Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
L'Express
par Antoine Le Fur
Aussi délicat qu'intense, le film est une belle leçon d'éducation.
Les Fiches du Cinéma
par Isabelle Boudet
Un polar argentin sec et tendu, en dépit de quelques facilités dans l’écriture.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Eric Derobert
Le cinéaste s’appuie surtout sur la relation filiale en train de se créer entre Carlos et Rey. Ce fil, tiré avec efficacité, tisse un polar classique tout à fait réussi.
Première
par Sylvestre Picard
Esteyes est un cinéaste à suivre, et La Educación del Rey est à voir.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Sidy Sakho
La fine chronique psychologique et le film noir cohabitent ainsi avant de se rejoindre en un final aussi cruel qu'émouvant.
Critikat.com
par Benoît Smith
On pourrait ne rien ajouter, à part constater que ce premier long-métrage de Santiago Esteves ne détourne ni ne sublime jamais franchement ce schéma rebattu, et le ranger parmi les insignifiantes copies d’élèves appliqués. Ce n’est pourtant pas si simple.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
La modestie de "La Educacion del Rey" va au bénéfice du film. Comme souvent, la restriction des moyens sert la créativité. Santiago Esteves porte son film à bout de bras avec une sincérité tant dans le message que dans le respect des règles du thriller.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par François Forestier
Avec peu de moyens, le réalisateur cerne bien ses personnages et l'ambiance tragique qui les entoure. Il manque de maîtrise, mais pas de conviction. Un nouveau talent à suivre ?
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Nathalie Simon
Premier film de Santiago Esteves, ce polar réussi montre la vivacité du 7ème art argentin.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Isabelle Regnier
Guidé par sa connaissance instinctive de la ville de Mendoza, dont il est originaire, et dans laquelle il a choisi de tourner ce film, Santiago Esteves cultive une esthétique de l’artifice minimal. Celle-ci pourrait paraître old school si elle ne servait pas à dépeindre la zone grise généralisée dans laquelle évoluent les individus dans des sociétés contemporaines corrompues.
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Bien qu'assez prévisible, ce récit initiatique fonctionne sur l'alchimie entre les deux acteurs principaux.
Télérama
par Pierre Murat
Le scénario tient, une bonne heure, sur son étrangeté, sur le jeu sadomaso, affectueux et filial, entre les deux hommes. Le film faiblit, lorsqu’il vire au polar classique, avec magouilles et flics corrompus. Reste que ce réalisateur argentin presque débutant est à suivre.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Alexandre Jourdain
Santiago Esteves filme la relation étrange, presque sadique, d’un ado et d’un vieil homme piégés entre ressentiment et filiation. Tragédie saisissante par son réalisme social, plus fragile lorsqu’elle s’en remet au polar traditionnel.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Si le versant social est digne d’intérêt – jeunes démunis et société sécuritaire –, que ses comédiens font le job, le film ne se distingue guère par son originalité et pâtit d’une intrigue prévisible.
L'Express
Aussi délicat qu'intense, le film est une belle leçon d'éducation.
Les Fiches du Cinéma
Un polar argentin sec et tendu, en dépit de quelques facilités dans l’écriture.
Positif
Le cinéaste s’appuie surtout sur la relation filiale en train de se créer entre Carlos et Rey. Ce fil, tiré avec efficacité, tisse un polar classique tout à fait réussi.
Première
Esteyes est un cinéaste à suivre, et La Educación del Rey est à voir.
Transfuge
La fine chronique psychologique et le film noir cohabitent ainsi avant de se rejoindre en un final aussi cruel qu'émouvant.
Critikat.com
On pourrait ne rien ajouter, à part constater que ce premier long-métrage de Santiago Esteves ne détourne ni ne sublime jamais franchement ce schéma rebattu, et le ranger parmi les insignifiantes copies d’élèves appliqués. Ce n’est pourtant pas si simple.
Franceinfo Culture
La modestie de "La Educacion del Rey" va au bénéfice du film. Comme souvent, la restriction des moyens sert la créativité. Santiago Esteves porte son film à bout de bras avec une sincérité tant dans le message que dans le respect des règles du thriller.
L'Obs
Avec peu de moyens, le réalisateur cerne bien ses personnages et l'ambiance tragique qui les entoure. Il manque de maîtrise, mais pas de conviction. Un nouveau talent à suivre ?
Le Figaro
Premier film de Santiago Esteves, ce polar réussi montre la vivacité du 7ème art argentin.
Le Monde
Guidé par sa connaissance instinctive de la ville de Mendoza, dont il est originaire, et dans laquelle il a choisi de tourner ce film, Santiago Esteves cultive une esthétique de l’artifice minimal. Celle-ci pourrait paraître old school si elle ne servait pas à dépeindre la zone grise généralisée dans laquelle évoluent les individus dans des sociétés contemporaines corrompues.
Studio Ciné Live
Bien qu'assez prévisible, ce récit initiatique fonctionne sur l'alchimie entre les deux acteurs principaux.
Télérama
Le scénario tient, une bonne heure, sur son étrangeté, sur le jeu sadomaso, affectueux et filial, entre les deux hommes. Le film faiblit, lorsqu’il vire au polar classique, avec magouilles et flics corrompus. Reste que ce réalisateur argentin presque débutant est à suivre.
aVoir-aLire.com
Santiago Esteves filme la relation étrange, presque sadique, d’un ado et d’un vieil homme piégés entre ressentiment et filiation. Tragédie saisissante par son réalisme social, plus fragile lorsqu’elle s’en remet au polar traditionnel.
Le Journal du Dimanche
Si le versant social est digne d’intérêt – jeunes démunis et société sécuritaire –, que ses comédiens font le job, le film ne se distingue guère par son originalité et pâtit d’une intrigue prévisible.