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    Velvet Buzzsaw
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    78 critiques spectateurs

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    Grégory C
    Grégory C

    17 abonnés 92 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 février 2019
    Ce film m'a glacé le sang et fait froid dans le dos, honnêtement j'ai eu du mal a le terminer, cependant, je l'ai aimé parce qu'il critique le monde de l'art à l'heure actuelle, franchement en tant qu'artiste j'ai beaucoup aimé la morale de l'histoire, franchement ca vaut le coup d'oeil !
    Nanoune
    Nanoune

    26 abonnés 423 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 février 2020
    Très bon film l'intrigue est excellente l'acteur jake gyllenhaal est méconnaissable voir grandiose dans ce rôle à regarder
    Lucas K.
    Lucas K.

    6 abonnés 9 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 février 2019
    Dommage se film aurais pût être intéressant, faire tourner l'intrigue autour des expositions de peinture es une bonne idée mais le rythme et les rebondissement du film mettent tellement de temps a arriver que vous serez saouler au bout d'une demi heure même les acteur joue comme si il était fatiguer
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 5 mars 2019
    Netflix nous propose VELVET BUZZSAW, un film horrifique qui tourne autour du génial Jake Gyllenhaal.

    Après avoir réalisé les deux très bon Night Call et L'Affaire Roman J., Dan Gilroy se lance dans un nouveau style pour lequel, il écrira le scénario aussi.
    Dans VELVET BUZZSAW, on retrouve Morf Vandewalt (Jake Gyllenhaal) un critique d’art redoutable qui va être fasciné par des tableaux que l’assistante Josephina (Zawe Ashton) a trouvé chez un voisin mort.

    J’ai trouvé ce film d’horreur vraiment plat et ennuyeux. J’ai eu beaucoup de mal à rentrer dans le monde abstrait de l’art. Tout se passant dans des galeries et entre artistes, c’est un univers bien particulier. Ça a son charme, car cela donne un côté esthétique très travaillé, mais nous plonge dans quelques choses de spéciales. Le début du film a donc été assez pesant. On enchaine les dialogues dédaigneux qui m’ont vite fatigué. C’est tout de même une touche d’originalité qu’a été apportée car ce n’est pas tous les jours qu’on voit de l’horreur se dérouler dans le milieu artistique. Cependant, l’histoire en elle-même ne l’est pas du tout. Le potentiel qui est née de l’idée, est mort avec le récit qui devient tout de ce qui a de plus classique. Les nombreux dialogues, souvent pour ne rien dire, sont lassants et font perdre de l’intérêt. Les passages horrifiques censé être le cœur de ce long métrage sont parsemés mollement durant les 1h50 ce qui donne une impression de vide niveau sensation. Comme si le film ne commençait jamais vraiment de ce point de vue-là. Pour ne rien arranger, la mise en scène est très sèche, ce n’est pas des plus fluides. Tout cela est d’autant plus dommage, que le casting est de très bonne qualité. Jake Gyllenhaal est génialissime. On aura aussi droit à la présence de John Malkovich, sans oublier le prometteur Daveed Diggs.

    Je me suis fié aux acteurs pour voir VELVET BUZZSAW, ils ne m’ont pas déçu par contre ils n’empêchent pas le film d’être déplaisants.

    Plus de critiques sur doisjelevoir.com
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 19 février 2019
    Le scénario aurait pu être original mais en réalité c'est tiré par les cheveux.. Il est d'ailleurs difficile de tirer une quelconque analyse du pourquoi et comment..
    Les œuvres ont l'air de s'animer pour venger les dernières volontés d'un artiste dont les toiles ont été utilisé dans le but d'en faire de l'argent après sa mort au lieu d'être détruite. Sauf que ça n'a pas réellement de sens.. D'autant que ça n'est pas seulement ses œuvres qui s'animent mais également celles d'autres artistes.

    Il pourrait y avoir une certaine morale dans le film, qui pourrait nous faire comprendre que l'exploitation d'une oeuvre contre le gré de l'auteur est une insulte. Et dans ce film, cette exploitation là est synonyme de la mort. Oui, on pourrait comprendre le film de cette manière, mais c'est très brouillon, ça ne tient pas réellement debout.. En fait, ça ne tient pas debout que des œuvres décident de détruire les gens qui les exploitent (même si on est dans un film)...

    Je n'ai pas compris, non plus, le lien avec le titre du film. Pourquoi ce tatouage est devenu le titre du film. Y a-t-il une signification cachée ?

    Par contre la réalisation est top, j'aime beaucoup certains plans et séquences. Le casting est bon, et Gyllenhaal comme à son habitude, nous sort une très belle performance.

    Mais le film n'est pas marquant, loin de là.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 10 février 2019
    Que dire ... nul et perte de temps ....
    Les personnages ont bien joué leurs rôles , mais l'histoire ne ressemble a rien, chaque scène était prévisible et sans intérêt , la ligne Narrative étais très vague.
    on y apprend rien sur le monde de l'art a part la concurrence des entreprises et encores cetais très mal traités.
    Herve-thierry
    Herve-thierry

    8 abonnés 62 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 juin 2022
    Un film excellent au casting incroyable qui surprend par la qualité de son jeu et l'intetpration de rôles innattendus.

    spoiler: Le titre pourrait être "l'art de tuer" ceux qui tuent l'art car seuls les artistes survivent



    L'intrigue est savement et subtilement conduite en flirtant avec plusieurs genres sans se perdre ni se noyer. Du grand art pour le coup!

    Ce film intrigue et bouleverse, interroge.

    Reste cette question :si le marché de l'art tue l'art, que serait une société sans art ?
    Moee O
    Moee O

    25 abonnés 5 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 février 2019
    En surfant sur Netflix, je tombe sur l'affiche et comme j'adore Gyllenhall, j'y vais. Au final, un film sympa avec de bons acteurs, visuellement joli, il ne m'a pas donné envie de zapper, et par rapport à d'autres daubes récemment vues, je trouve qu'il s'en tire honorablement. Entre thriller, horreur et fantastique, pour un dimanche soir ça l'a fait.
    Jorik V
    Jorik V

    1 268 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 février 2019
    Dan Gilroy, réalisateur de l’excellent « Night Call » déjà avec Jake Gyllenhaal, s’essaye à un mélange des genres assez osé et ardu. En l’occurrence mêler satire du milieu de l’art contemporain et slasher qui fleure bon les années 90. « Velvet Buzzsaw » s’annonçait donc comme un cocktail assez détonnant et provocateur, avec une proposition plutôt hype et dans l’air du temps, à l’air du revival nineties et d’un art moderne difficile à appréhender mais facile à moquer.
    Malheureusement, l’équilibre est instable et le film est loin de tenir toutes ses promesses narratives et visuelles. Le handicap principal du long-métrage vient principalement d’un scénario boiteux et atone qui n’évolue pas. Qui tourne en rond même et n’a pas grand-chose à proposer, que ce soit dans l’évolution des personnages ou de l’histoire qui se limite à des œuvres maudites par leur créateur tuant ceux qui veulent en faire commerce de manière totalement aléatoire et sans logique. Et le premier quart d’heure est un exemple de ce mauvais choix pour introduire les personnages. On se retrouve dans une exposition d’art où les différents protagonistes évoluent sans qu’on sache vraiment qui fait quoi, pour qui et pourquoi ? C’est un peu « The Party » de Blake Edwards chez les artistes sans l’humour, le fun et le second degré. Petit à petit, on y voit plus clair mais le seul avancement du script sera de nous présenter l’œuvre de l’artiste maudit et ses répercussions, plutôt mal amenées, sur les personnages.

    Parlons-en des personnages ! Ils sont tous détestables et difficile de s’attacher à l’un d’entre eux et à ce qu’ils se disent, entre banalités censées représenter l’hypocrisie et la vacuité d’un milieu inaccessible et coups bas sans plus d’explication psychologique. Certes, l’épouvante n’est pas un genre qui s’embarrasse généralement de beaucoup d’affects mais avec un tel matériel et casting… Dans « Velvet Buzzsaw », la satire n’est pas forcément lourde mais elle est facile et plus qu’attendue. C’est vraiment dommage tant le sujet avait du potentiel sur le papier. Si visuellement, Gilroy se rattrape avec une mise en scène chic et léchée, donc adaptée au sujet (mais qui ne surprend pas beaucoup plus), les scènes de meurtre semblent vraiment bien mal s’incorporer au reste faisant du film dans son entièreté une véritable fausse bonne idée ! Certes, elles sont originales mais elles tombent un peu comme un cheveu sur la soupe et manquent singulièrement de piquant et de sang pour rentrer dans la case tous publics. On retiendra tout de même celle vue dans la bande-annonce avec Toni Colette et la sphère, certainement la meilleure séquence du film. Donc si le film n’est pas ennuyant, il enfonce des portes ouvertes au niveau de la diatribe sur l’art contemporain là où il y avait tant à en dire et se révèle bien timide sur le versant slasher et n’effraiera que les non-initiés. C’est ce qui s’appelle clairement une amère déception.

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    Redzing
    Redzing

    1 112 abonnés 4 468 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 février 2019
    A Los Angeles, une employée de galerie d'art découvre chez un voisin décédé une impressionnante collection de peintures. Elle va trouver là l'opportunité de secouer son environnement tout en s'enrichissant, sans se douter qu'elle va aussi libérer une force surnaturelle... On attendait le travail de réalisateur de Dan Gilroy au tournant après "Nightcrawler", thriller noir mordant sur le journalisme crapuleux. Cette fois, Gilroy s'attaque au milieu de l'art contemporain huppé, et tire sur tout ce qui bouge : artistes imbus d'eux-mêmes, critiques arrogants et tout-puissants, galeristes aux dents longues, et bien sûr, spéculations, prétentions et conflits d'intérêts à tous les étages. Le problème est que cette critique est assez superficielle. D'autant plus que l'intrigue n'a pas grand intérêt, se contentant se nous faire suivre une série de situations tournant en rond, avec en toile de fond des meurtres qui n'ont pas vraiment d'enjeu, aucun personnage n'étant ni attachant ni essentiel au scénario. Par ailleurs, Gilroy semble ne pas vraiment savoir sur quel pied danser, entre des séquences horrifiques certes réussies, mais perdues au milieu de ce qui ressemble à un drame cynique qui ne fait mouche que quelque fois. Saluons tout de même la performance des acteurs, et notamment de Jake Gyllenhaal, qui semble beaucoup s'amuser en critique perché, craint et redouté.
    kibruk
    kibruk

    145 abonnés 2 545 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 juin 2019
    Avec sa brochette d'acteurs réputés, son réalisateur ayant quelques bonnes références, on pouvait penser que ce film d'horreur pourrait sortir du lot, d'autant plus que son contexte (le monde de l'art) est plutôt original et prometteur. Hélas, le scénario ne fait qu'effleurer son propos et produit des personnages si exaspérants qu'on ne s'y attache pas un seul instant. Le film tourne au jeu de massacre moins amusant que dans certaines autres productions moins huppées et prétentieuses, on oublie aussi toute forme de frisson. Si au final "Velvet Buzzsaw" n'est pas mauvais, on peut quand même regretter un résultat si aseptisé qu'il en devient insipide.
    John Henry
    John Henry

    104 abonnés 707 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 février 2019
    Plutôt séduit par Nightcrawler, j'ai plongé sans hésiter après avoir vu que le casting était le même. Les acteurs sont phénoménaux mais ils semblent englués dans ce film qui se cherche un intérêt, un point de vue et une trame pour se démarquer des nombreux films qui font de ces artistes des cobbayes qu'on observe dans leurs cages. Sauf qu'à un moment, on se lasse aussi de voir ces cobbayes consentants s'ils tournent toujours dans la même roue, sans fin.
    Décevant
    Shiwamada
    Shiwamada

    40 abonnés 556 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 mai 2021
    "Velvet Buzzsaw" est un film déroutant, mais pas forcément de la bonne manière. On est d'emblée intrigué lorsque les protagonistes évoquent le côté mystique de l'œuvre de cet artiste décédé. Quand il s'avère que c'est vrai, on est tout de suite beaucoup plus dubitatif. La déception vient donc du fait que l'on ne s'y attend pas et que l'on arrive pas à s'y faire le reste du long-métrage… Le tout se transforme en une sorte de slasher à la "Destination finale" et j'ai du mal à croire que quelqu'un ait pu avoir ce genre d'idée, même si certaines morts sont inventives. Le propos d'origine est intéressant mais son détournement est manqué, ce qui est d'autant plus regrettable que le casting est superbe (à part Zawe Ashton, à la fin je pouvais plus la voir… en peinture), les effets spéciaux sont bons et la mise en scène tient la route.
    RedArrow
    RedArrow

    1 663 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 février 2019
    Après avoir dénoncé les dérives médiatiques de l'information dans "Night Call", Dan Gilroy retrouve le duo Jake Gyllenhaal/Rene Russo pour s'attaquer au monde de l'art contemporain et, vu la qualité de la première collaboration de tout ce petit monde, autant dire qu'on était plutôt impatient de les retrouver...

    À cause de la découverte d'une série de toiles empreintes -littéralement- de l'âme d'un artiste anonyme et torturé, l'ensemble du microcosme faisant la pluie et le beau temps sur le milieu artistique de L.A. va se retrouver confronter au rôle caricatural qu'il en est venu plus ou moins consciemment à y jouer. Un critique vampirisé par les jugements péremptoires qu'implique son métier, une directrice de galerie ne jurant plus que par la valeur pécuniaire de ses talents et bien d'autres personnages à l'intérêt très variable (des concurrents de la deuxième, une arriviste à l'origine de la trouvaille des tableaux, un artiste bien installé dans le milieu mais en panne d'inspiration, un autre jeune et en pleine ascension, etc) vont tous faire les frais de la malédiction de ces toiles pendant un peu moins de deux heures de long-métrage et... voilà. On ne peut hélas résumer "Velvet Buzzsaw" qu'à ça, une myriade de personnages se rendant compte, grâce à un phénomène surnaturel, de la superficialité dans laquelle ils se sont eux-mêmes enfermés.
    La plupart en sont si imprégnés qu'ils passent directement par la case exécution (les premières victimes), certains en pleine remise en cause par la vision de ces tableaux sont torturés par l'image qu'il renvoie avant que la lame de la guillotine s'abatte sur eux et d'autres ont une chance de survivre s'ils choisissent de revenir à une forme d'art plus pur.
    Devant un film qui entend dénoncer un milieu que tout le monde sait caricatural par essence, on se met rapidement à attendre toujours plus qu'un propos aussi simpliste et vite exposé mais non, Dan Gilroy se contente de cette seule rencontre boiteuse entre l'humour et l'horreur faisant office de statu quo à toutes autres ramifications scénaristiques.
    Sur le terrain de la satire, "Velvet Buzssaw" fonctionne heureusement à plein régime et offre ses meilleurs sourires (la déformation professionnelle du critique sur tout ce qui l'entoure est très drôle) mais il donne sans cesse l'impression d'enfoncer des portes ouvertes moqueuses d'un monde dont on connaît déjà tous les contours sans même forcément le fréquenter, sans compter que le film se disperse beaucoup trop sur des personnages qui ne font figure que de doublons encore plus "maléfiques" aux principaux pour mieux se faire assassiner en premier. D'ailleurs, du point de vue de l'intrusion de l'horreur dans cette histoire, les scènes de meurtres ont beau être l'occasion de jolies saillies sanglantes et graphiques (les dernières notamment), elles trahissent également un cinéaste qui n'a pas l'air à son aise sur ce registre en donnant le sentiment de vignettes situées en dehors de l'ensemble et qui usent finalement de ressorts très classiques au-delà de l'utilisation meurtrière d'oeuvres artistiques. De même du côté de l'enquête sur le background de l'artiste maudit, le fait qu'elle n'ait nullement pour vocation d'être utile à la résolution du problème surnaturel comme dans un film d'épouvante lambda trahit un peu plus le côté artificiel de cette sous-intrigue, juste présente pour valider la menace et cette opposition entre la véritable portée de la dimension artistique face à un petit nombre l'ayant unilatéralement dévoyée.
    Avec la dernière scène, Gilroy renverra bien entendu à ce que devrait être l'art une fois sortie des mains d'un apparatchik s'étant octroyé les normes du bon goût, une offre universelle pour réveiller et parler à la sensibilité de chacun mais cette idée était apparue si évidente dès les premiers instants que le chemin parcouru pour en arriver là laisse une impression de futilité complète.

    "Velvet Buzzsaw" est pourtant loin d'être un mauvais film. Bien réalisé, plutôt drôle et doté évidemment d'un casting talentueux, ce nouveau long-métrage de Dan Gilroy se regarde sans mal mais, face au choc qu'avait pu représenté l'intelligence de dénonciation d'un "Night Call", il représente un véritable coup d'épée dans l'eau en devenant, au final, un petit film inoffensif et aussi artificiel que le milieu auquel il s'attaque à cause d'une mécanique trop simpliste. Dommage, vraiment... À coup sûr, Morf Vandewalt n'aurait pas épargné "Velvet Buzzsaw" avec son ton acerbe.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 3 février 2019
    Film ennuyeux et très long, il ne se passe rien du début à la fin, je ne recommande ce film a personne.
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