Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Un petit film à la majesté aussi titubante, fragile et surprenante que [Jean-Pierre Léaud], l’acteur le plus extravagant de l’histoire du cinéma.
Critikat.com
par Florian Guignandon
Et si naïveté il y a, elle repose finalement sur le trouble intemporel et universel que chacun éprouve vis-à-vis de sa propre mort et de celle des êtres chers.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Genica Baczynski
On ne s’évade pas de ce huis clos sans drame. Il ressemble aux rêves quand ils apaisent un peu la raison. Le hors-champ y est banni puisque l’irrationnel commande. Ainsi, il fait apparaître Léaud, disons, tel quel. On l’affronte dans une peau encore inexploitée, un derme sans mémoire dans lequel il devient peu à peu le lion et son signe.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Le francophile cinéaste japonais orchestre ce ballet joyeux et crépusculaire avec une mise en scène discrète mais délicatement affirmée. La sérénité du film est sans cesse perturbée par l’appétit de vie des ados. Bourrasque contaminant dans une complicité ludique le jeu juvénile de Jean-Pierre Léaud, magistral dans ce rôle miroir.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
La mise en scène de Suwa, tout en illusion et volutes, signe une partition légère et grave où se tutoient la mort et la vie.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Entre rêve et réalité, passé et présent, un film entêtant qui confronte la figure iconique de Jean-Pierre Léaud à la réalité physique de son corps vieilli et qui lui construit, entre jeunesse et vieillesse, comme un tombeau à la fois rieur et mélancolique.
Le Monde
par Jean-François Rauger
Jean-Pierre Léaud est parfait dans ce conte fantastique subtil, plein de moments cocasses et de mélancolie.
Studio Ciné Live
par Antoine Le Fur
Lumineux, "Le Lion est mort ce soir" est un beau film d'amour et une superbe déclaration au cinéma.
Transfuge
par Jean-Christophe Ferrari
"Le Lion est mort ce soir", sous ses dehors de film modeste et ludique, offre une fin sublime - au sens d'une représentation de l'irreprésentable. Le grand comédien meurt, les yeux ouverts, le visage inondé de lumière, la mort en face.
Le Figaro
par La Rédaction
Léaud, imprévisible et facétieux, s'amuse à montrer que la mort au cinéma, c'est du travail. Même si les acteurs ne meurent jamais...
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Libération
par Julien Gester
Tout le charme et la balourdise du film se trouvent contenus dans cette belle idée, à la fois pleine d’évidence et de naïveté, de faire ainsi prendre part ensemble, très librement, à la même fable ludique et funèbre, à la fois comédiens-cinéastes en culotte courte et l’acteur qui entre tous demeure le plus affranchi des contingences de l’âge et du vieillissement pour rester à jamais chevillé à l’état sauvage d’enfance.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Thomas Baurez
L’indomptable, le redoutable Léaud est bien vivant. Ce soir et tous les autres jours. Bien loin du crépuscule.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jacques Morice
Ce film allie liberté, grâce et ludisme. Il est modeste, minimaliste, parfois relâché dans la direction des très jeunes acteurs. Mais on y retrouve ce sens de la divagation propre à Nobuhiro Suwa, le plus français des cinéastes japonais, qui réussit là un prototype de film expérimental pour un public familial.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Lola Sciamma
Les fantômes du passé côtoient ce film joueur, hommage à Jean-Pierre Léaud.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Malgré une lumière solaire et la splendide étrangeté du jeu d’un Jean-Pierre Léaud ayant rendez-vous avec la mort, l’ensemble se dilue dans sa mise en scène poussive d’un groupe d’enfants faisant atelier de cinéma.
Positif
par Vincent Thabourey
(...) cet essai cinématographique un peu bancal (...) hésite entre l'exercice de style et l'hagiographie.
Cahiers du Cinéma
Un petit film à la majesté aussi titubante, fragile et surprenante que [Jean-Pierre Léaud], l’acteur le plus extravagant de l’histoire du cinéma.
Critikat.com
Et si naïveté il y a, elle repose finalement sur le trouble intemporel et universel que chacun éprouve vis-à-vis de sa propre mort et de celle des êtres chers.
L'Humanité
On ne s’évade pas de ce huis clos sans drame. Il ressemble aux rêves quand ils apaisent un peu la raison. Le hors-champ y est banni puisque l’irrationnel commande. Ainsi, il fait apparaître Léaud, disons, tel quel. On l’affronte dans une peau encore inexploitée, un derme sans mémoire dans lequel il devient peu à peu le lion et son signe.
L'Obs
Le francophile cinéaste japonais orchestre ce ballet joyeux et crépusculaire avec une mise en scène discrète mais délicatement affirmée. La sérénité du film est sans cesse perturbée par l’appétit de vie des ados. Bourrasque contaminant dans une complicité ludique le jeu juvénile de Jean-Pierre Léaud, magistral dans ce rôle miroir.
La Septième Obsession
La mise en scène de Suwa, tout en illusion et volutes, signe une partition légère et grave où se tutoient la mort et la vie.
Le Dauphiné Libéré
Entre rêve et réalité, passé et présent, un film entêtant qui confronte la figure iconique de Jean-Pierre Léaud à la réalité physique de son corps vieilli et qui lui construit, entre jeunesse et vieillesse, comme un tombeau à la fois rieur et mélancolique.
Le Monde
Jean-Pierre Léaud est parfait dans ce conte fantastique subtil, plein de moments cocasses et de mélancolie.
Studio Ciné Live
Lumineux, "Le Lion est mort ce soir" est un beau film d'amour et une superbe déclaration au cinéma.
Transfuge
"Le Lion est mort ce soir", sous ses dehors de film modeste et ludique, offre une fin sublime - au sens d'une représentation de l'irreprésentable. Le grand comédien meurt, les yeux ouverts, le visage inondé de lumière, la mort en face.
Le Figaro
Léaud, imprévisible et facétieux, s'amuse à montrer que la mort au cinéma, c'est du travail. Même si les acteurs ne meurent jamais...
Libération
Tout le charme et la balourdise du film se trouvent contenus dans cette belle idée, à la fois pleine d’évidence et de naïveté, de faire ainsi prendre part ensemble, très librement, à la même fable ludique et funèbre, à la fois comédiens-cinéastes en culotte courte et l’acteur qui entre tous demeure le plus affranchi des contingences de l’âge et du vieillissement pour rester à jamais chevillé à l’état sauvage d’enfance.
Première
L’indomptable, le redoutable Léaud est bien vivant. Ce soir et tous les autres jours. Bien loin du crépuscule.
Télérama
Ce film allie liberté, grâce et ludisme. Il est modeste, minimaliste, parfois relâché dans la direction des très jeunes acteurs. Mais on y retrouve ce sens de la divagation propre à Nobuhiro Suwa, le plus français des cinéastes japonais, qui réussit là un prototype de film expérimental pour un public familial.
Voici
Les fantômes du passé côtoient ce film joueur, hommage à Jean-Pierre Léaud.
Le Journal du Dimanche
Malgré une lumière solaire et la splendide étrangeté du jeu d’un Jean-Pierre Léaud ayant rendez-vous avec la mort, l’ensemble se dilue dans sa mise en scène poussive d’un groupe d’enfants faisant atelier de cinéma.
Positif
(...) cet essai cinématographique un peu bancal (...) hésite entre l'exercice de style et l'hagiographie.