Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
27 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Que l’on soit familier ou pas de la série, on prend bien du plaisir à visiter la version cinéma de l’œuvre.
Closer
par La Rédaction
Savoureux comme une madeleine accompagnant une tasse d'Earl Grey.
Elle
par Françoise Delbecq
Le film se regarde comme un nouvel épisode avec l'impression que, cette fois, Downton Abbey se termine vraiment.
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
On retrouve avec plaisir la famille Crawley.
Le Figaro
par Constance Jamet
De quoi ravir les fans et en charmer de nouveaux.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Point
par Mathilde Cesbron et Phalène de La Valette
Sorte d'épisode géant à destination des fans (les néophytes auront du mal à suivre), le film se déguste comme une friandise nostalgique – un peu trop sucrée par instants, mais si savoureuse !
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Positif
par Eithne O'Neill
Costumes et coutumes, diction et dialogues vifs ajoutent à la féerie du lieu : certes, ce sont des clichés mais, noblesse oblige, on est subjugué.
Télé Loisirs
par Gwénola Trouillard
Quatre ans après la fin de la série, son créateur Julian Fellowes redonne vie aux héros qu'on a tant aimés et rend hommage à Maggie Smith, comtesse impériale à la répartie cinglante.
Voici
par A.V.
Pas un brûlot politique, mais un vrai conte de fées !
aVoir-aLire.com
par Virginie Morisson
Un film royal, au casting princier, qui vient couronner les efforts du nec plus ultra de l’audiovisuel britannique.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par Isabelle Danel
Après six saisons de la série so British créée par Julian Fellowes (2010 à 2016), les Crawley et leurs serviteurs reviennent pour un film rapide et élégant.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CNews
par La rédaction
Un film qui plaira aux fans [...].
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
Même si elle peut paraître un poil trop longue, cette version cinématographique de la série réjouira autant les novices que les fans, qui pourront retrouver dans un concentré efficace ce conte historique très "british".
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Antoine Le Fur
Cette adaptation se consomme comme une friandise anglaise. Avec plaisir, mais avec modération.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
On retrouve avec une joie gourmande la malice fielleuse de la vipérine aïeule (Maggie Smith, immense), la plume incisive de Julian Fellowes (« Gosford Park ») et la magnificence des décors. Manque juste un scénario ambitieux qui ne se contente pas de réchauffer les recettes de la série.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Emmanuelle Giuliani
Maîtres et valets de la série à succès reprennent du service dans un film un peu décevant.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Dans le cadre et les décors d’origine et avec la quasi-totalité de la distribution première, un film fait pour combler tous les amateurs de la série : et ils seront nombreux…
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Le showrunner Julian Fellowes continue à développer avec une élégance tout aristocratique la psychologie des maîtres et des valets, enfermés dans leurs classes.
Le Parisien
par La Rédaction
Un cadeau pour les fans qui peinera en revanche à convaincre les novices plongés dans une galerie de personnages sans quasiment aucun élément de contexte.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Michaël Ghennam
Ce prolongement de la série TV constitue une friandise idéale pour les fans. Mais pas une porte d’entrée pour les curieux.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Thomas Baurez
L’ensemble pèche en effet par un excès narratif qui finit par se retourner contre un spectateur, certes sous le charme, mais bientôt assommé par une mécanique imparable.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Compréhensibles même pour les non-initiés, les sous-intrigues sont toutefois si nombreuses qu'elles en deviennent un peu superficielles. Elles réjouiront donc en premier lieu les fans, heureux de retrouver les personnages.
Télérama
par Emilie Gavoille
Quatre ans après la fin de la série britannique, les Crawley et leur personnel rempilent sur grand écran. Pour un épilogue moins enlevé mais plaisant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ecran Large
par Camille Vignes
Ne vous y trompez pas, "Downton Abbey" est uniquement réalisé pour les fans de la série. Malheureusement, le long-métrage n'offre qu'une pâle copie de ce qui avait rendu la série célèbre et n'est appréciable que par la nostalgie qu'il suscite. C'est un fantôme du passé inutile et sans substance. Un cheveu sur la soupe.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Monde
par Thomas Sotinel
Au long des deux heures supplémentaires passées en compagnie de la famille Crawley, il est de fait impossible de démêler ce qui relève de la promotion touristique, du panégyrique du système de classes anglais et de l’incitation à revoir la série sur les platesformes où elle est disponible.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Tourné par Michael Engler, écrit par Julian Fellowes, également auteur de la série (et qui avait déjà scénarisé "Gosford Park" de Robert Altman, magnifique préfiguration de « Downton Abbey »), le film perd une partie de son charme et de sa complexité en passant au grand écran.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Les Inrockuptibles
par Léo Moser
[L]e film ne parvient jamais à dépasser sa condition d'épisode à rallonge. (...) S'il est plaisant de replonger dans les travées, tant de fois empruntées, du manoir de Downton (...), c'est déchargé de la gravité de la série que se présente ce film de deux heures (c'est long) entièrement dévoué à son propre culte.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
20 Minutes
Que l’on soit familier ou pas de la série, on prend bien du plaisir à visiter la version cinéma de l’œuvre.
Closer
Savoureux comme une madeleine accompagnant une tasse d'Earl Grey.
Elle
Le film se regarde comme un nouvel épisode avec l'impression que, cette fois, Downton Abbey se termine vraiment.
Femme Actuelle
On retrouve avec plaisir la famille Crawley.
Le Figaro
De quoi ravir les fans et en charmer de nouveaux.
Le Point
Sorte d'épisode géant à destination des fans (les néophytes auront du mal à suivre), le film se déguste comme une friandise nostalgique – un peu trop sucrée par instants, mais si savoureuse !
Positif
Costumes et coutumes, diction et dialogues vifs ajoutent à la féerie du lieu : certes, ce sont des clichés mais, noblesse oblige, on est subjugué.
Télé Loisirs
Quatre ans après la fin de la série, son créateur Julian Fellowes redonne vie aux héros qu'on a tant aimés et rend hommage à Maggie Smith, comtesse impériale à la répartie cinglante.
Voici
Pas un brûlot politique, mais un vrai conte de fées !
aVoir-aLire.com
Un film royal, au casting princier, qui vient couronner les efforts du nec plus ultra de l’audiovisuel britannique.
Bande à part
Après six saisons de la série so British créée par Julian Fellowes (2010 à 2016), les Crawley et leurs serviteurs reviennent pour un film rapide et élégant.
CNews
Un film qui plaira aux fans [...].
Franceinfo Culture
Même si elle peut paraître un poil trop longue, cette version cinématographique de la série réjouira autant les novices que les fans, qui pourront retrouver dans un concentré efficace ce conte historique très "british".
L'Express
Cette adaptation se consomme comme une friandise anglaise. Avec plaisir, mais avec modération.
L'Obs
On retrouve avec une joie gourmande la malice fielleuse de la vipérine aïeule (Maggie Smith, immense), la plume incisive de Julian Fellowes (« Gosford Park ») et la magnificence des décors. Manque juste un scénario ambitieux qui ne se contente pas de réchauffer les recettes de la série.
La Croix
Maîtres et valets de la série à succès reprennent du service dans un film un peu décevant.
Le Dauphiné Libéré
Dans le cadre et les décors d’origine et avec la quasi-totalité de la distribution première, un film fait pour combler tous les amateurs de la série : et ils seront nombreux…
Le Journal du Dimanche
Le showrunner Julian Fellowes continue à développer avec une élégance tout aristocratique la psychologie des maîtres et des valets, enfermés dans leurs classes.
Le Parisien
Un cadeau pour les fans qui peinera en revanche à convaincre les novices plongés dans une galerie de personnages sans quasiment aucun élément de contexte.
Les Fiches du Cinéma
Ce prolongement de la série TV constitue une friandise idéale pour les fans. Mais pas une porte d’entrée pour les curieux.
Première
L’ensemble pèche en effet par un excès narratif qui finit par se retourner contre un spectateur, certes sous le charme, mais bientôt assommé par une mécanique imparable.
Télé 7 Jours
Compréhensibles même pour les non-initiés, les sous-intrigues sont toutefois si nombreuses qu'elles en deviennent un peu superficielles. Elles réjouiront donc en premier lieu les fans, heureux de retrouver les personnages.
Télérama
Quatre ans après la fin de la série britannique, les Crawley et leur personnel rempilent sur grand écran. Pour un épilogue moins enlevé mais plaisant.
Ecran Large
Ne vous y trompez pas, "Downton Abbey" est uniquement réalisé pour les fans de la série. Malheureusement, le long-métrage n'offre qu'une pâle copie de ce qui avait rendu la série célèbre et n'est appréciable que par la nostalgie qu'il suscite. C'est un fantôme du passé inutile et sans substance. Un cheveu sur la soupe.
Le Monde
Au long des deux heures supplémentaires passées en compagnie de la famille Crawley, il est de fait impossible de démêler ce qui relève de la promotion touristique, du panégyrique du système de classes anglais et de l’incitation à revoir la série sur les platesformes où elle est disponible.
Sud Ouest
Tourné par Michael Engler, écrit par Julian Fellowes, également auteur de la série (et qui avait déjà scénarisé "Gosford Park" de Robert Altman, magnifique préfiguration de « Downton Abbey »), le film perd une partie de son charme et de sa complexité en passant au grand écran.
Les Inrockuptibles
[L]e film ne parvient jamais à dépasser sa condition d'épisode à rallonge. (...) S'il est plaisant de replonger dans les travées, tant de fois empruntées, du manoir de Downton (...), c'est déchargé de la gravité de la série que se présente ce film de deux heures (c'est long) entièrement dévoué à son propre culte.