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Le premier film de Levon Minasian est une sottie bouffonne qui fait penser à l’esprit des Coen Bros., version caucasienne. C’est drôle, étonnant, un peu décousu, jamais crédible (mais aucune importance) et un peu fou. La musique de Hamasyan et de Petrossian est géniale, et fait passer les maladresses. Prometteur.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Bravo Virtuose allie avec enthousiasme et énergie bien des ingrédients narratifs et cinématographiques, assumant changements de registres et autres contrastes, au risque, parfois, de la saturation.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Bien qu’un peu instable et truffé de fautes de goûts un peu voyantes, ce film ambitieux et pluriel trouve toujours le moyen de surprendre son audience, par une audace qu’on ne lui soupçonnait pas, et par un désir constant de penser en cinéma.
Jouant vaguement avec le cliché de l’assassin musicien, cette comédie est une satire bon enfant du climat de corruption et de délinquance qui perdure dans d’anciens états satellites de l’URSS. Cette vision onirique et stéréotypée est une fantaisie décorative qui ne donne aucune idée de la réalité du pays.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Dernières Nouvelles d'Alsace
Comment parler de l’art, de son importance dans une société ? Levon Minasian a écrit sa partition cinématographique pour répondre à cette question.
L'Obs
Le premier film de Levon Minasian est une sottie bouffonne qui fait penser à l’esprit des Coen Bros., version caucasienne. C’est drôle, étonnant, un peu décousu, jamais crédible (mais aucune importance) et un peu fou. La musique de Hamasyan et de Petrossian est géniale, et fait passer les maladresses. Prometteur.
La Croix
Bravo Virtuose allie avec enthousiasme et énergie bien des ingrédients narratifs et cinématographiques, assumant changements de registres et autres contrastes, au risque, parfois, de la saturation.
Les Fiches du Cinéma
Bien qu’un peu instable et truffé de fautes de goûts un peu voyantes, ce film ambitieux et pluriel trouve toujours le moyen de surprendre son audience, par une audace qu’on ne lui soupçonnait pas, et par un désir constant de penser en cinéma.
Télérama
Les quelques maladresses du récit sont largement compensées par la performance de l'interprète principal.
L'Humanité
Jouant vaguement avec le cliché de l’assassin musicien, cette comédie est une satire bon enfant du climat de corruption et de délinquance qui perdure dans d’anciens états satellites de l’URSS. Cette vision onirique et stéréotypée est une fantaisie décorative qui ne donne aucune idée de la réalité du pays.