Un brouhaha inodible durant les 20 premières minutes du film qui détruit considérablement ce film ainsi quen sont commencement, ( tv forte , dialogue faible , bruit autours, dialogues des figurant tous cela sont fort et accentuer donc on ne comprend pas un seul mot pendant 20 minutes ! ) je ne comprend pas comment la post production a fait piur ne pas rend rendre compte cedt un manque de respect envers le spectateur ! Hugh Jackman qui a encore une fois de plus une nouvelle voix française a croire qu'il en mérite pas une attirer . Une interprétation bonne dans l'ensemble de la part de acteur , un film plutôt court . La presse qui certes dévoilent un sois disant scandale meme si cest pas bien méchant utilisé des méthode pas très catholique comme on dit et qui montre une fois de plus que la libertés de la presse va trop moins parfois !!!
2,7- plutôt ennuyeux notamment quant au rythme. Cela reste néanmoins assez intéressant de découvrir cette histoire plutôt méconnue sauf erreur?.. Cela dénonce la stupiditée collective au détriment de ses propres intérêts de pouvoir compter sur un dirigeant brillant et impliqué dans sa mission de faire évoluer positivement les conditions de vie de ses citoyens
C est bien et bien fait mais ne provoque pas d empathie
Je ne vois vraiment pas à quoi ça tient, mais je n ai pas ressentit l envie de m impliquer dans ce film, d y participer dans mon rôle de spectateur. Peut être que le film est trop entre deux positions. Trop de politique pour un film qui raconte une affaire de mœurs.
Et le film est trop classique, avant l épisode de la ruelle, il ne se passe pas grand chose et le film manque d allant. De plus, je n aimé pas cette façon éculée de représenter la politique par des gens qui parlent tous en même temps, dont les conversations s entrecroisent, hypertoniques, etc. Je pense que the front runner n a pas de particularité, manque de personnalité.
D ailleurs, c est rare dans ce genre de film, on n a pas les classiques vraies archives de l époque durant le générique de fin.
Un film qui aurait mérité sans doute une meilleure sortie en salle . Les comédiens sont parfaits et l intrigue arrive à nous intéresser. La mise en scène trop sage enlève du rythme .
Un très bon film politique . Hugh Jackman incarne un sénateur dans la tourmente. L'action se passe en 1988 sous le mandat de Ronald Regean. Une belle performance d'acteur pour l'homme qui a interprété Wolerine et qui change de registre.
Lors de son retrait, Gary Hart déclara : « Dans la vie publique, il y a des choses intéressantes, mais ça ne veut pas nécessairement dire qu’elles sont importantes ». C’est ce qu’est The Front Runner, un film intéressant, mais dont les insuffisances l’empêchent d’être important.
Film plutôt documentaire sur la déconfiture d'un Politique assuré un un bel avenir qui tombe sur une savonnette - pardonnez le raccourci (Il était facile...). Personne se souvient - je pense - de ce sénateur du Colorado - Gary Hart, - il y a .... 30 ans quand même, pour qui, tous les voyants étaient au vert, dans la (re)conquête du pouvoir. On n'apprend pas grand chose, c'est vrai, on prend juste du plaisir à la construction de scénario - un peu comme dans "Les Trois jours du Condor" ou "Les Hommes du Président" et pour ma part, sur la véritable limite que les journalistes s'imposent - ou pas - sur la question relevant de l'Intime !!**
Histoire vraie au final peu connue mais à l'origine des intrications entre vie privée et politique.. par contre peu de rythme, très téléphoné, pas extraordinairement joué.. on s'ennuie un peu quand même
Faut-il se priver de talents au motif d’une vie privée discutée ? Les dirigeants de ce monde ne s’échafaudent-ils pas des personnalités pour donner le change à la population en quête d’une vaine « transparence » ? Le film de Reitman signe un retour au classique politique, on pense aux « Hommes du Président », servi par un Hugh Jackman mimétique. Il se déroule à ce temps de bascule, à la moitié des années 80, où les mœurs puritaines ont gagné depuis les esprits et les réseaux sociaux. Il interroge sur la manière dont nous recrutons nos Présidents, cette focalisation sur la vie privée et le nivellement vers le bas qu’elle entraîne. Le candidat Hart est focalisé sur le fond, il néglige l’exploitation d’un aspect de sa vie au détriment d’une existence plus complexe. Le film relate cette déconstruction, celle d’un homme public, cloué au pilori comme aurait pu l’être avant lui Kennedy. De l’anecdote qui construit l’Histoire, « The front runner » adopte un rythme qui décélère, presque académique, pour mieux mettre en lumière cette mécanique infernale. C’est une leçon d’Histoire avec des dialogues au cordeau, une production de qualité, des reconstitutions de décors convaincantes. L’incrémentation d’images d’archives annonce notre temps, celui des démocraties malades, des instants qu’on nous donne à voir en vérité.
J’ai eu beaucoup de mal à rentrer dans ce biopic dramatique. La première partie a même été des plus douloureuses avec des envies d’assoupissement. Le véritable problème, est qu’on nous plonge dans le vif du sujet presque submergé d’information sur la situation de l’époque. J’ai donc vite été perdu dans un domaine de la politique américaine des années 80-90, qui est n’est pas ma spécialité. De plus, tout se passe de manière assez molle pour nous introduire le personnage et les enjeux. Les préoccupations abordées à ce moment-là sont tellement loin, que j’ai eu vraiment du mal à rentrer dedans. Ce n’est pas faute d’avoir un bon Hugh Jackman. Entre LOGAN et THE GREATEST SHOWMAN, sa polyvalence est impressionnante. Heureusement, la seconde partie sera beaucoup plus intéressante. On quitte la sphère qui se consacre uniquement à la politique du pays de l’Oncle Sam, pour aborder un thème qui encore de nos jours est d’actualité. Le film veut montrer l’engrainage médiatique qui a broyé l’homme politique qu’était Gary Hart. De nos jours, cette manière de faire médiatique, à l’image d’un DSK, est standard alors qu'à l’époque c’était du jamais vue. On peut même dire que c’est un tournant avec une partie des journalistes arrêtant de se consacrer au fond d’un programme pour seulement espionner la vie privée. Depuis cette époque, les médias et leur traitement de l’information n’ont plus été les mêmes, que ce soit aux États-Unis ou en France par exemple. J’étais donc passionné à ce moment-là et ça m’a captivé alors que je tournais de l’œil. Dommage qu’il faille endurer tant d’épreuve pour avoir accès au cœur de THE FRONT RUNNER.
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1,0
Publiée le 26 juillet 2020
Oubliez le casting apparemment stellaire. Vous ne pouvez même pas les entendre. J'abandonne les films qui ne répondent pas aux critères techniques les plus élémentaires c'est-à-dire un son décent qui ne noie pas tous les dialogues et les acteurs qui ouvrent la bouche lorsqu'ils parlent. The Front Runner parvient à priver le spectateur des deux. C'est l'équivalent audio de la caméra tremblante d'il y a dix ans. Même si vous parvenez à vous intéresser au sujet c'est un film ennuyeux et autodestructeur. Le temps est trop précieux pour être gaspillé sur des films comme celui-ci...
Le film d’élections américaines peut être considéré comme un sous genre à part entière. D’ailleurs sur le web on trouve plusieurs listes des meilleurs films d’élections américaines. Pour ma part 4 se détachent : Les hommes du président, Bob Roberts, Votez Mac Kay et Des hommes d’influence ; on peut ajouter A cause d’un assassinat, même s’il s’agit plus d’un film de complot. Eh bien The front runner s’inscrit désormais dans le best of. Un film d’élections c’est un candidat, sa famille, son équipe de campagne et bien sût les journalistes à la recherche des failles du candidat. Tout cela est dans The front runner qui relate la chute du sénateur Gary Hart lors de la campagne présidentielle de 1988, suite à une histoire de cœur. Hugh Jackman incarne à merveille Gary Hart, le candidat qui ne s’intéresse qu’à l’économie et ne comprend pas pourquoi on fouille dans sa vie privée . Jason Reiman film tout cela avec talent et une certaine subtilité. Le cinéma américain que l’on aime, loin des blockbusters décérébrants.
Le pouvoir de la presse et l'impact sur l'opinion publique des articles torchons qui s'attaquent à la vie privé des personnes cnnues, voici le thème de ce grand film admirablement joué et qui nous fait pénétrer dans les ressentiments de ce brillant jeune sénateur qui a failli devenir président. DSK aurait du regarder ce film avant de se laisser piégé, qui sait ? On ne s'ennuie pas une seconde, tous les seconds rôles sont d'un réalisme total, en particulier son épouse d'une grande dignité et il est heureux d'apprendre qu'elle est restée avec son mari dans la vrai vie.
pas mal ,mais rien de très nouveau ,des journalistes fouilles merde qui cherche a prouvé que le futur président des états unis a une liaison extraconjugale...bref rien de très transcendant ,a la base on le savait déjà... Le film tiens par la super prestation de hugh jackman….