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Votre avis sur La Prophétie de l'horloge ?
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Malgré toute la bonne volonté du film que de vouloir nous offrir une histoire d'enfant pleine de magie et de rebondissement, le réalisateur et le scénario ne réussissent jamais à atteindre cet objectif. Eli Roth se pose derrière la caméra pour délivrer un long-métrage bien loin de ses standards d'horreurs et torture porn. A l'inverse, le réalisateur nous livre ici un film se voulant une histoire d'enfant mais force est de constater qu'à de nombreuses reprises certains instants auraient mieux fait d'être rendus plus sombres, plus proches de l'horreur. Le scénario écrit par Eric Kripke est terriblement pauvre de ce point de vue, et même s'il s'agit d'une adaptation d'un roman pour enfant, il va sans dire qu'une adaptation libre plus proche du fantastique et du cinéma d'angoisse aurait été bien plus appropriée. Kripke ne maîtrise jamais vraiment son sujet et donne plus l'impression de subir le matériel original sans savoir comment le réadapter. En effet, de nombreuses scènes laissent complètement indifférent, d'autres nous ennuient et d'autres encore sont vraiment mal apportées. La vision de la caméra d'Eli Roth va pourtant réussir à rehausser le niveau du long-métrage. Bien que dans un genre qu'il ne maîtrise pas du tout, le cinéaste fait parler son talent de réalisateur et sait toujours bien utiliser sa caméra pour certains plans très beaux ou encore relativement effrayant. Finalement, la plus grande force du film réside incontestablement dans ses effets spéciaux. Chaque moment utilise de la CGI et pourtant celle-ci est réalisée avec soin, apportant toujours une touche d'originalité bienvenue mais surtout sans jamais virer dans le mauvais rendu de post-production. La musique du long-métrage constitue cependant une immense déception, les morceaux choisis sont d'une facilité incroyable et n'apportent absolument rien au récit. Chaque partition de Nathan Barr ne fait que nous ennuyer ou nous conduit à ressentir des choses différentes que ce que le le scénario recherchait. Côté casting, la seule personne qui ressort vraiment du long-métrage est Cate Blanchett. L'actrice survole le film de son talent et constitue réellement la principale source d'intérêt que l'on accorde à l'histoire. Les autres personnages joués par Jack Black, Owen Vaccaro, Sunny Suljic, Colleen Camp, Renée Elise Goldsberry, Kyle MacLachlan,... ne font jamais rien vivre et sont totalement dépourvus de charisme. Rien n'est fait pour leur apporter un peu de substance dans l'histoire et il ne doit pas être évident de jouer un personnage aussi dépourvu de personnalité. La prophétie de l'horloge ne remplit jamais le pari audacieux de son réalisateur et s'avère en fin de compte un melting pot fade bien qu'il possède de beaux effets spéciaux.
un film fantastique pour les enfants , un peu mièvre, les rares effets spéciaux sont sympathiques , les décors gentillets . le petit garçon est une future star pour les jeunes , il est déjà un super comédien; jack et Kate font ce qu'ils peuvent mais ne sont pas convaincants. le réalisateur aurait du revisiter son Tim Burton pour lui donner de 'humour du décalé et éviter les petites vulgarités du chat. ce n'est que pour les enfants et c'est pas mal.
tony-76
Certains réalisateurs aiment changer de style en se concentrant sur le teen-movie fantastique. C'était le cas pour Martin Scorsese (Hugo Cabret) ou encore Robert Rodriguez (Spy Kids) et voici que Eli Roth se lance dans le film pour enfants avec The House with a Clock in its Walls. Réputé pour ses œuvres violentes, Roth adapte le livre à succès écrit par John Bellairs ! On suit un orphelin (Owen Vaccaro) qui apprend le sens de la magie auprès de son oncle (Jack Black) et de sa voisine (Cate Blanchett) au sein d'un manoir rempli de créatures... Le spectateur pouvait croire que la deuxième production de l'année pour Roth (quelques mois après son satisfaisant Death Wish) appartiendrait dans l'ADN d'un Jumanji ou d'un Goosebumps mais il en rien de tout cela... Un manque de surprise au niveau du scénario,
spoiler:
il n'y a guère de thèmes complexes sur la magie
- très loin d'un Doctor Strange et d'un épisode d'Harry Potter - assez compréhensible puisque le long-métrage s'adresse à un auditoire de dix ans... Egalement, le rythme peine à démarrer correctement, spoiler: surtout dans sa première partie...
Heureusement que les effets spéciaux demeurent néanmoins charmants spoiler: (des citrouilles volantes)
avec des décors gothiques nous amenant dans les années 50 à la famille Addams ! Et le casting y est en soi sympathique. Owen Vaccaro - découvert dans les Daddy's Home - se veut attachant dans la peau d'un garçon intéressé par la sorcellerie. Mais c'est bien Jack Black (dans son élément) et Cate Blanchett (surprenante) volant la vedette au jeune Vaccaro en se balançant à longueur de temps des méchancetés faciles. Bien que prévisible et léger dans l'ensemble, The House with a Clock in its Walls s'avère une oeuvre familiale peu captivante d'Eli Roth. Malgré ces bonnes intentions... Peut-il être pire que la suite de Goosebumps ?
- très loin d'un Doctor Strange et d'un épisode d'Harry Potter - assez compréhensible puisque le long-métrage s'adresse à un auditoire de dix ans... Egalement, le rythme peine à démarrer correctement, spoiler: surtout dans sa première partie...
Heureusement que les effets spéciaux demeurent néanmoins charmants spoiler: (des citrouilles volantes)
avec des décors gothiques nous amenant dans les années 50 à la famille Addams ! Et le casting y est en soi sympathique. Owen Vaccaro - découvert dans les Daddy's Home - se veut attachant dans la peau d'un garçon intéressé par la sorcellerie. Mais c'est bien Jack Black (dans son élément) et Cate Blanchett (surprenante) volant la vedette au jeune Vaccaro en se balançant à longueur de temps des méchancetés faciles. Bien que prévisible et léger dans l'ensemble, The House with a Clock in its Walls s'avère une oeuvre familiale peu captivante d'Eli Roth. Malgré ces bonnes intentions... Peut-il être pire que la suite de Goosebumps ?
La Prophétie de l'Horloge, c'est Hugo Cabret chez Miss Peregrine. Mais, manifestement, Eli Roth n'a ni le talent de Tim Burton pour mettre habilement en scène ce genre de film familial fantastique ni la sagesse de Martin Scorsese pour créer une véritable ambiance et transmettre un certain aura à son film. Oui, le casting est séduisant (Black, Blanchett, MacLachlan). Oui, on lorgne parfois vers l'épouvante ... il y a ce désir de l'étrange, cette envie de bizarre ... mais Roth ne fait que reluquer et loucher sur ce qu'il y a de plus prodigieux. On reste ainsi à la surface du magique. Ce n'est donc ni merveilleux, ni fabuleux, ni extravagant, ni épatant.
Frédéric M.
Malgré le casting, l'ambiance, les effets spéciaux, et la réalisation, le film est plutot quelconque et reste dans un univers à la Harry Potter. Le jeune garçon devant magicien et bravant les interdits. Le film est un peu lent, et on voit venir l'histoire très vite, peut etre juste bon pour les enfants ?
Un divertissement familial où la magie et l'imaginaire révèlent notre âme d'enfant. Le scénario de départ attise la curiosité puis s'égare en cours de route, avec une baisse d'intensité et un enfant star presque agaçant. Quelques trouvailles visuelles mais globalement décevant.
Film pour enfants a l'ambiance visuelle réussie, et des acteurs qui ne cabotinent pas trop, Blanchett et Black sont excellents, le gamin aussi. Mais Mac Lachlan est pour moi une erreur de casting. Mais ambiance et le cast ne font pas tout, le.scenario est poussif et c'est a se demander s'il ne manque pas carrément 30 minutes de film pour combler ces elypses scenaristiques...Au final.un film bancal, visuellement reussi et bien interprété mais au scénario totalement bidon quand on connaît le statut culte des livres.
"La Prophétie de l'horloge" manque grandement d'originalité et apparait donc sans surprise. Le spectacle proposé par Eli ROTH n'est pas très enthousiamant et son film ne restera pas dans les mémoires. Les têtes d'affiche Jack BLACK et Cate BLANCHETT tentent le tout pour le tout pour faire fonctionner cette histoire de magie, mais ça reste bien moyen.
Ce film prouve que tout le monde peut écrire un conte pour enfants...médiocre.
Le budget semble confortable mais ça ne fait pas un bon film pour autant. Sans être complètement désagréable c'est assez fainéant en tous points.
Le jeu d'acteur est inégal, les effets spéciaux sont inégaux...film mineur quoi.
Le budget semble confortable mais ça ne fait pas un bon film pour autant. Sans être complètement désagréable c'est assez fainéant en tous points.
Le jeu d'acteur est inégal, les effets spéciaux sont inégaux...film mineur quoi.
Divertissement sans prétention, pour le plaisir des petits, mais l'histoire en elle-même m'a paru peu crédible.
Un film qui avait tout sur le papier pour réussir mais qui manque à peu près tous ses objectifs : les enjeux émotionnels ne sont pas creusés , ni les motivations des uns et des autres ; le spectacle est fade ( hormis les décors fort réussis ) et la sauce ne prend pas . Dommage . On sent que les romans de John Bellairs devaient être plus riches : pas facile de poser un univers décliné en plusieurs livres en un seul et unique film . Raté , donc.
Malgré ses deux vedettes ce film sur la magie de 2018 peine à sortir des clichés des films pour la jeunesse. Pas mal d'accessoires et d'effets originaux ainsi qu'une intrigue divertissante située en 1955 mais tout est un peu trop sur la thématique des effets magiques. Le titre en français racoleur alors que le titre original montrait une volonté plus ambitieuse fini de déconsidérer cette thématique de l'horrifique amusant qui ne va pas dans trop d'extravagances mais mélange plusieurs genres de façon moyennement inspirée.
La Prophétie De L'horloge d'Eli Roth est un film moyen qui est surtout pour enfant vers les 10-13 ans car ils y trouverons de l'humour à,du fantastique et un peu de frissons mais après on trouve que c'est assez simplistes et enfantin mais avant il doit faire un peu peur.
Black ,Blanchette ,.... sont très bons et sont dans leur personnages .
Film pour des collégiens jusqu'en cinquième, quatrième.
Black ,Blanchette ,.... sont très bons et sont dans leur personnages .
Film pour des collégiens jusqu'en cinquième, quatrième.
Eli Roth, habitué de l'horreur, semble ici ne pas maîtriser son sujet, probablement par le changement de public... La Prophétie de l'horloge ne séduit qu'a travers le trio enjoué, tandis que le rythme très irrégulier, les effets spéciaux et le manque terrible d'originalité use...
Les routines du cinéma américain à vocation familiale sont décidément très prévisibles, et on finirait par croire que celles de la littérature dont il s’inspire le sont aussi. Voyez plutôt, en ce qui concerne cette ‘Prophétie de l’horloge’, tirée d’un roman de John Bellairs : nous disposons d’un orphelin recueilli par un oncle excentrique qui s’avère être un magicien aux compétences incertaines, d’un vieux grimoire interdit renfermant une formule capable de ressusciter les morts et d’une mystérieuse horloge, dissimulée dans les murs d’un manoir hanté. Mélangez moi tout ça et débrouillez vous pour y inclure de la notion de résilience face au deuil et des développements sur la difficulté de se faire des amis à l’école : vous avez une heure quarante cinq. Comme on s’y attendait, on découvre tout au long du film un bestiaire amusant, des méchants de carton-pâte, de gentils effets spéciaux, Cate Blanchett qui cabotine et Jack Black qui joue au maximum de ses capacités (ce qui revient au même). L’histoire fait parfois un peu peur, surtout si vous avez moins de six ans et elle s’avère plutôt bancale,sauf si vous avez moins de six ans aussi. Si on perçoit d’abord ‘La prophétie de l’horloge’ comme un succédané de la franchise Harry Potter (quoique le livre d’origine le précède de trois décennies), on convient rapidement qu’en terme de cousinage, c’est plutôt du côté de Scooby-doo qu’il faudrait creuser. Après tout, même si c’est Eli “Gore-lover” Roth qui le réalise, ‘La prophétie de l’horloge’ s’adresse ouvertement aux enfants. Il est donc conseillé de ne pas se montrer trop exigeant puisque même sans être très original ou brillamment mis en scène, le film assure à peu près le job...mais faudrait pas non plus que ça devienne une franchise, hein !
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