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Votre avis sur Downton Abbey ?
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C'est un régal de retrouver tous les personnages de la série, avec pour vedette principale le château. .C'est vrai que les 2 heures sont très justes pour reprendre le fil de cette saga. Les intrigues s'enchainent sans temps morts et ne donnent pas aux néophytes le loisir de connaitre chacun plus profondément et les relations des uns avec les autres. . Les personnages ont un vécu qui s'est longuement mis en place au cours de 6 saisons, et implicitement le film s'appuie sur la connaissance de la série.
Challenge relevé : costumes, ambiance, musique, c'est un cadeau qui est offert aux fans et qui conclue en beauté l'univers Downton.
Le scénario est cohérent, peut être un peu rapide, mais donne à chaque personnage une intrigue et par là l'occasion pour le spectateur de replonger dans cet univers. Tous les acteurs sont magnifiques, on les retrouve avec un plaisir non dissimulé. Grand coup de coeur pour Maggie Smith. Beaucoup de thème sont abordés avec intelligence et élégance.
J'ai apprécié le fait que pour clore le film, la caméra prenne le temps de saluer chacun de ces personnages et laisse entrevoir de nouvelles perspectives .
J'ai passé un excellent moment.
Challenge relevé : costumes, ambiance, musique, c'est un cadeau qui est offert aux fans et qui conclue en beauté l'univers Downton.
Le scénario est cohérent, peut être un peu rapide, mais donne à chaque personnage une intrigue et par là l'occasion pour le spectateur de replonger dans cet univers. Tous les acteurs sont magnifiques, on les retrouve avec un plaisir non dissimulé. Grand coup de coeur pour Maggie Smith. Beaucoup de thème sont abordés avec intelligence et élégance.
J'ai apprécié le fait que pour clore le film, la caméra prenne le temps de saluer chacun de ces personnages et laisse entrevoir de nouvelles perspectives .
J'ai passé un excellent moment.
Yves G.
Le roi et la reine d'Angleterre, en visite dans le Yorkshire, s'invitent pour une journée à Downton Abbey. L'annonce bouleverse tout autant Lord Grantham, sa femme et ses filles que leur nombreuse domesticité. "Upstairs" et "downstairs", tous s'activent dans la perspective de la visite royale.
"Downton Abbey" a connu au Royaume-Uni d'abord, dans le reste du monde ensuite un succès universel. Succès universel ? Peut-être une analyse sociologique un peu fine révèlerait-elle un biais dans la population Wasp, blanche, urbaine et CSP+ - à laquelle j'appartiens et dont j'ai trop hâtivement tendance à généraliser les préférences socioculturelles. Mais ne nous arrêtons pas à ce point et posons cette prémisse : les 52 épisodes, les sept saisons de la série anglaise ont obtenu un succès universel. Qu'en faire ? Une huitième saison alors qu'on avait annoncé que la septième serait la dernière ? Délicat ? Une préquelle située dans le New York des années 1880 ? Julian Fellowes s'y est essayé dans l'indifférence générale : "Downton Abbey" loin de Downton Abbey, ce n'est plus "Downton Abbey" ! Du coup, la réponse s'est imposée aux producteurs : ils ont décidé de faire un film.
Ce n'est certes pas la première fois qu'une série télévisée est portée à l'écran : "Chapeau melon et bottes de cuir", "Charlie et ses drôles de dames", "Starsky et Hutch" ont connu (hélas) leurs adaptations cinématographiques. Mais ce "Downton Abbey", qui arrive cinq ans seulement après l'ultime épisode d'une série unanimement saluée, constitue un cas différent que les producteurs de "Game of Thrones", "Breaking Bad" ou "Les Sopranos" ont certainement examiné à la loupe.
Bien sûr, ce film offre le plaisir régressif de ressusciter les personnages avec lesquels on a passé de si longues heures devant sa télé ou son ordinateur. C'est bien le moins qu'on pouvait en escompter. On se rengorgera de bonheur et de nostalgie devant les sentences vipérines de Lady Violet, les toilettes sublimes de Mary Crawley, les irritations frisant l'apoplexie de Carson, le bon sens paysan de Mrs Patmore et les maladresses de Molesley. Quiconque n'aurait pas vu la série serait perdu ; mais peu importe : elle a eu un tel succès que les producteurs du film peuvent compter sur des millions de spectateurs.
Mais le scénario souffre d'un double défaut.
D'un part il est trop dense. Comme dans la série, plusieurs fils narratifs, principaux et secondaires, s'entrelacent : tandis que la visite royale se déroule et que les domestiques de Downton complotent pour ne pas en être tenus à l'écart, on suit les pas d'une camériste kleptomane, d'un plombier dragueur, d'un maître d'hôtel homosexuel et d'un terroriste irlandais. C'est beaucoup. C'est trop. Toutes ces histoires auraient pu fournir la matière d'une nouvelle saison de plusieurs épisodes. Mais , pressé par le temps, le réalisateur se voit obliger de les compresser en deux heures.
D'autre part, et c'est sans doute le plus grave, ces mini-histoires aux coutures trop visibles ne sont guère intéressantes, voire sombrent dans la mièvrerie. On attendait mieux de Julian Fellowes et ses acolytes qui, assurés par avance d'un public acquis à leur cause, n'ont guère forcé leur talent pour cet ultime coda.
"Downton Abbey" a connu au Royaume-Uni d'abord, dans le reste du monde ensuite un succès universel. Succès universel ? Peut-être une analyse sociologique un peu fine révèlerait-elle un biais dans la population Wasp, blanche, urbaine et CSP+ - à laquelle j'appartiens et dont j'ai trop hâtivement tendance à généraliser les préférences socioculturelles. Mais ne nous arrêtons pas à ce point et posons cette prémisse : les 52 épisodes, les sept saisons de la série anglaise ont obtenu un succès universel. Qu'en faire ? Une huitième saison alors qu'on avait annoncé que la septième serait la dernière ? Délicat ? Une préquelle située dans le New York des années 1880 ? Julian Fellowes s'y est essayé dans l'indifférence générale : "Downton Abbey" loin de Downton Abbey, ce n'est plus "Downton Abbey" ! Du coup, la réponse s'est imposée aux producteurs : ils ont décidé de faire un film.
Ce n'est certes pas la première fois qu'une série télévisée est portée à l'écran : "Chapeau melon et bottes de cuir", "Charlie et ses drôles de dames", "Starsky et Hutch" ont connu (hélas) leurs adaptations cinématographiques. Mais ce "Downton Abbey", qui arrive cinq ans seulement après l'ultime épisode d'une série unanimement saluée, constitue un cas différent que les producteurs de "Game of Thrones", "Breaking Bad" ou "Les Sopranos" ont certainement examiné à la loupe.
Bien sûr, ce film offre le plaisir régressif de ressusciter les personnages avec lesquels on a passé de si longues heures devant sa télé ou son ordinateur. C'est bien le moins qu'on pouvait en escompter. On se rengorgera de bonheur et de nostalgie devant les sentences vipérines de Lady Violet, les toilettes sublimes de Mary Crawley, les irritations frisant l'apoplexie de Carson, le bon sens paysan de Mrs Patmore et les maladresses de Molesley. Quiconque n'aurait pas vu la série serait perdu ; mais peu importe : elle a eu un tel succès que les producteurs du film peuvent compter sur des millions de spectateurs.
Mais le scénario souffre d'un double défaut.
D'un part il est trop dense. Comme dans la série, plusieurs fils narratifs, principaux et secondaires, s'entrelacent : tandis que la visite royale se déroule et que les domestiques de Downton complotent pour ne pas en être tenus à l'écart, on suit les pas d'une camériste kleptomane, d'un plombier dragueur, d'un maître d'hôtel homosexuel et d'un terroriste irlandais. C'est beaucoup. C'est trop. Toutes ces histoires auraient pu fournir la matière d'une nouvelle saison de plusieurs épisodes. Mais , pressé par le temps, le réalisateur se voit obliger de les compresser en deux heures.
D'autre part, et c'est sans doute le plus grave, ces mini-histoires aux coutures trop visibles ne sont guère intéressantes, voire sombrent dans la mièvrerie. On attendait mieux de Julian Fellowes et ses acolytes qui, assurés par avance d'un public acquis à leur cause, n'ont guère forcé leur talent pour cet ultime coda.
Je tiens tout d'abord à signaler que je ne connaissais pas du tout la série avant d'aller voir ce film et franchement, cela n'aide pas à entrer dans cette histoire aux nombreux personnages.
Nous sommes en 1927 dans la somptueuse demeure anglaise de Downton Abbey, dans le Yorkshire.
Le roi et la reine vont venir prochainement y séjourner et tout le monde sur place est en effervescence : la famille aristocratique gérant ce château ainsi que leurs domestiques.
Les prochains jours s'annoncent donc plein de surprises et de péripéties...
J'ai vraiment eu du mal à capter toutes les subtilités et les enjeux de cette multitude de protagonistes, il faut vraiment aimer les ambiances soap opera à la "Santa Barbara" où des tas de petites intrigues parallèles s'entremêlent dans tous les sens.
Ni mauvais ni bon, ce long-métrage ravira ceux qui avaient déjà été convaincus par la série télévisée.
Honnête.
Site www.cinemadourg.free.fr
Nous sommes en 1927 dans la somptueuse demeure anglaise de Downton Abbey, dans le Yorkshire.
Le roi et la reine vont venir prochainement y séjourner et tout le monde sur place est en effervescence : la famille aristocratique gérant ce château ainsi que leurs domestiques.
Les prochains jours s'annoncent donc plein de surprises et de péripéties...
J'ai vraiment eu du mal à capter toutes les subtilités et les enjeux de cette multitude de protagonistes, il faut vraiment aimer les ambiances soap opera à la "Santa Barbara" où des tas de petites intrigues parallèles s'entremêlent dans tous les sens.
Ni mauvais ni bon, ce long-métrage ravira ceux qui avaient déjà été convaincus par la série télévisée.
Honnête.
Site www.cinemadourg.free.fr
une saga magnifique du grand et beau cinéma.
des décors , costumes d'une grande beauté.
un merveilleux casting. un bon doublage français.
et une série d'aventures passionnantes.
me suis vraiment régalé.
des décors , costumes d'une grande beauté.
un merveilleux casting. un bon doublage français.
et une série d'aventures passionnantes.
me suis vraiment régalé.
vidalger
On est ici dans le cinéma de papa plus proche du théâtre filmé que du cinéma actuel. Et pourtant, on y prend beaucoup de plaisir comme lorsqu'on visite un vieux parent qui vous raconte pour la énième fois la même histoire. Je ne connais pas la série télévisée et j'allais un peu à reculons voir cette adaptation sur grand écran d'un succès débité en tranches au cours des dernières années. Il semble qu'on ait réussi à extraire de ce mythique feuilleton la substantifique moelle qui en a fait la réussite. La qualité des acteurs britanniques, leur accent patricien, leurs mimiques n'y sont pas pour rien. Malgré un scénario pas vraiment renversant et un décor de pacotille, on se prend au jeu de ces petits arrangements entre amis-ennemis, on apprécie ces petits apartés sur les naissances hors mariage ou l'homosexualité qui pimentent une histoire convenue de maîtres et de valets. Ce n'est pas la révolution - on est à l'époque de la révolution russe pourtant ! - et chacun reste à sa place. Il y a plus de rivalités et d'affrontements entre les différentes classes de domestiques qu'entre le maître de céans et son butler. Pour autant, l'humour très british, la langue de vipère de la grand-mère interprétée par Maggie Smith irriguent ce film d'un entrain bienvenu.
Totalement dans la ligne de la série. Le début est un peu poussif car on représente un peu tous les personnages pour les spectateurs qui n'ont pas vu les précédents épisodes. Ensuite , on rentre plus dans l'histoire. Je trouve toujours aussi agréable de cotoyer luxe , belles toilettes et bonnes manières pendant 2h....
Excellent !
Dans la pure lignée de la série cela clôture magnifiquement les aventures décrites dans les séries
J'ai adoré
Les critiques cinéma ont eu des critiques acerbes et cela est injustifié
Je vous le recommande et très bons jeu d'acteurs décors splendides
Dans la pure lignée de la série cela clôture magnifiquement les aventures décrites dans les séries
J'ai adoré
Les critiques cinéma ont eu des critiques acerbes et cela est injustifié
Je vous le recommande et très bons jeu d'acteurs décors splendides
le film doit être fait pour les fans de la série ou ses connaisseurs.les personnages sont pas développés pour les novices l'intrigue simple et le contexte pas expliqué.je n 'ai pas vraiment compris les relations entre domestiques entre eux ou avec les Crowley...
J'adore ce film cars c'est vraiment superbe est surtout un film en Anglais ça passe a londres c'est comme des série Culte cars j'adore Maggie Smith cars elle a jouer dans plusieurs film est dans Harry Potter elle a jouer Minerva la meilleur directrice j'ai hâte de voir ce film ..
Je suis une fan de la série britannique et je n’ai manqué aucun des plus de 50 épisodes. J’ai regardé les 6 saisons avec le même engouement.
Le film est sans grand intérêt si vous ne connaissez ni la série, ni les personnages qui la composent et y ont évolué.
Je ne dévoilerai rien du synopsis, la bande annonce ayant déjà trop révélé de détails.
Pour un fidèle de la série, ce film est une prolongation juste pour le plaisir, un épilogue plus abouti que celui de la série, des ultimes retrouvailles avec tous ces personnages passionnants.
Ni les décors, ni les acteurs, ni les intrigues ne déçoivent, même si celles-ci apportent juste un peu de sel au scénario.
Donc pour un adieu à Downton Abbey et ses habitants, non sans nostalgie et le projet de revisionner les saisons un jour futur.
Mon blog : larroseurarrose.com
Le film est sans grand intérêt si vous ne connaissez ni la série, ni les personnages qui la composent et y ont évolué.
Je ne dévoilerai rien du synopsis, la bande annonce ayant déjà trop révélé de détails.
Pour un fidèle de la série, ce film est une prolongation juste pour le plaisir, un épilogue plus abouti que celui de la série, des ultimes retrouvailles avec tous ces personnages passionnants.
Ni les décors, ni les acteurs, ni les intrigues ne déçoivent, même si celles-ci apportent juste un peu de sel au scénario.
Donc pour un adieu à Downton Abbey et ses habitants, non sans nostalgie et le projet de revisionner les saisons un jour futur.
Mon blog : larroseurarrose.com
ned123
J'ai vu un film... tirée d'une série que je ne connaissais absolument et je dois dire que je n'ai jamais réussi à m'attacher à un seul personnage... J'ai eu beaucoup de mal à adhérer à ce film, à ces dialogues trop longues et à cette réalisation tellement académique... beaucoup d'ennui
De Michael Engler (2019).
Avec Michelle Dockery, Hugh Bonneville, Maggie Smith.
Somptueux . une plongée grandeur nature dans l'angletierre et son aristocratie royale. Même si non fan dd la série dont le film s'inspire, et même si de fait on a peut-etre un peu de mal à repérer tous les personnages tant il y en a ! Le film réalisé et scénarisé notamment par une partie de l'équipe de la série éponyme est un régal à de nombreux titres. Les décors bien-sûr , châteaux, demeures royales, décorum, toilettes .. Tout est ravissement pour les yeux. On s'y croirait tant la description se situe dans tous les détails. L'histoire qui mèle à la fois la grande histoire (la visite) aux petites mais émoustillantes petites histoires des châtelains comme des serviteurs. A plus d'u titre surtout pour qui n'a pas vu la série, le film fait largement penser à Gosford Park de R Altman. Et c'est assez remarquable tant au niveau scénaristique que de la mise en scène. On plonge littérallement et passionnément à vouloir voir même la série. De plus, au travers la vie de tous les protagonistes du films (petits et grands, humbles et puissants) , on découvre l'aspect sociologique d'une société en pleine mutation. Très bien filmée,
Le film est de plus magistralement interprété . Un très bon moment de cinéma .
Avec Michelle Dockery, Hugh Bonneville, Maggie Smith.
Somptueux . une plongée grandeur nature dans l'angletierre et son aristocratie royale. Même si non fan dd la série dont le film s'inspire, et même si de fait on a peut-etre un peu de mal à repérer tous les personnages tant il y en a ! Le film réalisé et scénarisé notamment par une partie de l'équipe de la série éponyme est un régal à de nombreux titres. Les décors bien-sûr , châteaux, demeures royales, décorum, toilettes .. Tout est ravissement pour les yeux. On s'y croirait tant la description se situe dans tous les détails. L'histoire qui mèle à la fois la grande histoire (la visite) aux petites mais émoustillantes petites histoires des châtelains comme des serviteurs. A plus d'u titre surtout pour qui n'a pas vu la série, le film fait largement penser à Gosford Park de R Altman. Et c'est assez remarquable tant au niveau scénaristique que de la mise en scène. On plonge littérallement et passionnément à vouloir voir même la série. De plus, au travers la vie de tous les protagonistes du films (petits et grands, humbles et puissants) , on découvre l'aspect sociologique d'une société en pleine mutation. Très bien filmée,
Le film est de plus magistralement interprété . Un très bon moment de cinéma .
une grande fresque à la "David Lean" une film ultra classique avec de somptueux costumes dans de magnifiques décors.l'action se déroule dans les années 1930 ou l'Angleterre n'a pas encore compris que le nouveau siecle est en marche, bien sur les jeunes seront désarçonnés , ce n'est pas leur monde, mais ça fait du bien un peu de rétro dans ce monde violent, une belle réussite. de jeu et de mise en scène. du grand art un peu désuet , un régal.
ManoCornuta
Le film s'inscrit dans la droite ligne de la série, à tous les niveaux: on retrouve autant les intrigues de cœur que les questionnements sociaux à travers les domestiques comme les aristocrates, la reconstitution d'époque est toujours aussi soignée et, bien évidemment, après six saisons au compteur, l'on retrouve le même casting avec toujours la même caractérisation si fine des personnages et cet équilibre quasi parfait entre les intrigues croisées. Au fond, le film n'est jamais qu'un épisode exceptionnel un peu plus long, adoptant seulement quelques codes de l'écriture cinématographique (notamment dans la gestion des plans larges) qui étaient moins évidents sur le petit écran. Bien sûr, seul le téléphage assidu ne sera pas perdu au départ car il n'y a aucune phase de présentation. En dépit d'un scénario peut-être trop évident, le plaisir est toujours à Downton.
Grosse erreur d’aiguillage me concernant. J’ai perdu 2h sur ce coup mais j’en ai potentiellement économisé beaucoup plus car je sais désormais que je ne me lancerai jamais dans la série. Je ne dis pas que c’est mauvais, mais juste que je n’aime pas. J’ai trouvé ça niais. Une succession de tempêtes dans un verre d’eau sans intérêt.
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