Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
CNews
par La rédaction
Si elle ne révolutionne pas le genre, cette production familiale pleine de fantaisie et de poésie reste un bel hommage à la magie et devrait ravir petits et grands.
Franceinfo Culture
par Pierre-Yves Grenu
Objectif atteint : si cette production soignée n’offre rien de radicalement nouveau, elle trouve tout naturellement sa place dans le haut de gamme d’un genre encombré de séries B largement moins inspirées.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Mad Movies
par Gilles Esposito
Dans le genre du divertissement macabre pour enfants, cette "Prophétie..." s'avère très chouette, et peut-être plus personnelle qu'il n'y paraît.
20 Minutes
par Caroline Vié
Les rivalités entre sorciers, rondement traitées, ou la tendresse soulignée pour le jeune orphelin rendent indulgent à l’égard des baisses de rythme du film. Il est si amusant de frissonner joyeusement en famille que le tic-tac de cette pendule bien huilée emporte le spectateur dans son monde peuplé de créatures étranges.
Femme Actuelle
par La rédaction
Gentiment inquiétant, ce conte fantastique et ses citrouilles enragées raviront les enfants.
IGN France
par Vincent De Lavaissière
"La Prophétie de l'Horloge" manque son quart d'heure de gloire, en dépit d'un dernier tiers plus divertissant.
La critique complète est disponible sur le site IGN France
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Rien de neuf, certes, mais l'inusable combat du Bien contre le Mal fonctionne à merveille. D'autant que Jack Black et Cate Blanchett, irrésistibles, assurent le show.
Télé Loisirs
par Maryvonne Ollivry
[...] le film reste distrayant et bénéficie d'un chouette casting.
Télérama
par Cécile Mury
Ce conte fantastique pioche autant dans une magie blanche à la Harry Potter que dans la magie noire d’un univers à la Tim Burton. Sans égaler la richesse ludique de l’un ni la folie poétique de l’autre, le récit déborde de trouvailles réjouissantes (le tic-tac maléfique qui sourd des murs…) et de personnages attachants.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Théo Charrière
Il n’en demeure pas moins que le film peine, contrairement aux essais numériques de Burton, à assumer pleinement le cheminement indiqué par cette texture nouvelle des images.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Geoffrey Crété
Pour son premier essai dans le cinéma grand public, Eli Roth se contente d'emballer un petit film bien simple et sage, qui déborde de banalités, et manque cruellement de tendresse et d'imagination.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Ecran Fantastique
par Véronique Trouillet
Mais si cette histoire de jeune apprenti magicien combattant des forces surnaturelles et maléfiques était nouvelle et se voulait effrayante en 1973 à la parution du roman de John Bellairs, son adaptation cinématographique actuelle arrive des années après "Harry Potter" et apparaît bien désuète et surtout très enfantine - dans le mauvais sens du terme - avec un humour souvent scatologique et des gags ridicules.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Si l’intrigue n’est pas d’une folle originalité, les plus jeunes devraient se réjouir des tours de magie un brin tape à l’oeil.
Le Monde
par Jean-François Rauger
Le film, spectacle sans surprise et vite oublié, a été réalisé sans beaucoup de conviction.
Les Fiches du Cinéma
par Corentin Lê
Tout en restant indigeste pour les petits comme pour les grands, cette histoire de sorciers et de maisons hantées est un gâteau d’Halloween aussi rassis que faisandé d’où jaillissent, de temps à autres, quelques pourritures graphiques bienvenues.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Thierry Chèze
On regarde ce spectacle sans déplaisir ni enthousiasme. Le récit ne sort jamais des clous, respecte à la virgule près le cahier des charges de ce genre de productions, se permettant juste ici ou là quelques moments un peu décoiffants (l’attaque des automates…).
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Eli Roth s’essaie au film pour enfants et échoue dans la médiocrité qui aura caractérisé finalement une grande partie de sa filmographie.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
La réalisation est en pilote automatique, et sa boîte à idées, désespérément vide.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
CNews
Si elle ne révolutionne pas le genre, cette production familiale pleine de fantaisie et de poésie reste un bel hommage à la magie et devrait ravir petits et grands.
Franceinfo Culture
Objectif atteint : si cette production soignée n’offre rien de radicalement nouveau, elle trouve tout naturellement sa place dans le haut de gamme d’un genre encombré de séries B largement moins inspirées.
Mad Movies
Dans le genre du divertissement macabre pour enfants, cette "Prophétie..." s'avère très chouette, et peut-être plus personnelle qu'il n'y paraît.
20 Minutes
Les rivalités entre sorciers, rondement traitées, ou la tendresse soulignée pour le jeune orphelin rendent indulgent à l’égard des baisses de rythme du film. Il est si amusant de frissonner joyeusement en famille que le tic-tac de cette pendule bien huilée emporte le spectateur dans son monde peuplé de créatures étranges.
Femme Actuelle
Gentiment inquiétant, ce conte fantastique et ses citrouilles enragées raviront les enfants.
IGN France
"La Prophétie de l'Horloge" manque son quart d'heure de gloire, en dépit d'un dernier tiers plus divertissant.
Télé 7 Jours
Rien de neuf, certes, mais l'inusable combat du Bien contre le Mal fonctionne à merveille. D'autant que Jack Black et Cate Blanchett, irrésistibles, assurent le show.
Télé Loisirs
[...] le film reste distrayant et bénéficie d'un chouette casting.
Télérama
Ce conte fantastique pioche autant dans une magie blanche à la Harry Potter que dans la magie noire d’un univers à la Tim Burton. Sans égaler la richesse ludique de l’un ni la folie poétique de l’autre, le récit déborde de trouvailles réjouissantes (le tic-tac maléfique qui sourd des murs…) et de personnages attachants.
Critikat.com
Il n’en demeure pas moins que le film peine, contrairement aux essais numériques de Burton, à assumer pleinement le cheminement indiqué par cette texture nouvelle des images.
Ecran Large
Pour son premier essai dans le cinéma grand public, Eli Roth se contente d'emballer un petit film bien simple et sage, qui déborde de banalités, et manque cruellement de tendresse et d'imagination.
L'Ecran Fantastique
Mais si cette histoire de jeune apprenti magicien combattant des forces surnaturelles et maléfiques était nouvelle et se voulait effrayante en 1973 à la parution du roman de John Bellairs, son adaptation cinématographique actuelle arrive des années après "Harry Potter" et apparaît bien désuète et surtout très enfantine - dans le mauvais sens du terme - avec un humour souvent scatologique et des gags ridicules.
Le Journal du Dimanche
Si l’intrigue n’est pas d’une folle originalité, les plus jeunes devraient se réjouir des tours de magie un brin tape à l’oeil.
Le Monde
Le film, spectacle sans surprise et vite oublié, a été réalisé sans beaucoup de conviction.
Les Fiches du Cinéma
Tout en restant indigeste pour les petits comme pour les grands, cette histoire de sorciers et de maisons hantées est un gâteau d’Halloween aussi rassis que faisandé d’où jaillissent, de temps à autres, quelques pourritures graphiques bienvenues.
Première
On regarde ce spectacle sans déplaisir ni enthousiasme. Le récit ne sort jamais des clous, respecte à la virgule près le cahier des charges de ce genre de productions, se permettant juste ici ou là quelques moments un peu décoiffants (l’attaque des automates…).
aVoir-aLire.com
Eli Roth s’essaie au film pour enfants et échoue dans la médiocrité qui aura caractérisé finalement une grande partie de sa filmographie.
L'Obs
La réalisation est en pilote automatique, et sa boîte à idées, désespérément vide.