Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Le Monde
par Jean-François Rauger
Homme nu (il l’est quasiment tout le long du film) moderne, il incarne, exemplairement, le sujet d’un naturalisme entendu au sens presque scientifique du terme : saisir, pour mieux les observer, les vibrations de l’âme et du sexe pour en dévoiler leur articulation.
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Le dépouillement dont fait ici preuve le cinéaste n’empêche ni la fantaisie (...), ni l’élégance (...), ni surtout la poésie. Ainsi, par ce geste solitaire, modeste et néanmoins éclatant, qui peut rappeler Vincent Gallo ou João César Monteiro, deux irréductibles érotomanes bricoleurs, HPG s’affirme comme un des grands modernes de notre temps.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Philippe Rouyer
L'ensemble est ludique, rempli d'autodérision et de maladresses, avec des envolées burlesques décalées (...).
L'Obs
par Nicolas Schaller
"Marion" est construit comme un vulgaire film X : d'une scène à l'autre, l'acteur-réalisateur trousse chaque femme qu'il croise dans des lieux improbables. A ceci près que les rencontres sont le fruit d'un coq-à-l'âne burlesque (...).
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
C’est drôle et tragique, grinçant et subtil, élégant et cru.
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Un essai à la liberté charmante, mais qui manque hélas de consistance.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Critikat.com
par Benoît Smith
Cette expérience de brouillage, non seulement de notre perception du film mais aussi de certaines frontières entre types de narration cinématographique, fascine. Mais à l'arrivée, on peut soupçonner HPG de n'avoir, dans son processus de création qui aura duré trois ans, cherché que cela : une expérience, quitte à ce qu'elle ne mène nulle part.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Ce récit expérimental tente l’autodérision, voire le burlesque, mais se révèle un peu répétitif.
Première
par Christophe Narbonne
Le décalage entre les deux actions (la verbale et la physique) est amusant au début, puis retombe très vite. La chair est joyeuse mais le délire, laborieux, en raison d’une mise en scène très amateur et de dialogues peu inspirés.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Monde
Homme nu (il l’est quasiment tout le long du film) moderne, il incarne, exemplairement, le sujet d’un naturalisme entendu au sens presque scientifique du terme : saisir, pour mieux les observer, les vibrations de l’âme et du sexe pour en dévoiler leur articulation.
Les Inrockuptibles
Le dépouillement dont fait ici preuve le cinéaste n’empêche ni la fantaisie (...), ni l’élégance (...), ni surtout la poésie. Ainsi, par ce geste solitaire, modeste et néanmoins éclatant, qui peut rappeler Vincent Gallo ou João César Monteiro, deux irréductibles érotomanes bricoleurs, HPG s’affirme comme un des grands modernes de notre temps.
Positif
L'ensemble est ludique, rempli d'autodérision et de maladresses, avec des envolées burlesques décalées (...).
L'Obs
"Marion" est construit comme un vulgaire film X : d'une scène à l'autre, l'acteur-réalisateur trousse chaque femme qu'il croise dans des lieux improbables. A ceci près que les rencontres sont le fruit d'un coq-à-l'âne burlesque (...).
La Septième Obsession
C’est drôle et tragique, grinçant et subtil, élégant et cru.
Les Fiches du Cinéma
Un essai à la liberté charmante, mais qui manque hélas de consistance.
Critikat.com
Cette expérience de brouillage, non seulement de notre perception du film mais aussi de certaines frontières entre types de narration cinématographique, fascine. Mais à l'arrivée, on peut soupçonner HPG de n'avoir, dans son processus de création qui aura duré trois ans, cherché que cela : une expérience, quitte à ce qu'elle ne mène nulle part.
Le Journal du Dimanche
Ce récit expérimental tente l’autodérision, voire le burlesque, mais se révèle un peu répétitif.
Première
Le décalage entre les deux actions (la verbale et la physique) est amusant au début, puis retombe très vite. La chair est joyeuse mais le délire, laborieux, en raison d’une mise en scène très amateur et de dialogues peu inspirés.