Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
Ouest France
par Thierry Chèze
Un feu d'artifice de gags irrésistibles pour toutes les générations.
Elle
par Françoise Delbecq
Drôle, mignon et bondissant.
Femme Actuelle
par La Rédaction
On retrouve avec plaisir ce monde de Gru, très cohérent dans sa folie, truffé de clins d’œil qui mériteront l'arrêt sur image. Efficace.
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Sept ans après le précédent volet, ce quatrième opus réussit à renouveler la franchise de Gru et ses minions.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Renaud Baronian
Mené à cent à l’heure, ce quatrième volet de la saga s’avère extrêmement drôle, et, cette fois, pas uniquement grâce à la seule présence des impayables Minions, même si leurs pitreries et transformations physiques occasionnent de belles séances de fou rire.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
La franchise d’Illumination retrouve la flamme des premiers épisodes avec cette suite des aventures de Gru et de sa famille, toujours flanqués des désopilants Minions. Un festival d’action et d’humour pour toute la famille, qui met au placard tout sentimentalisme.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
On ne manque pas le grand éclat de rire de l'été.
Ecran Large
par Chloé Chahnamian
Alors que la formule Moi, moche et méchant commençait à s’essouffler, ce quatrième opus arrive à déjouer nos attentes. Un nouveau décor, un nouvel objectif, il n’est pas (seulement) question de lancer les personnages de Moi, moche et méchant 4 dans une énième course au super-méchant, et heureusement.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
La Croix
par Charlotte de Frémont
Si ce nouveau scénario reste très simple, la cascade de gags ramène un vent de folie à la franchise, ce qui réjouira les familles en ce début de vacances.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Malgré quelques facilités, ce spectacle populaire est recommandable.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Marianne
par Olivier De Bruyn
Un blockbuster d’animation recommandable.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Première
par Anthéa Claux
Les petits s’amusent et les adultes y trouvent aussi leur compte avec des blagues qui leur sont tout spécialement destinées à coup de moquerie et de références « vintages ». Personne ne peut au fond résister à ce feu d’artifice de farces et de « minion-eries ».
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Cédric Coppola
Gru pouponne, les Minions font les 400 coups et un vil cafard sème la terreur au cours d’un sympathique 4e volet, qui, sans égaler l’original, dégage un fort capital sympathie.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 2 semaines
par M.A.
Un résultat un peu brouillon mais amusant.
aVoir-aLire.com
par Arthur Champilou
Les péripéties et les gags fusent à un rythme effréné, compensant les banalités du récit et permettant au spectateur de ne pas voir le temps passer. On n’en attendait pas moins, mais sûrement pas plus.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
par Caroline Vié
« Moi, moche et méchant 4 » se révèle poussif malgré la présence de personnages familiers.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Visiblement, les deux équipes de scénaristes n’ont pas jugé nécessaire de se rencontrer. Dommage. Car le récit, construit en deux couches très distinctes, en souffre terriblement. Tout comme le rythme. Certes, les petites créatures oblongues jaune et bleu sont toujours aussi poilantes. Mais ça, on le savait depuis longtemps.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Moi, moche et méchant n’a plus rien à raconter mais se fait un devoir d’accumuler les trouvailles visuelles dans un rythme chaotique et survolté. Vous êtes prévenus !
Le Journal du Dimanche
par S. B.
Humour débridé, de l’absurde au burlesque, rythme trépidant, action à gogo au menu d’un récit en roue libre et dont le scénario chaotique part un peu dans tous les sens. Mais qui continue de séduire par son enthousiasme, sa folie et sa manière de ne pas du tout se prendre au sérieux.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Télérama
par Caroline Besse
L’intégration dans une nouvelle bourgade bourgeoise est source de scènes cocasses, et les gags avec le distributeur dont s’énamourent les Minions font sourire. Mais il serait peut-être temps de laisser Gru vivre sa paternité loin des caméras.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par D.B.
Mais avec son écriture pas toujours très rigoureuse et une intrigue guère originale, la formule a tendance à franchement s'épuiser.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Outre un récit peu captivant, Patrick Delage et Chris Renaud avec les scénaristes Mike White et Ken Daurio font du déjà-vu.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Pas grand-chose à retenir de cette histoire banale, dont l’horrible cafard ressemble au nôtre face à la panne d’idées des créateurs de la franchise.
Le Monde
par M. Jo.
Voilà la franchise réduite à une pure visée commerciale, qui ne la distingue en rien d’un programme de télévision pour enfants.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par La Rédaction
Un divertissement vite consommé et vite oublié.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Le quatrième volet de la franchise Illumination applique mollement sa formule : un succès commercial garanti pour un film déjà oublié.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
Un feu d'artifice de gags irrésistibles pour toutes les générations.
Elle
Drôle, mignon et bondissant.
Femme Actuelle
On retrouve avec plaisir ce monde de Gru, très cohérent dans sa folie, truffé de clins d’œil qui mériteront l'arrêt sur image. Efficace.
Le Figaro
Sept ans après le précédent volet, ce quatrième opus réussit à renouveler la franchise de Gru et ses minions.
Le Parisien
Mené à cent à l’heure, ce quatrième volet de la saga s’avère extrêmement drôle, et, cette fois, pas uniquement grâce à la seule présence des impayables Minions, même si leurs pitreries et transformations physiques occasionnent de belles séances de fou rire.
Les Fiches du Cinéma
La franchise d’Illumination retrouve la flamme des premiers épisodes avec cette suite des aventures de Gru et de sa famille, toujours flanqués des désopilants Minions. Un festival d’action et d’humour pour toute la famille, qui met au placard tout sentimentalisme.
Télé 7 Jours
On ne manque pas le grand éclat de rire de l'été.
Ecran Large
Alors que la formule Moi, moche et méchant commençait à s’essouffler, ce quatrième opus arrive à déjouer nos attentes. Un nouveau décor, un nouvel objectif, il n’est pas (seulement) question de lancer les personnages de Moi, moche et méchant 4 dans une énième course au super-méchant, et heureusement.
La Croix
Si ce nouveau scénario reste très simple, la cascade de gags ramène un vent de folie à la franchise, ce qui réjouira les familles en ce début de vacances.
Les Echos
Malgré quelques facilités, ce spectacle populaire est recommandable.
Marianne
Un blockbuster d’animation recommandable.
Première
Les petits s’amusent et les adultes y trouvent aussi leur compte avec des blagues qui leur sont tout spécialement destinées à coup de moquerie et de références « vintages ». Personne ne peut au fond résister à ce feu d’artifice de farces et de « minion-eries ».
Sud Ouest
Gru pouponne, les Minions font les 400 coups et un vil cafard sème la terreur au cours d’un sympathique 4e volet, qui, sans égaler l’original, dégage un fort capital sympathie.
Télé 2 semaines
Un résultat un peu brouillon mais amusant.
aVoir-aLire.com
Les péripéties et les gags fusent à un rythme effréné, compensant les banalités du récit et permettant au spectateur de ne pas voir le temps passer. On n’en attendait pas moins, mais sûrement pas plus.
20 Minutes
« Moi, moche et méchant 4 » se révèle poussif malgré la présence de personnages familiers.
L'Obs
Visiblement, les deux équipes de scénaristes n’ont pas jugé nécessaire de se rencontrer. Dommage. Car le récit, construit en deux couches très distinctes, en souffre terriblement. Tout comme le rythme. Certes, les petites créatures oblongues jaune et bleu sont toujours aussi poilantes. Mais ça, on le savait depuis longtemps.
La Voix du Nord
Moi, moche et méchant n’a plus rien à raconter mais se fait un devoir d’accumuler les trouvailles visuelles dans un rythme chaotique et survolté. Vous êtes prévenus !
Le Journal du Dimanche
Humour débridé, de l’absurde au burlesque, rythme trépidant, action à gogo au menu d’un récit en roue libre et dont le scénario chaotique part un peu dans tous les sens. Mais qui continue de séduire par son enthousiasme, sa folie et sa manière de ne pas du tout se prendre au sérieux.
Télérama
L’intégration dans une nouvelle bourgade bourgeoise est source de scènes cocasses, et les gags avec le distributeur dont s’énamourent les Minions font sourire. Mais il serait peut-être temps de laisser Gru vivre sa paternité loin des caméras.
Voici
Mais avec son écriture pas toujours très rigoureuse et une intrigue guère originale, la formule a tendance à franchement s'épuiser.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Outre un récit peu captivant, Patrick Delage et Chris Renaud avec les scénaristes Mike White et Ken Daurio font du déjà-vu.
Le Dauphiné Libéré
Pas grand-chose à retenir de cette histoire banale, dont l’horrible cafard ressemble au nôtre face à la panne d’idées des créateurs de la franchise.
Le Monde
Voilà la franchise réduite à une pure visée commerciale, qui ne la distingue en rien d’un programme de télévision pour enfants.
Le Point
Un divertissement vite consommé et vite oublié.
Les Inrockuptibles
Le quatrième volet de la franchise Illumination applique mollement sa formule : un succès commercial garanti pour un film déjà oublié.