Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Thriller psychologique non dénué d’humour par son ton caustique, Pauvre Georges ! dresse le portrait sans complaisance de bourgeois hypocrites et poseurs. Subtil.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Jérôme Garcin
Une tragi-comédie très actuelle, signée par une cinéaste aussi voyeuse que Zack.
Marie Claire
par Vincent Cocquebert
Une fable sociale tendre et grinçante.
Voici
par La Rédaction
Un univers lucide, cruel et dérangeant.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Une farce subtilement grinçante pour décrypter toute la complexité de l’âme humaine.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Laura Tuillier
Un film assez bancal, beaucoup trop long, mais qui trouve parfois un ton, et pose un regard peu commun sur l’époque.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Au sein d’une bourgeoisie hypocrite et cancanière, Claire Devers instaure une atmosphère, soigne sa mise en scène et l’écriture de ses personnages. Si l’épilogue déçoit, on est séduit par la finesse de son observation sociale. Toujours épatant, Gregory Gadebois est aussi touchant qu’inquiétant.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Marie Toutée
Un drame tragicomique enlevé, porté notamment par l’excellent Grégory Gadebois.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Fabien Baumann
L'étrange trio, qui se forme aux dernières séquences, donne plus envie de voir la suite du film, qui n'existe pas, que le film regardé, qui n'existe pas assez.
Télérama
par Hélène Marzolf
Une satire sociale aux ressorts artificiels, mais à la mise en scène maîtrisée.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
L’apparition d’un jeune sauvageon fouillant dans sa maison, que Georges entreprend d’aider pour se donner une raison de vivre, cristallisera ce malaise jusqu’à la rupture. Un problème d’alliance se pose toutefois à la réalisatrice, comme il en va souvent pour ce type de récit, entre l’allégeance au réalisme et la tentation, plus arbitraire, de la métaphore fantastique.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Notons que l'enfance n'est pas à la fête dans ce film qui distille tout du long un parfum de bougie amère mais donne à Grégory Gadebois un rôle aussi grand que bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par Christophe Narbonne
A l'arrivée, on est plus proche d'un Chabrol moyen que d'un Buñuel.
Première
par Christophe Narbonne
La cinéaste questionne la morale de ses personnages à la manière sarcastique d’un Ruben Östlund, sans toutefois apporter de conclusion satisfaisante.
La critique complète est disponible sur le site Première
Franceinfo Culture
Thriller psychologique non dénué d’humour par son ton caustique, Pauvre Georges ! dresse le portrait sans complaisance de bourgeois hypocrites et poseurs. Subtil.
L'Obs
Une tragi-comédie très actuelle, signée par une cinéaste aussi voyeuse que Zack.
Marie Claire
Une fable sociale tendre et grinçante.
Voici
Un univers lucide, cruel et dérangeant.
aVoir-aLire.com
Une farce subtilement grinçante pour décrypter toute la complexité de l’âme humaine.
Cahiers du Cinéma
Un film assez bancal, beaucoup trop long, mais qui trouve parfois un ton, et pose un regard peu commun sur l’époque.
Le Journal du Dimanche
Au sein d’une bourgeoisie hypocrite et cancanière, Claire Devers instaure une atmosphère, soigne sa mise en scène et l’écriture de ses personnages. Si l’épilogue déçoit, on est séduit par la finesse de son observation sociale. Toujours épatant, Gregory Gadebois est aussi touchant qu’inquiétant.
Les Fiches du Cinéma
Un drame tragicomique enlevé, porté notamment par l’excellent Grégory Gadebois.
Positif
L'étrange trio, qui se forme aux dernières séquences, donne plus envie de voir la suite du film, qui n'existe pas, que le film regardé, qui n'existe pas assez.
Télérama
Une satire sociale aux ressorts artificiels, mais à la mise en scène maîtrisée.
Le Monde
L’apparition d’un jeune sauvageon fouillant dans sa maison, que Georges entreprend d’aider pour se donner une raison de vivre, cristallisera ce malaise jusqu’à la rupture. Un problème d’alliance se pose toutefois à la réalisatrice, comme il en va souvent pour ce type de récit, entre l’allégeance au réalisme et la tentation, plus arbitraire, de la métaphore fantastique.
Le Parisien
Notons que l'enfance n'est pas à la fête dans ce film qui distille tout du long un parfum de bougie amère mais donne à Grégory Gadebois un rôle aussi grand que bouleversant.
Ouest France
A l'arrivée, on est plus proche d'un Chabrol moyen que d'un Buñuel.
Première
La cinéaste questionne la morale de ses personnages à la manière sarcastique d’un Ruben Östlund, sans toutefois apporter de conclusion satisfaisante.