Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Dora M.
64 abonnés
501 critiques
Suivre son activité
2,0
Publiée le 9 mai 2021
James Bond (Sean Connery) enquête au Japon sur des incidents survenus dans l’espace, à l’encontre d’astronautes américains et russes, sur le point de déclencher une guerre entre les deux pays. Le film semble long, il ne m’a pas semblé très intéressant, peut-être en raison du trop grand nombre de situations improbables : James Bond s’initie à la culture japonaise (arts martiaux, mariage avec une japonaise) tout ça pour lui servir de couverture pour aller sur une île de pêcheurs ; le SPECTRE est capable d’envoyer des fusées en pagaille dans l’espace, en tout discrétion… Les scènes d’action ne sont pas folles, du moins semblent longues, comme celle avec tous les hélicoptères. Bref, vraiment pas le meilleur James Bond, à mon avis.
Cocktail réussi d'aventures, d'exotisme oriental et d'action rocambolesque, ce 007atteint des sommets, flirtant gentiment avec la science fiction. Et son charme quelque peu vieillot n'en est que plus attachant.
Un bon James Bond au scénario plus cohérent que la plupart, porté par l'interprétation de Sean Connery et l'apparition de Donald Pleasance dans le final.
Après "Goldfinger" et "Opération Tonnerre" qui se sont imposés comme les meilleurs James Bond avec Sean Connery, "On ne vit que deux fois" paraît plus faible, misant beaucoup sur le charme de son aspect japonais (avec des ninjas et des James Bond Girls asiatiques) mais se retrouvant kitsch par moment. L'histoire, quant à elle, traîne un peu en longueurs et est plutôt invraisemblable mais on se laisse quand même prendre par l'intrigue car ne nous leurrons pas, le charme de Sean Connery opère et certaines sont vraiment réussies, notamment toutes celles situées à l'intérieur du volcan où Donald Pleasence donne son visage (et le meilleur de tous) au fameux Blofeld, s'avérant diabolique à souhait.
Dès l’ampleur de sa scène d’ouverture, on peut déterminer que cette cinquième aventure de James Bond saura se distinguer de ses prédécesseurs en termes d’enjeux et de qualité visuelle. Lewis Gilbert réussit en effet à envoyer l’agent britannique au cœur d’un Japon filmé avec une beauté picturale ahurissante. Là-bas, notre héros, encore une fois interprété par l’insubmersible Sean Connery, a bien moins recours à son attirail de gadgets (qui avait pris trop de place dans Opération Tonnerre) pour étudier le ninjatsu, draguer quelques ‘James Bond girls’ locales (on ne refait pas!) mais surtout déjouer une nouvelle conspiration du SPECTRE. L’organisation criminelle, qui tente une nouvelle fois de tirer parti des tensions entre russes et américains, nous permet enfin de découvrir le visage de son n°1, interprété ici par Donald Pleasence et qui devint une figure iconique au moins au si incontournable que son ennemi. A l’image de sa fusillade finale, parmi les plus spectaculaires de la saga, On ne vit que deux fois est un grand moment de cinéma et peut-être le plus formellement réussi des James Bond de la génération Connery.
D'un point de vue qualitatif, chaque épisode de la période Sean Connery est globalement équivalent. Des films plutôt bien structurés, et qui vieillissent remarquablement bien. Bond simule ici sa mort, avant de s’initier aux coutumes japonaises, aux mœurs comme aux femmes. Une enquête savoureuse sur la piste d'une base spatiale secrète, dissimulée au fond du cratère d'un volcan. Les retombées de la guerre froide s'étendent désormais à l'espace où sévit la griffe du SPECTRE, un redoutable avaleur de vaisseaux. Une gestion de l'action contrastée et murit autour de scènes relaxantes, en opposition aux poudrières et aux combats aériens. Clin d’œil à la dernière invention de Q qu'est la petite Nellie, un hélicoptère miniaturisé et surarmé, idéale pour dégager le ciel. Le 5ème opus fructifiant d'une cuvée 1967 en grande pompe, où même les clichés et les fonds verts dévoilent tous leur charme. Une réalisation exemplaire pour l'époque, portée en triomphe par un Sean Connery au sommet de son art. Un agréable divertissement. 3,5/5
Avec ce 5e opus, la série marquait un léger recul. Les gadgets prennent parfois le pas sur le scénario (même si la scène du gyrocoptère est assez jouissive), les effets spéciaux ont vraiment vieilli (les plans du volcan en éruption !), l'histoire traine un peu en longueur et on note quelques aberrations (tous les méchants savent où trouver 007, la transformation de James Bond en japonais…). Reste que Sean Connery en James Bond, ça le fait toujours autant, les décors sont là encore impressionnants (le repaire de Blofeld !) et on retrouve avec joie M, Money Penny et Q (sa scène est toujours aussi indispensable). Mais le film est surtout l’occasion de découvrir pour la 1ere fois le visage et le nom du N°1, le terrible Blofeld (campé par un Donald Pleasance habité). Dommage que le film n’est pas assez innové...
Le Japon est la terre d’accueil de ce 5ème James Bond, une mission pour le moins convenue qui s’éloigne considérablement du roman de Ian Fleming. Voici venue l’heure de l’essoufflement pour Sean Connery. L’acteur semble moins impliqué et annoncera d’ailleurs à l’issue du tournage abandonner le rôle (qui retrouvera malgré tout pour « les Diamants sont Éternels »). Le film, dirigé par Lewis Gilbert, est l’occasion de découvrir pour la première fois le visage balafré d’Ernst Stavro Blofeld sous les traits de Donald Pleasence, sans oublier, côté gadget, la mémorable "petite Nessie". Le travail de Ken Adam est également à l’honneur de « On ne Vit que Deux Fois » tant ses décors sont impressionnants
James Bond au pays du soleil levant, dans "On ne vit que deux fois" 007 est envoyé au Japon afin de prouver que l’organisation Le Spectre est derrière la disparition d’un engin spatial qui fait monter les tensions entre russes et américains s’accusant mutuellement. Sur place il obtient l’aide de Kissy Suzuki des services secrets japonais pour enquêter sur M. Osato un riche industriel à la solde de Blofeld, le n°1 du Spectre, chargé de tuer Bond. La cinquième aventure de l’agent secret marque le premier passage derrière la caméra de Lewis Gilbert pour un film de la saga, il y reviendra par la suite à deux reprises pour "L’Espion qui m’aimait" et "Moonraker". C’est un opus très réussi qui présente néanmoins quelques défauts, le premier la présence trop importante des nombreux gadgets qui efface quelque peu la performance de Sean Connery et la deuxième est un certain manque d’originalité. En effet si dès le départ la mort de Bond fait sensation, la suite de l’épisode n’est pas si surprenante, les décors signés Ken Adam ("Docteur Folamour") font penser à "James Bond 007 contre Dr.No" et le final à "Goldfinger". "On ne vit que deux fois" est tout de même un James Bond très divertissant nous faisant découvrir les paysages de la campagne japonaise.
Un James Bond sympa. Le scénario n’est peut être pas au top, mais on passe un bon moment. Premier voyage en Asie, les scènes d’action comme la fusillade face aux hélicoptères et la bataille finale dans la forteresse du faux-volcan sont très réussies. Sean Connery assure de nouveau dans le rôle de James Bond et on découvre Donald Pleasence qui est le premier à incarner Blofeld en chair et en os.
On ne vit que deux fois est le 5ème opus de la saga James Bond, Sean Connery toujours dans le rôle phare mais cette fois-ci opposé à Donald Pleasance (la saga Halloween). Cet opus, malgré de très nettes bourdes, parvient plutôt bien à se rendre intéressant. L'ennemi juré de 007 nous est enfin révélé, JB se déguise en japonais et il sauve une fois de plus le monde, voilà qui pourrait très bien résumer ces 1h50 de métrage car même s'il apparaît que le film n'est pas mauvais en soi, il reste tout de même assez banal dans le fond.
Ce James bond est assez intéressant pour le fait qu'il surfe sur les tension entre américains et russes pour la conquête de l'espace. Il est également intéressant pour son action se déroulant au Japon et pour ses James bond girls pour la première fois asiatiques. Si non, toujours la classe de Sean Connery. Cependant le point faible du film pour moi, c'est le méchant (incarné par Donald Pleasance) qui manque cruellement de charisme et son personnage manque vraiment d'envergure. Dommage car l'idée de départ était plutôt bonne et ambitieuse. Reste que je n'ai presque jamais été déçu par un James bond et celui-ci ne déroge pas a la règle.
Ah ben voilà le chef-d'œuvre avec ce premier acteur qui endossa le costume ! Je ne suis pas déçue, il y avait un paquet surprise et j'en suis satisfaite. Le moment convenu pour partir vers l'horizon que choisira l'écossais aux bons et loyaux services rendus à Sa Majesté. C'est charmant, plaisant ce rôle de séduction mission objectif espionnage réussi, le scénario nous propulse en extrême-orient asiatique. Du début au soleil couchant de Hong-Kong sous administration britannique, 007 Sean Connery aurait vécu deux fois dans sa dernière sortie. Une escapade intrigante qui le mènera au levant du Japon, une puissance de feu pour l'ouverture spatiale qui fait palpiter d'impatience afin de connaître la suite de l'histoire. Au beau milieu de la guerre froide, l'impartiale organisation criminelle qui veut crée un nouvel ordre universel, instigatrice des tensions États-Unis-Soviétique, on comprend mieux que ce fut la guerre très froide, un sacré climat cette période. A la tête de Spectre, le visage énigmatique mystique vilain du chaton boule de poil terrible, se révèle et une musique originale annonce le style propre à l'univers d'espion du Royaume-Uni. La chanteuse divine et son air est populaire, une reprise culte pour les chansons de pop-rock pop-corn. Cette réalisation est à bien ranger au côté de mon numéro 1 qu'est meurs un autre jour, au service de Sa Majesté, l'espion qui m'aimait, tuer n'est pas jouer.
Le dernier James Bond de Sean Connery (afin pour le moment et chronologiquement!) et certainement le moins intéressant. Scénario ultra poussif, malgré une bonne idée de départ (sa mort)qui n'est pas du tout exploité, préférant poursuive avec une parodie excessive de "tous les personnages dans la Marine" pour un problème spatiale...Incompréhensible!! Ensuite, c'est tout le monde au Japon, le film choisissant cet univers pour dépayser le spectateur! Au milieu? Et bien les ingrédient habituels avec plus ou moins de réussites, l'action évitant de justesse à sauver le film de l'ennui. Dommage, car le volcan cachant le repère du SPECTRE était une bonne idée et reste culte, tout comme le retropropulseur portable du départ... Un petit ratage dans une série toujours très dépaysante et pleine d'action! Enfin, cela restera James Bond avec les NINJASSES (version française ultra risible!!)
Une navette spatiale américaine est "enlevé" par un immense objet volant non identifié. Les américains accusent les russes et la tension est à son comble. Pour résoudre le problème, une seule personne : Bond. Cinquième épisode de la célèbre saga, "On ne vit que deux fois" nous emmène cette fois ci au Japon ! Dépaysement total assuré. Le scénario est original et plutôt réussi. On retrouve bien évidemment l'organisation criminelle le SPECTRE et cette fois-ci nous aurons la chance de voir le visage du n°1 !! Malgré quelques passages qui semblent ridicules aujourd'hui (le mariage japonais de James Bond notamment) cet épisode fait mouche ! Agréable.