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    Woman at War
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    141 critiques spectateurs

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    dominique P.
    dominique P.

    834 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 juillet 2018
    Ce film islandais est d'une grande originalité, d'une grande force sociale et déroutant.
    Je salue le message de ce film.
    Il y a des moments amusants également dans cette histoire (avec le touriste à vélo) et des moments d'entraide (avec le prétendu cousin et la soeur jumelle) et aussi des moments émouvants (concernant la petite fille adoptée).
    Cependant, une chose que je n'ai pas bien aimé : ce sont les interludes musicaux et chantés qui reviennent souvent et qui sont agaçants à la longue, même si je reconnais qu'ils ont leur utilité.
    Cinephille
    Cinephille

    155 abonnés 627 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 juillet 2018
    Je ne loupe jamais un film islandais car ils ne sont pas si fréquents et ont toujours un humour particulier. Celui-ci ne fait pas exception avec une belle trouvaille de mise en scène dans ces musiciens et chanteuses intégrées aux plans, ce rôle de femme forte inventive est courageuse. Là où le film ne me convainc pas tout à fait c'est dans une longueur excessive de certaines scènes notamment la dernière cavale et dans le coté fable trop appuyé.
    Yves G.
    Yves G.

    1 456 abonnés 3 486 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 juillet 2018
    Halla, la cinquantaine, est une battante, une femme solitaire qui mène une double vie. Elle est musicienne et cheffe de chœur. Mais elle consacre son temps libre à mener des opérations clandestines pour la protection de l'environnement et contre l'implantation en Islande d'une usine de production d'aluminium.
    L'adoption d'une jeune orpheline ukrainienne place Halla face à un dilemme : ses nouveaux devoirs de mère lui permettront-ils de poursuivre son combat ?

    J'avoue avoir eu quelques hésitations face au pitch de "Woman at War". Je le trouvais trop simpliste voire rétrograde : une femme obligée de sacrifier sa vocation à sa maternité. Heureusement "Woman at War" n'est pas une comédie tire-larmes sur les joies de l'adoption mais un thriller écologique remarquablement rythmé.

    On ne quitte pas d'une semelle son héroïne, Halldora Geirhardsdottir, qui réussit même à se dédoubler puisqu'elle interprète aussi le rôle de la sœur jumelle de Halla, Asa, dont l'utilité au scénario s'éclairera à la fin du film. L'énergie de ce Robin des bois des temps modernes - Halla porte le prénom d'un bandit de grand chemin qui défia l'autorité étatique au XVIIème siècle - est communicative. On admire sa force physique et son intelligence quand elle réussit à échapper à ses poursuivants en courant dans la lande islandaise, en se jetant dans les flots glacés d'un torrent ou en se cachant sous la dépouille d'une brebis. Personnage d'autant plus admirable quand on sait dans quel mépris le cinéma tient les femmes de cinquante ans - quatre fois moins présentes au cinéma qu'elles ne le sont dans la société française selon une récente enquête de l'AAFA.

    Mais l'énergie terrienne de son héroïne et la beauté impressionnante des paysages ne sont pas les seuls atouts de ce conte moderne. Une loufoquerie inattendue et surréaliste le traverse, incarnée par ce cycliste sud-américain qui croise le chemin de Halla aux moments les plus inattendus et par une fanfare (un piano, des percussions et un soubassophone) accompagnant un trio de choristes ukrainiennes.
    Laurent C.
    Laurent C.

    255 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 juillet 2018
    C’est une femme en guerre. En guerre contre l’administration afin de faire aboutir son projet d’adoption. En guerre surtout contre l’industrie qui empoisonne la sublime Islande avec ses bords marins immenses, ses montagnes cendrées et ses rivières tantôt glacées, tantôt fumantes de chaleur. L’Islande, chose rare sur des écrans français, est le cadre somptueux de ce film qui fait la démonstration d’une grammaire cinématographique totalement nouvelle. « Women at war » est un film inclassable qui hésite entre la comédie, l’ironie, la critique sociale et le policier haletant.

    En tout état de cause, cette Hella n’a pas froid aux yeux. Elle gravit les montagnes, à l’affût de portiques électriques qu’elle piège. S’ensuit une course poursuite entre elle et les policiers. Un combat entre la nature sauvage et la technologie des hommes de loi. « Woman at war » est à lui tout seul un film politique. Derrière ce personnage féminin se cache une réflexion de profonde actualité sur la notion d’attentat. Le film pose en effet la question de la légitimité de l’acte terroriste, là où des entreprises se livrent sans nuance à l’empoisonnement de la planète et la manipulation capitalistique des clients, friands de chaussures à bas coûts. L’actrice, Halldora Geirhardsdottir (à la prononciation impossible) incarne à la fois notre combattante contre le lobby capitaliste et sa propre sœur, en recherche de paix et de méditation. L’interprétation est tout juste incroyable, la comédienne passant d’un personnage à l’autre avec une facilité déconcertante.

    Il ne faut pas oublier la présence des musiciens. Ils sont partie prenante en permanence de ce récit où la musique devient elle-même un personnage de cinéma. Certes, l’interprétation est irréprochable. Les partitions sont surtout d’une incroyable originalité. On se surprend à battre la mesure pendant le déroulement du film. Les voix ukrainiennes se mélangent aux tonalités profondes du trio de musiciens, à l’instar de cette œuvre hybride qui fuit le consensus et la monotonie. « Women at war » est sans doute l’évènement cinématographique majeur de cet été.
    Jorik V
    Jorik V

    1 268 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 juillet 2018
    C’est certainement l’œuvre venue des antipodes qui sera le feel-good movie, le petit film dépaysant de l’été. « Woman at War » a été acclamé à Cannes, peut-être de manière un peu trop ostentatoire car le film n’est pas non plus un chef-d’œuvre et il ne déborde pas toujours de bonne humeur et de joie, mais c’est un long-métrage plaisant et parfaitement original qui fait du bien. Rien que le prologue nous indique que l’on va assister à quelque chose de tout sauf consensuel. On y voit Halla, le personnage principal, brandir un arc et saboter les lignes électriques traversant les hautes terres islandaises avant qu’un orchestre traditionnel prenne place dans l’action pour mettre en musique le générique. Iconoclaste et étonnant. Néanmoins, ces inserts musicaux illustrant en musique les émotions du personnage principal deviennent lassants sur tout un film.

    Ce qu’on adore le plus ici, c’est le personnage principal, truculent et admirable. Les convictions qu’elle porte (et dont le film se fait donc le parangon) sont à saluer. Un propos écologique fort et contestataire qui ne légitime pas l’éco-terrorisme mais s’appuie dessus pour dénoncer le capitalisme sans bornes et la destruction de la nature. Et bien sûr, le fait que le film se déroule dans un pays à la cinématographie de plus en plus importante, l’Islande, est tout aussi passionnant que le sujet du film et donne un aspect dépaysant au film pour nous, français. Après les excellents « Béliers » et « Heartstone », « Woman at War » est une nouvelle preuve de la vitalité de ce cinéma des antipodes. Et la beauté fascinante de ce petit pays est parfaitement rendue ici. Une immersion tout aussi bien dans les contrées sauvages et glacées inhabitées dans la seconde partie que dans les coutumes locales et citadines des islandais dans la première. Cela fait beaucoup dans la singularité de cette œuvre en forme de bulle de fraîcheur au fond pourtant très sérieux et nécessaire.

    Cependant, la première partie patine un peu par moments, partagé entre le sujet principal et le dilemme de l’héroïne entre se battre pour ses valeurs ou privilégier la possibilité de devenir mère, choses incompatibles ici avec ses activités terroristes. Mais ensuite, le suspense devient étonnamment prenant et « Woman at War » se mue réellement en thriller haletant, devenant de plus en plus abouti visuellement et rigoureux dans l’exécution de son propos. On en vient à rêver alors à ce que le metteur en scène Benedikt Erlingsson aurait fait d’un tel sujet dégraissé de ses vertus comiques et bienveillantes, seulement concentré sur le survival politique. Mais on se contente de ce que l’on nous offre et c’est déjà très bien comme ça. Un tour de passe-passe malin (mais facile) du scénario que l’on voit venir à des kilomètres conclut d’ailleurs le film en beauté. En somme, une découverte qui fait du bien dont les quelques scories et déceptions ne viennent pas entamer le plaisir de la vision.

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    norman06
    norman06

    345 abonnés 1 664 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 juillet 2018
    Insolite et consensuelle, audacieuse et ciblant un large public, cette comédie pince-sans-rire est un régal et utilise avec pertinence les paysages islandais. L’avenir dira si un nouvel auteur est né ou si le film est un objet non identifié dans le cinéma contemporain.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 7 juillet 2018
    Excellent film, tant sur les paysages, que sur la musique, que sur les personnages ou encore l'intrigue...
    L'actrice principale est excellente... Une belle ambiance.
    Je n'hésite pas à conseiller ce film à tous. Je pense qu'il peut parler à des personnes de tous horizons.
    Pour les enfants, il est peut-être un peu complexe pour les tous petits, mais je pense qu'un enfant de 7 ou 8 ans peut déjà trouver un intéret au film.

    Un petit plaisir dans cet été pauvre en bons films...
    Bernard D.
    Bernard D.

    111 abonnés 613 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 juillet 2018
    Dans la forêt de Sherwood, Robin des bois utilisait son arc pour rendre aux pauvres l’argent des riches. En Islande – Halla (Halldora Geirhardsdottir) – utilise son arc pour couper l’alimentation d’une usine qui produit de l’aluminium. Halla –un nom bien connu des Islandais car c’est un des derniers bandits qui a réussi à se cacher plus de 20 ans dans les Hautes Terres au XVIIème siècle et qui est à toujours à l’origine d’histoires populaires– est une écologiste convaincue voulant lutter contre le réchauffement climatique et la mondialisation pour préserver sa chère terre islandaise sans la défigurer et en respectant les « droits de la nature ». Le dernier « forfait » de Halla exaspère le gouvernement qui affirme sa volonté d’agrandir cette usine afin de pouvoir passer des marchés avec la Chine… et de mettre aux trousses des auteurs de ces « actes d’extrémistes, de terroristes dignes d’Al Qu’Aïda … » sa police mais aussi des enquêteurs de la CIA et des Israéliens, moult hélicoptères et drones … Halla qui vient d’apprendre qu’elle va pouvoir adopter une petite fille de 4 ans Ukrainienne, hésite un court instant, mais « la femme des montagnes » se fera aidée par un « présumé » cousin et par sa sœur, Asa, qui bien qu’ignorant tout des activités de sa sœur ira jusqu’à donner de sa personne !
    La photo est splendide et on revoit avec grand plaisir les magnifiques paysages de l’Islande. La bande son est particulièrement intéressante avec un trio masculin formé par un pianiste/accordéoniste, un percussionniste et un soubassophoniste d’une part, et 3 chanteuses ukrainiennes d’autre part. Ces musiciens qui apparaissent à l’image symbolisent le côté « déterminé/volontaire/agressif » d’Halla et de l’autre sa « tendresse » vis-à-vis de cette petite fille attendue.
    Le film est rondement mené avec des épisodes de type thriller et des moments dramatiques sans oublier la connotation écologique voire politique contre l’industrialisation outrancière, les capitaux chinois … et la dernière image du film qui n’est pas sans évoquer le problème des migrants dans l’eau.
    Le cinéma Islandais se porte très bien avec « Béliers » de Grímur Hákonarson en 2015 et « L’effet aquatique » de Solveig Anspach en 2106.
    Aliette L
    Aliette L

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 juillet 2018
    C'est sublime..... Les paysages, le scénario, et ces musiciens que l'on retrouve tout au long du film..... J'ai
    A D O R É !!!!
    Reverdy
    Reverdy

    20 abonnés 90 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 juillet 2018
    C'est un film sur la résistance, le courage d'aller au bout de ses idées. L'actrice est formidable, et l'Islande est un pays magique. Lorsqu'on est perdu dans une forêt islandaise, il suffit de se lever : on découvre les paysages assez incomparables de l'Islande (je crois que "le seigneur des anneaux" a été tourné là bas..). C'est un film sur la protection de la nature, sur la méditation..
    tixou0
    tixou0

    697 abonnés 1 999 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 juillet 2018
    Un film impossible à faire tenir dans une, voire plusieurs, case(s), ce "Woman at War".... Halla (Halldora Geirharossdotir - enfin à peu près... l'islandais, c'est pas facile.... un début de cinquantaine au naturel, rayonnant) est une activiste jusqu'au-boutiste, pleine de panache et d'opiniâtreté, luttant contre une multinationale ayant entrepris de défigurer son pays (lobby de l'industrie de l'aluminium). Une requête en adoption oubliée, qui vient d'aboutir contre toute attente, change cependant la donne, question croisade risquée.... Heureusement aussi, la prof de chant a un joker dans sa manche, quand l'enquête sur ses sabotages vertueux s'emballe, sa jumelle, Asa, prof de yoga rêvant d'une retraite en ashram, et un bon ange, son "cousin présumé", rencontré lors d'une de ses expéditions. Dans des paysages du début du monde (jamais exploités façon carte postale), l'héroïne mène une quête d'absolu, via un radicalisme méthodique et un courage d'exception..... Aventure écologique et politique, mais aussi parcours picaresque (voir ainsi le "touriste" latino-américain, en leurre récurrent), drame, humour, saga évolutive spoiler: (l'épilogue ukrainien, où mère et fille affrontent les inondations, telle une eau lustrale)....
    les genres se mêlent, chaque respiration du récit soulignée par un choeur musical... Interprétation parfaite, dramaturgie qui tient en haleine, indéniable maîtrise technique (2e "long" pour Benedikt Erlingsson)... Ce dépaysement (pour sujet universel : préserver la terre nourricière) qui vient du septentrion de l'Europe est fort réussi !
    Ninideslaux
    Ninideslaux

    79 abonnés 245 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 juillet 2018
    Vous avez envie de voir quelque chose qui ne ressemble à rien?? Woman at war est fait pour vous....

          Le cinéma islandais, ça ne nous dit pas grand chose, même si Béliers a été un des meilleurs films des dix dernières années et déjà, puissamment original, mettant en jeu des personnages qu'on n'a jamais vus sur l'écran... Woman at war est encore plus bizarre, tout au plus pourrait on y trouver un lointain cousinage avec certains films d'Emir Kusturitsa.

           Aussi insolites que les deux frères ennemis de Béliers, voilà les deux jumelles de Woman at War. D'Asa, douce prof de yoga qui s'apprête à s'enterrer pour deux ans dans un ashram de l'inde ou du Népal, on ne comprendra l'intérêt qu'à la toute fin du film, car l'héroïne c'est Halla (Halldora Geirhardsdottir, qui évidemment interprète aussi Asa), une écolo frappadingue qui déclare, toute seule dans son coin, la guerre aux multinationales qui prétendent prendre pied dans son beau pays, et décide donc de détruire les lignes à très haute tension. Ben voyons.... La première séquence nous la montre envoyant un câble métallique avec une arbalète, puis tirant sur le cable munie de simple gants de caoutchouc, ce que l'on déconseille formellement aux amateurs terroristes, sous peine de finir en barbecue. A part cela, elle est prof de chant et dirige une chorale....

           La voilà devenue l'ennemi public numéro un, fuyant à travers landes et lapiaz, se dissimulant dans la crevasse entre deux névés, poursuivie par drones et hélicoptères.... Protégée par un géant barbu (Johann Sigurôarson), éleveur de moutons (toujours les moutons....), présumé cousin éloigné de la main gauche, qui doit être un peu amoureux d'elle (car elle reste séduisante). Mais voilà un dilemme dans l'existence militante d'Halla: cette adoption demandée sans succès depuis plusieurs années lui est enfin accordée! une petite fille de quatre ans l'attend en Ukraine. Faut il donc renoncer? Mais à quoi? A la résistance ou à la maternité? 

           La force du film de Benedikt Erlingsson -mais c'est peut être aussi sa faiblesse- c'est qu'on ne sait pas où il va. Il est constamment gentiment drôle; il est aussi onirique avec l'apparition à chaque séquence de trois chanteuses folkloriques ukrainiennes, ou d'un petit orphéon avec un sousbassophone dont la taille est bien adaptée, je trouve, à la corpulence islandaise..... et dont l'accordéoniste peut aussi se transformer en pianiste. Mais a t-il un sens? Halla est elle admirable, ou ridicule? Elle a un peu des deux, sans doute.... 

          Un démenti de plus pour ceux qui disent qu'il n'y a pas de beaux rôles au cinéma pour les femmes ayant dépassé la quarantaine. Il y en a, et de sacrément beaux, si elles savent se servir d'autre chose que de leur physique...
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 5 juillet 2018
    Très beau film. Paysages, acteurs, histoire, émotion, réflexion, tout y est pour en faire un film différent et attachant.

    Petite question, la fin m'a laissé dubitatif, que faut-il y voir ?
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 5 juillet 2018
    Journée fête du cinéma, deuxième film: Un joli film énergique, beau et féminin. Pas renversant, pas novateur, mais guerrier et joyeux. A suivre!
    islander29
    islander29

    860 abonnés 2 354 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 juillet 2018
    malheureusement , la beauté des paysages islandais sont un peu l'arbre qui cache la forêt….Le film manque d'émotions, le scénario est indigent et c'est pas parce que l'on a un message de premier ordre, qu'un film est bon, ce que laisserait croire certaines critiques…..Le film aurait pu durer 30 minutes, cela aurait été la même sauce. ….C''est vrai que c'est original, c'est un bon point, et la technique du film est plus qu'agréable, spoiler: mais excusez moi détruire deux pilônes électriques en 100 minutes puis se rendre à l'aéroport …
    En plus l'actrice principale n'est pas du tout crédible en Rambo écolo ….Bref pour moi, une énorme déception, on est loin de la poésie sauvage de son premier film...Je ne conseille pas spécialement…...
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