Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Un premier film délicat, poétique et sensuel, sur l'amour et la résilience.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Beau, sensible et interrogatif, en mettant en parallèle deux sexualités en même temps que deux types de sociétés, "The Cakemaker" est une des meilleures surprises au cinéma de ce premier semestre, en même temps que la révélation d’un cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par A.L.F.
Sensuel et surprenant.
L'Obs
par François Forestier
Le réalisateur évite avec talent les scènes à faire, les clichés. Même la musique de piano de Dominique Charpentier est dans une tonalité parfaite. C'est doux, émouvant, bref, une jolie réussite.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par N.Z.
Sur une trame qui pourrait sembler perverse, un film pudique et troublant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Ode puissante et subtile à la liberté, au désir et à l’amour, critique des conservatismes surtout quand ceux-ci deviennent des entraves dogmatiques, "The Cakemaker" est une tranche de gâteau raffinée, garantie sans gras ni saccharine...
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Ophir Levy
[...) une oeuvre touchante et plus complexe qu'il n'y paraît.
Bande à part
par Isabelle Danel
Sur le papier, ce premier long métrage avait tout pour se casser le nez. Et dans son écriture et sa réalisation, pourtant sensibles et justes, il est parfois trop conventionnel et prévisible. Mais le mystère du personnage principal, Thomas, interprété par l’étonnant Tim Kalkhof, la force tranquille de Sarah Adler, qui interprète Anat, et l’ensemble de la distribution sauvent le film de bien des écueils.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
Sur un scénario bien écrit mais prévisible et une mise en scène assez lisse, ce feel good movie parvient à susciter l’intérêt grâce à l’audace de son propos (…).
Culturopoing.com
par Pierre Guiho
Une œuvre délicate sur la perte et l’identité doublée d’une ode profonde à la liberté.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Figaro
par La Rédaction
Pour son premier long-métrage, Ofir Raul Graizer dresse, sur fond de drame amoureux, le portrait subtil d'une société israélienne tiraillée entre modernité et conservatisme religieux.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Les silences et les non-dits installent une ambiance lancinante, mais laissent aux sentiments le temps de se développer.
Libération
par Luc Chessel
Une pincée de mélodrame bisexuel et bicontinental, un zeste de sujet de société et un rien d’amour, mélangez, servez frais.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Thierry Chèze
Une force tranquille émane de ce Cakemaker tout en subtilité et émotion rentrée qui n’a pour seul défaut un épilogue un peu trop balourd et convenu.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
Ce scénario vire presque au mélo quand l’as des gâteaux part à Jérusalem travailler dans le café tenu par la femme de son amant, mort accidentellement. Mais un charme opère, entre fournées de biscuits à la cannelle et tension du non-dit : la relation entre les deux hommes étant restée leur secret…
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Clément Graminiès
(...) un résultat plaisant qui ne fait que toucher du bout des doigts le cataclysme que traversent pourtant ces deux personnages endeuillés.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
A partir de la liaison amoureuse entre deux hommes, l’un israélien, l’autre berlinois, Ofir Raul Graizer offre une fable lourde d’afféteries.
Ouest France
par La Rédaction
Une métaphore un peu lourde qui laisse sur sa faim.
Femme Actuelle
Un premier film délicat, poétique et sensuel, sur l'amour et la résilience.
Franceinfo Culture
Beau, sensible et interrogatif, en mettant en parallèle deux sexualités en même temps que deux types de sociétés, "The Cakemaker" est une des meilleures surprises au cinéma de ce premier semestre, en même temps que la révélation d’un cinéaste.
L'Express
Sensuel et surprenant.
L'Obs
Le réalisateur évite avec talent les scènes à faire, les clichés. Même la musique de piano de Dominique Charpentier est dans une tonalité parfaite. C'est doux, émouvant, bref, une jolie réussite.
Les Fiches du Cinéma
Sur une trame qui pourrait sembler perverse, un film pudique et troublant.
Les Inrockuptibles
Ode puissante et subtile à la liberté, au désir et à l’amour, critique des conservatismes surtout quand ceux-ci deviennent des entraves dogmatiques, "The Cakemaker" est une tranche de gâteau raffinée, garantie sans gras ni saccharine...
Positif
[...) une oeuvre touchante et plus complexe qu'il n'y paraît.
Bande à part
Sur le papier, ce premier long métrage avait tout pour se casser le nez. Et dans son écriture et sa réalisation, pourtant sensibles et justes, il est parfois trop conventionnel et prévisible. Mais le mystère du personnage principal, Thomas, interprété par l’étonnant Tim Kalkhof, la force tranquille de Sarah Adler, qui interprète Anat, et l’ensemble de la distribution sauvent le film de bien des écueils.
Cahiers du Cinéma
Sur un scénario bien écrit mais prévisible et une mise en scène assez lisse, ce feel good movie parvient à susciter l’intérêt grâce à l’audace de son propos (…).
Culturopoing.com
Une œuvre délicate sur la perte et l’identité doublée d’une ode profonde à la liberté.
Le Figaro
Pour son premier long-métrage, Ofir Raul Graizer dresse, sur fond de drame amoureux, le portrait subtil d'une société israélienne tiraillée entre modernité et conservatisme religieux.
Le Journal du Dimanche
Les silences et les non-dits installent une ambiance lancinante, mais laissent aux sentiments le temps de se développer.
Libération
Une pincée de mélodrame bisexuel et bicontinental, un zeste de sujet de société et un rien d’amour, mélangez, servez frais.
Première
Une force tranquille émane de ce Cakemaker tout en subtilité et émotion rentrée qui n’a pour seul défaut un épilogue un peu trop balourd et convenu.
Télérama
Ce scénario vire presque au mélo quand l’as des gâteaux part à Jérusalem travailler dans le café tenu par la femme de son amant, mort accidentellement. Mais un charme opère, entre fournées de biscuits à la cannelle et tension du non-dit : la relation entre les deux hommes étant restée leur secret…
Critikat.com
(...) un résultat plaisant qui ne fait que toucher du bout des doigts le cataclysme que traversent pourtant ces deux personnages endeuillés.
Le Monde
A partir de la liaison amoureuse entre deux hommes, l’un israélien, l’autre berlinois, Ofir Raul Graizer offre une fable lourde d’afféteries.
Ouest France
Une métaphore un peu lourde qui laisse sur sa faim.