Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
2,0
Publiée le 2 juin 2012
Cela commençait fort, lorsque le personnage de Kevin Bacon dévoile sa vraie personnalité et laisse libre court a ses fantasmes les plus inavouables. Mais ça devient n'importe quoi par la suite, et du coup cet Hollow Man version Verhoeven laisse une impression très très mitigée.
Un de mes réalisateurs fétiche qui nous offre toujours des films géniaux. Hollow man ne fait pas exception à la règle, l'homme qui devient invisible et qui voit sa nature reprendre le dessus et décide de faire le mal. Un pied de nez à tout nos films de super héros hors du commun qui utilisent leur pouvoir incroyable pour faire le bien ,ici c'est l'inverse. Kevin Bacon est génial dans la peau de ce héros torturé et définitivement machiavélique, Elisabeth Shue est toujours aussi belle.
Un autre film sur l'homme invisible mais sous Verhoeven. Je n'ai pas aimé cette version. Les effets spéciaux sont bons mais le scénario est long et prévisible.
La première partie du film laissait présager de belles choses, mais le film se perd totalment par la suite. Verhoeven insiste sur le voyeurisme du personnage et fait la par belle aux prouesses numériques et à l'action, sans trop chercher à établir la psychologie de Sebastian, une fois devenu invisible. De plus le film devient violent sans trop qu'on sache pourquoi.
Je suis assez étonné par la moyenne des notes des spectateurs qui n'est que de 2.5 car je la trouve quand même basse pour un film comme celui-ci. Certes "Hollow Man", réalisé par Paul Verhoeven, n'est pas le film du siècle mais il mérite quand même mieux que ça car le scénario est très original, on traite cette fois ci du mythe de l'homme invisible qui n'est que trop peu représenté au cinéma et il est cette fois représenté d'une façon assez violente car ce fameux homme invisible spoiler: devient de plus en plus méchant au fur et à mesure du film pour finalement devenir un profiteur et surtout un tueur. L'histoire est aussi assez crédible et réaliste car même la solution pour rendre invisible n'existe pas, dans le cas contraire ça pourrait sûrement ressembler à ce film. Le rythme du film est bien géré ce qui fait qu'on ne s'ennuie pas et pour les acteurs, ils jouent très bien et sont très convaincants dans leur rôles surtout Kevin Bacon à qui le personnage lui colle plutôt bien à la peau. "Hollow Man, l'Homme sans Ombre" est donc un très bon qui mérite largement d'être vu car il possède de très bonnes choses.
Que feriez-vous si vous étiez invisible ? voilà la question à laquelle Paul Verhoeven a su répondre avec brio en nous livrant le personnage d'un scientifique obsédé par la réussite qui devient invisible à la suite d'une expérience foireuse, et qui en profite ainsi pour assouvir ses fantasmes de voyeurisme ce qui lui monte vite à la tête. A la fin du film, on se pose alors la question en appréhendant la réponse mais au fond, on sait tous que la réponse va pas vraiment nous plaire, ce qui est assez perturbant au final. A voir absolument !!!
Pour une fois le principe de l'homme invisible est traiter du côté obscure, à savoir : que peux on tirer profit d'une telle situation. Kevin Bacon excelletn en chercheur fou et ne suportant plus l'enfermement. Les effets spéciaux sont également très bien réussit.
Alors qu'il n'est pas encore prêt à se séparer du grand spectacle pop-corn qu'il emprunte encore à son prédécesseur qui n'est autre que le plus mauvais film de sa carrière, Starship Troopers, le talentueux cinéaste Paul Verhoeven retrouve pourtant quelques forces, malgré certaines faiblesses encore en vogue. Et puisqu'il n'est donc pas encore d'attaque à se séparer du grand spectacle pop-corn qu'il emprunte encore à son prédécesseur qui n'est autre que le plus mauvais film de sa carrière, Starship Troopers, le talentueux cinéaste Paul Verhoeven retrouve pourtant quelques forces, malgré certaines faiblesses encore en vogue. Du côté positif, on retiendra surtout la qualité technique des effets spéciaux, qui n'est certes pas une nouveauté dans l'oeuvre du cinéaste, mais qui témoigne par la suite d'un véritable enjeu scénaristique, sur son réalisme principalement. En effet, il ne paraît guère envisageable de faire un film de la sorte sans l'expression visuelle souhaitable, à moins de vouloir le faire passer sous une forme métaphorique porteur d'un message quelconque, ou tenter encore un exercice de style. Ce qui n'est pas le cas de Hollow Man. En outre, on apprécie au début la petite dose métaphysique, assez cachée cependant, et bien moins poétique que Total Reccal. Mais le geste est là : au spectateur de voir où il se doit. De l'autre côté, on regrettera justement que le sujet portant sur l'invisibilité ne soit pas totalement exploité. La forme étant réussie, on ne pouvait qu'espérer un fond à la hauteur du support. Et malheureusement, la réflexion se fait devancer par un huit clos final archaïque, un brin désuet, mais toujours efficace. L'insolence sulfureuse de départ se perd dans une trame conventionnelle, peut-être rassurante, mais dénuée de toute provocation. Néanmoins, l'interprétation est convaincante, avec un Kevin Bacon en tête; pour une belle idée sur le papier, un peu moins enivrante dans le fond, mais assez distrayante pour plaire à une majorité du public.
Encore une petite pépite de Paul Verhoeven qui revisite le mythe de l’homme invisible avec nervosité et méchanceté ! On débute en SF, puis on passe au thriller pour finir secoué par les codes du film d’horreur le plus pur. Hollow Man a 25 ans et ses effets spéciaux font toujours mouche, c’était tout de même assez sidérant pour l’époque et cette rencontre avec le sacrément tordu Kevin Bacon est un petit régal de vice. Les rebondissements sont légion et on n’a pas le temps de s’ennuyer une seule seconde. C’est simple au final mais sacrément efficace et surtout bien malin de la part du maestro Verhoeven.
Pour la fin de son cycle hollywoodien, Paul Verhoeven n’a pas l’intention de s’assagir et, même bridé par une production houleuse, il y va à fond dans un film très démonstratif et visuel. Ce qui est paradoxal pour un métrage sur l’invisibilité. Loin de jouer la carte de la suggestion, le cinéaste choisit de mettre ses personnages à nu et tout est prétexte pour faire apparaître son homme invisible à travers la fumée, l’eau, le sang... Il montre tout de la décomposition physique et mentale de son scientifique arrogant. Ce choix du grand spectacle généreux, parfois à la limite du guignolesque, est heureusement soutenu par des effets spéciaux qui tiennent encore la route plus de vingt ans après. Accueilli froidement à sa sortie, son récit sur la masculinité toxique, qui lorgne vers le slasher dans son dernier acte, aurait certainement bénéficié de plus de bienveillance aujourd’hui.
Film des années 2000 tournée sur un scénario manifestement écrit en 1980 avec ses héros qui réussissent parce qu'ils sont brillants. On arrète au milieu du film pour les plus téméraires. PLV : parti d'un scénario qui pourrait être extraordinaire on arrive à du n'importe quoi, dommage
Aïe. Ca démarre de manière bien réussie et intéressante, comme un film de SF, mais dès que le personnage principal (Kevin Bacon) devient invisible, son expérience ayant réussi (la scène où il devient, progressivement, invisible, de la peau aux os en passant par les muscles et nerfs, est bien foutue, surtout pour un film sorti il y à 23 ans), "Hollow Man" vire au slasher idiot,spoiler: le personnage, égocentrique, pétant littéralement les plombs pour on ne sait quelle raison (ivresse du pouvoir ressenti par un homme pouvant tout faire en raison de son invisibilité ? folie latente du personnage qui ressurgit à ce moment ?), se mettant à tuer ses collègues comme un vulgaire Jason Voorhees, et il convient donc de l'empêcher de nuire . Sincèrement, on pouvait s'attendre à bien mieux. Un gâchis.