, sans être mémorable il parvient à être crédible et sincère (on repense tous à nos papys...). D'ailleurs, le film prône le respect aux anciens, ce qui est une morale très agréable et qu'il faudrait souligner plus souvent, chapeau. Même si La Finale n'est pas un hold-up du rire ou de l'émotion à cause de son scénario peu crédible et prévisible, les deux acteurs nous donnent envie d'appeler nos familles pour prendre de leurs nouvelles.
Ce n'est pas la plus drole des comedies, ni la plus emouvante d'ailleurs. Mais elle est douce, gentille, marrante tout de meme, joyeuse. Un petit bonbon de miel qui marquera surement quelques esprits !
Robin Sykes a réussi à apporter une jolie touche d’humour à un sujet qui ne se prête pas en principe à la rigolade. Un road movie générationnel touchant qui doit son essence à l’interprétation de Thierry Lhermitte ainsi qu’à celle du jeune Rayane Bensetti. Un premier film sympa.
Très beau film qui traite de la maladie d Alzheimer. Ce film édifie un hymne à l’amour, il soigne des plaies ( ça c’est cool ), il fait parfois pleurer (enfoirer) et il fait rire. Vous savez ces rires singuliers, cajoleurs et tendres, emplis de belles intentions pour réveiller cette humanité que nous avons en nous. Merci pour ce moment. Le jeu de Thierry Lhermitte est pour le moins impressionnant et celui de Rayane Bensetti infiniment juste. L'histoire de cette homme solide qui a toujours vécu dans l'action qui au fil de sa maladie en a perdu sa mémoire mais le plus beau des médicaments n'est-il pas l'entourage. Merci à Robin Sykes pour ce petit bijou.