Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Bande à part
par Anne-Claire Cieutat
Le cinéaste et plasticien Clément Cogitore signe un documentaire d’une puissance visuelle et sonore inouïe : "Braguino", western existentiel et conte sur l’enfance, est un film touché par la grâce.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Critikat.com
par Axel Scoffier
L’ambiance crépusculaire des paysages sibériens que restitue la caméra de Cogitore correspond parfaitement au climat de violence larvée qui menace ce monde, et se trouve entretenue par le brouillage volontaire entre fiction et documentaire opéré par le montage.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par La Rédaction
Cet extraordinaire montage, d’où jaillissent une multitude d’éclairs visuels et de clignotements sonores qui semblent émerger des ténèbres originelles, montre à quel point le rêve d’autarcie épouse les contours de la paranoïa. Admirable de bout en bout.
Positif
par Nicolas Bauche
(...) une réussite aussi éclatante qu'inattendue.
Première
par Gael Golhen
Par un travail fou sur la texture de l’image, par sa manière de malaxer les genres de cinéma, le jeune cinéaste déplace le documentaire vers un film métaphysique, follement impressionniste.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Damien Aubel
Des chasseurs, des clans, des ours, la nuit, la forêt : "Braguino" plonge ses racines dans la matière première du récit : le conte et la tragédie. Et prouve que cette matière est toujours vive.
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
La force de Braguino réside dans ses affinités avec les songes ou le cinéma de fiction le plus évocateur, dans la construction de visions jaillies d’un fond d’obscurité qui marquent durablement par tout ce qu’elles contiennent de mythes ressurgis, d’affleurement symbolique, d’étonnement permanent et de familiarité profonde, oubliée.
Culturopoing.com
par Sophie Yavari
Clément Cogitore déplace les frontières du documentaire pour proposer au spectateur une expérience immersive, un voyage au pays des légendes et une ode mélancolique à la nature.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Emile Breton
Longs silences, embarras, et les deux petites bandes reprennent leurs barques. Mais qui sait, peut-être, un jour… Telle est la beauté, à goûter lentement, de ce film qui, comme la taïga, ne révèle sa beauté qu’au spectateur attentif.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Guillaume Loison
Une imagerie de bout du monde et la tendance du cinéaste à plonger son spectateur dans un état de sidération évoquent Werner Herzog. Sauf que "Braguino" est une œuvre rêche, dénuée de la goguenardise qui signe les films du baroudeur allemand. Un diamant brut.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Roland Hélié
En 49 minutes de cinéma pur, Clément Cogitore livre un film d'une grande beauté, comme si c'était la chose la plus naturelle qui soit.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Le cinéaste confirme qu'il est un grand espoir du cinéma avec ce récit d'un éden au bord de la chute.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Jérémy Piette
Depuis l’atterrissage sur zone en hélicoptère jusqu’à la menace armée qui se manifeste au crépuscule du documentaire, le cinéaste saisit avec intensité le quotidien des Braguine en un récit riche de péripéties que l’ingéniosité du montage, alliée à l’intelligence de la captation, ferait presque passer pour celles d’une fiction à la dramaturgie millimétrée.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Pierre Murat
Ce moyen métrage est issu d’une installation étonnante (1) . Projetées au cinéma, les images redoublent de force et de beauté.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Il en ressort une opacité grave, étrange, qui fait de ce moyen métrage un objet de curiosité aussi bien esthétique que sociologique. Dans tous les cas, en tous points passionnant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Figaro
par La Rédaction
Remarqué pour son premier film Ni le ciel ni la terre, Clément Cogitore signe un documentaire poétique tranquillement dépaysant. Visite au royaume de la forêt et de l'enfance, avec leurs beautés et leurs menaces.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Des portes s’ouvrent, des pistes se libèrent, mais rien n’aboutit. Comme si le réalisateur, très concentré sur ses procédés maniéristes, n’avait que faire des êtres humains venant s’insérer dans son dispositif.
Bande à part
Le cinéaste et plasticien Clément Cogitore signe un documentaire d’une puissance visuelle et sonore inouïe : "Braguino", western existentiel et conte sur l’enfance, est un film touché par la grâce.
Critikat.com
L’ambiance crépusculaire des paysages sibériens que restitue la caméra de Cogitore correspond parfaitement au climat de violence larvée qui menace ce monde, et se trouve entretenue par le brouillage volontaire entre fiction et documentaire opéré par le montage.
Le Monde
Cet extraordinaire montage, d’où jaillissent une multitude d’éclairs visuels et de clignotements sonores qui semblent émerger des ténèbres originelles, montre à quel point le rêve d’autarcie épouse les contours de la paranoïa. Admirable de bout en bout.
Positif
(...) une réussite aussi éclatante qu'inattendue.
Première
Par un travail fou sur la texture de l’image, par sa manière de malaxer les genres de cinéma, le jeune cinéaste déplace le documentaire vers un film métaphysique, follement impressionniste.
Transfuge
Des chasseurs, des clans, des ours, la nuit, la forêt : "Braguino" plonge ses racines dans la matière première du récit : le conte et la tragédie. Et prouve que cette matière est toujours vive.
Cahiers du Cinéma
La force de Braguino réside dans ses affinités avec les songes ou le cinéma de fiction le plus évocateur, dans la construction de visions jaillies d’un fond d’obscurité qui marquent durablement par tout ce qu’elles contiennent de mythes ressurgis, d’affleurement symbolique, d’étonnement permanent et de familiarité profonde, oubliée.
Culturopoing.com
Clément Cogitore déplace les frontières du documentaire pour proposer au spectateur une expérience immersive, un voyage au pays des légendes et une ode mélancolique à la nature.
L'Humanité
Longs silences, embarras, et les deux petites bandes reprennent leurs barques. Mais qui sait, peut-être, un jour… Telle est la beauté, à goûter lentement, de ce film qui, comme la taïga, ne révèle sa beauté qu’au spectateur attentif.
L'Obs
Une imagerie de bout du monde et la tendance du cinéaste à plonger son spectateur dans un état de sidération évoquent Werner Herzog. Sauf que "Braguino" est une œuvre rêche, dénuée de la goguenardise qui signe les films du baroudeur allemand. Un diamant brut.
Les Fiches du Cinéma
En 49 minutes de cinéma pur, Clément Cogitore livre un film d'une grande beauté, comme si c'était la chose la plus naturelle qui soit.
Les Inrockuptibles
Le cinéaste confirme qu'il est un grand espoir du cinéma avec ce récit d'un éden au bord de la chute.
Libération
Depuis l’atterrissage sur zone en hélicoptère jusqu’à la menace armée qui se manifeste au crépuscule du documentaire, le cinéaste saisit avec intensité le quotidien des Braguine en un récit riche de péripéties que l’ingéniosité du montage, alliée à l’intelligence de la captation, ferait presque passer pour celles d’une fiction à la dramaturgie millimétrée.
Télérama
Ce moyen métrage est issu d’une installation étonnante (1) . Projetées au cinéma, les images redoublent de force et de beauté.
aVoir-aLire.com
Il en ressort une opacité grave, étrange, qui fait de ce moyen métrage un objet de curiosité aussi bien esthétique que sociologique. Dans tous les cas, en tous points passionnant.
Le Figaro
Remarqué pour son premier film Ni le ciel ni la terre, Clément Cogitore signe un documentaire poétique tranquillement dépaysant. Visite au royaume de la forêt et de l'enfance, avec leurs beautés et leurs menaces.
La Voix du Nord
Des portes s’ouvrent, des pistes se libèrent, mais rien n’aboutit. Comme si le réalisateur, très concentré sur ses procédés maniéristes, n’avait que faire des êtres humains venant s’insérer dans son dispositif.