AlloCiné
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De luxueux décors prétextes à une bataille finale époustouflante et tout ce qui fait habituellement la recette dun bon James Bond achèvent de faire de ce film une sacrée réussite.
James est de retour et cette fois-ci au Japon.Il traque sans relâche l'ignoble Ernst Stavro Blofeld,chef de la terrible organisation terroriste,le Spectre.Mais pour arriver à ses fins,il devra surmonter de grandes épreuves toutes les plus dangereuses les une que les autres!Retour gagnant pour Sean Connery qui n'a rien pedru de son efficacité mais qui commence pourtant à se lasser de son costume d'agent secret.Mais que l'on se rassure,ce n'est pas pour autant que le film en souffre.Eutouré de japonnaises très sexy et d'alliés surprenants,007 saura faire face à ses opposants.Il découvrira enfin le visage de son ennemi juré (magnifique Donald Pleasence!) mais ne pourra hélas pas mettre un terme à ses agissements.Avec un budget importants,Lewis Gilbert réalise les épisodes les plus spectaculaires de la saga.Pour sa première aventures derrière la caméra,il s'en sort avec les honneurs.Un épisode exceptionnel qui en quarante ans n'a rien perdu de son efficacité!
Ce James Bond vieillit de plus en plus. Roger Moore n'est pas du tout crédible dans le rôle de ce personnage.
Après Goldeneye, ce James Bond est,je pense, mon préféré. Peut-être est-ce le fait que le film se déroule au Japon, pays à la culture fascinante, mais je trouve l'ambiance du film exceptionnelle et particulièrement dépaysante. Alors certes, le film est tiré par les cheveux, que ce soit le début avec l'immense engin spatial qui avale les navettes russes et américaines ou encore nos amis japonais qui sont montrés de manière un peu caricaturale notamment tout ce qui concerne les arts martiaux qui est toujours un peu ridicule lorsque c'est filmé et traité par des occidentaux, mais c'est aussi ce côté un peu kitsch qui fait le charme de cet épisode de Bond vraiment très réussi. Et James Bond qui se fait passer pour un japonais, qui pourrait croire ça avec l'air écossais marqué comme c'est pas possible de Sean Connery. Enfin, on pardonne vraiment volontier ces petites extravagances scénaristiques tant le film est dynamique et dépaysant. Le film rebondit sans cesse et alterne merveilleusement bien les phases culturelles où le contact japonais de James Bond lui explique les us et coutumes du pays et les scènes d'action inspirées qui nous scotchent à l'écran alors que le film a quand même près de trente ans. Mention spéciale à "la petite Nellie", le petit hélicoptère jaune sur-armé qu'utilise James Bond pour survoler les magnifiques paysages du Japon et se défaire d'autres hélicoptères pourtant bien plus grands dans de belles séquences aériennes bien filmées. L'idée du Volcan qui s'ouvre pour laisser apparaître l'immense base secrète du méchant est géniale. D'ailleurs, la bataille de fin qui s'y déroule est plutôt impressionnante même si elle est parfois filmée de façon un peu brouillonne. Le grand évènement du film est bien sûr la révélation du visage de numéro 1, le chef du spectre très bien interprété par Donald Pleasance, qui se révèle le pire ennemi de James Bond même si ce n'est pas le plus classe ni le plus intéressant. Assurément un des meilleurs Bond et un bon film.
parmi les premiers james bond c'est l'un de ceux qui a le plus mal vielli, le héros est insupportable, misogyne au possible et le film tourne fréquemment au ridicule
Les défauts habituels des James Bond, je ne reviens pas dessus. Mais pour moi cet épisode sort un peu du lot grâce à sa touche orientale, sa superbe musique, et un bon équilibre entre scènes d'action et dialogues.
J'ai beaucoup regardé ce film quand j'étais gosse, je dois dire que la musique du générique m'envoûtait complètement et je trouvai Sean connery génial, ce qui est toujours le cas.
Par contre, ce qui m'énèrve c'est que l'Angleterre se donne vraiment le bon rôle, ils remettent en place les deux plus grande puissance de l'époque et sauve le monde grâce à James Bond.
Et ce qui me fait rire c'est à quel point les filles deviennent faciles devant Bond.
Bon ce n'est qu'un film, mais ces détails mon embêté pendant le film.
L'un des James bond qui à le plus de charme grâce à Sean Connery.
Par contre, ce qui m'énèrve c'est que l'Angleterre se donne vraiment le bon rôle, ils remettent en place les deux plus grande puissance de l'époque et sauve le monde grâce à James Bond.
Et ce qui me fait rire c'est à quel point les filles deviennent faciles devant Bond.
Bon ce n'est qu'un film, mais ces détails mon embêté pendant le film.
L'un des James bond qui à le plus de charme grâce à Sean Connery.
Un bon divertissement qui peut, de nos jours, se regarder d'un œil tout en vaquant à d'autres occupations. Indéniablement, çà a quand même bien mal vieilli. Sans compter que depuis 1967 avec "You only live twice" à aujourd'hui avec le tout récent "47 ronin" la vision du Japon dans ses mentalités à travers des yeux occidentaux semble toujours aussi ridicule...
La cinquième aventure de James Bond est réussie. Sean Connery est toujours excellent. C'est dans cet épisode, que Bond affronte pour la première fois le chef du spectre, Blofeld. Enfin on voit son visage. Un très bon james bond. Les effets spéciaux ont vieillit, mais le charme demeure éternel. Un bon 007.
On ne vit que deux fois (You only live twice) 1967, de Lewis Gilbert. Date de 40 ans, mais se voit toujours avec plaisir. Cinquième film de la saga James Bond et avant dernier à être interprété par Sean Connery, qui, pour mémoire était l’agent secret le plus connu au monde dans James Bond 007 contre Dr. No, Bons Baisers de Russie, Goldfinger, Opération Tonnerre et Les Diamants sont Eternels (1971). Si j’excepte le ridicule de notre héros grimé en asiate, c’est un excellent Bond. Belle chanson titre (Nancy Sinatra), magnifiques paysages du Japon, surtout quand ils sont survolés par la « petite Nelly », une drôle de machine pour fou volant, inventé par Q. L’affreux et méchant Spectre a installé sa base pour détruire le monde au fond d’un volcan et c’est de ce drôle de site que sortent les engins spatiaux qui avalent, tels des requins, les navettes des Américains et des Russes. La guerre entre les deux ennemis qui s’accusent mutuellement est donc bien organisée par le Spectre, du moins le pense t-il, sauf que notre Bond va s’interposer…
Cinquième film qui se déroule quasi-exclusivement au Japon. Un Japon très carte postale où toutes les Japonaises sont en kimono et où les espions se retrouve dans les gradins d'un combat de sumos. Première fois où le spectateur découvre le visage de Blofeld, le génie du mal à la tête du Spectre, interprêté par Donald Pleasence. Le repaire secret, dissimulé ous un volcan d'où décollent des fusées est mythique. Brad Bird, entre autres, s'en inspirera beaucoup pour la base du méchant Syndrome dans les Indestructibles.
Mettant en scène son pseudo-assassinat pour pouvoir profiter d'un peu de tranquillité, l'agent britannique se retrouve face une fois de plus à la plus grande organisation criminelle à savoir le SPECTRE. Pressentant la menace d'une Troisième Guerre Mondiale entre la Russie et les États-Unis suite à la disparition d'engins spaciaux de chaque camp, 007 part enquêter au Japon pour débusquer le coupable tirant les ficelles… Roal Dahl signe ici un excellent scénario. Nous découvrons d'ailleurs pour la première fois le visage de Blofeld, chef du SPECTRE et grand ennemi de James Bond. Parmi les scènes du film, je retiens en particulier la bataille aérienne entre Bond à bord de la "Petite Nellie" et les hélicoptères et l'affrontement final dans le cratère, deux scènes figurant parmi les plus mémorables de la série des James Bond. On ne vit que deux fois est assurément l'un des meilleurs films de la franchise avec Sean Connery.
Ah la la un autre bon James Bond, je trouve celui ci particulièrement drôle et me rappelle les OSS 117, c’est le premier film de la saga où l’on découvre enfin le visage du chef de Spectre, il y a un bon rythme et le scénario est assez intéressant, c’est appréciable, un bon film d’espionnage
A voir
A voir
Voilà un James Bond qui a bien vieilli, mais en mal. Les effets spéciaux sont d'époque et cela se voit malheureusement un peu trop. Le scénario n'est pas top. Ce film vaut surtout pour le pays dans lequel il se déroule : le Japon. Et c'est assez rare pour le noter. Et il prend une place non négligeable dans la série des Bonds, et devrais-je dire, dans l'évolution des Bonds.
A voir par les amateurs de cet espion et des films d'action en général et qui n'ont pas peur de l'ancienneté.
A voir par les amateurs de cet espion et des films d'action en général et qui n'ont pas peur de l'ancienneté.
Benjamin A
Cinquième mission pour l'agent Bond qui ici se fait passer pour mort afin de débusquer les auteurs du vol d'une capsule spatiale américaine, visant à monter les américains contre les soviétiques, et réciproquement.
Lewis Gilbert emmène le personnage créé par Ian Fleming au Japon et adapte un scénario (signé Roald Dahl !) assez classique mais plutôt intéressant et d'actualité alors que la course à l'espace battait son plein. Un peu moins marquant que les précédents opus, il n'en reste pas moins assez efficace et plaisant à suivre, avec quelques très bonnes idées, ponctué par des scènes mémorables à l'image du final qui ne manque pas de tension et d'intérêt ainsi que de d'une belle qualité visuelle et des reconstitutions à la hauteur de l'ambition.
Alors, Lewis Gilbert n'a pas que des bonnes idées et on aurait très bien pu se passer d'un James Bond en japonais (ainsi que de quelques clichées sur le pays du soleil levant) mais il sait rendre son récit plaisant et on prend un agréable plaisir à suivre Bond, toujours incarné à merveille par un Sean Connery velu et charismatique. Les seconds rôles sont aussi réussis, notamment Donald Pleasence dans le rôle de Blofeld (bien que peu présent) ou les "James Bond girls" asiatiques, et c'est toujours un plaisir de retrouver Miss Moneypenny.
Si on ressent un certain essoufflement du James Bond version Sean Connery, "On ne vit que deux fois" reste tout de même un film efficace et plaisant à suivre, porté par son excellent interprète principal et ponctué par quelques scènes vraiment mémorables.
Lewis Gilbert emmène le personnage créé par Ian Fleming au Japon et adapte un scénario (signé Roald Dahl !) assez classique mais plutôt intéressant et d'actualité alors que la course à l'espace battait son plein. Un peu moins marquant que les précédents opus, il n'en reste pas moins assez efficace et plaisant à suivre, avec quelques très bonnes idées, ponctué par des scènes mémorables à l'image du final qui ne manque pas de tension et d'intérêt ainsi que de d'une belle qualité visuelle et des reconstitutions à la hauteur de l'ambition.
Alors, Lewis Gilbert n'a pas que des bonnes idées et on aurait très bien pu se passer d'un James Bond en japonais (ainsi que de quelques clichées sur le pays du soleil levant) mais il sait rendre son récit plaisant et on prend un agréable plaisir à suivre Bond, toujours incarné à merveille par un Sean Connery velu et charismatique. Les seconds rôles sont aussi réussis, notamment Donald Pleasence dans le rôle de Blofeld (bien que peu présent) ou les "James Bond girls" asiatiques, et c'est toujours un plaisir de retrouver Miss Moneypenny.
Si on ressent un certain essoufflement du James Bond version Sean Connery, "On ne vit que deux fois" reste tout de même un film efficace et plaisant à suivre, porté par son excellent interprète principal et ponctué par quelques scènes vraiment mémorables.
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