Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
6 critiques presse
France Soir
par Robert Chazal
"Le voleur de bicyclette" est l'un des plus beaux films de l'après-guerre. Vittorio De Sica y raconte avec simplicité et une extrême sensibilité l'aventure tragique d'un colleur d'affiche. France-Soir, 1 novembre 83
Le Monde
par Hervé Guibert
A l'enchaînement des éléments du scénario, comme un exercice de fatalité, succède l'enchaînement des décors, comme un exercice de diversion : mont-de-piété, église, bordel, trattoria… Vittorio De Sica ne cesse de les travestir : de les enfler lorsqu'ils sont minces, de les dépouiller lorsqu'ils sont imposants. Le Monde, 27 octobre 83
Positif
par Yves Alix
"Le voleur de bicyclette (…) est un miracle, car il représente à la fois l'accomplissement d'une méthode, un modèle de narration et un exemple (…) de ce que peut être (…) le réalisme dans son essence. Positif 288, février 85
Télérama
par Gilbert Salachas
"Le voleur de bicyclette" est l'un des plus beaux films du monde et le temps l'embellit encore. Télérama, 26 octobre 83
aVoir-aLire.com
par Virgile Dumez
Un chef-d’œuvre indémodable du néo-réalisme italien. Implacable.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Michel Pérez
La solitude, l'impuissance à agir nous sont représentées avec un extraordinaire goût du malheur et de l'irrémédiable. Le Nouvel Obs., 12 juin 87
France Soir
"Le voleur de bicyclette" est l'un des plus beaux films de l'après-guerre. Vittorio De Sica y raconte avec simplicité et une extrême sensibilité l'aventure tragique d'un colleur d'affiche. France-Soir, 1 novembre 83
Le Monde
A l'enchaînement des éléments du scénario, comme un exercice de fatalité, succède l'enchaînement des décors, comme un exercice de diversion : mont-de-piété, église, bordel, trattoria… Vittorio De Sica ne cesse de les travestir : de les enfler lorsqu'ils sont minces, de les dépouiller lorsqu'ils sont imposants. Le Monde, 27 octobre 83
Positif
"Le voleur de bicyclette (…) est un miracle, car il représente à la fois l'accomplissement d'une méthode, un modèle de narration et un exemple (…) de ce que peut être (…) le réalisme dans son essence. Positif 288, février 85
Télérama
"Le voleur de bicyclette" est l'un des plus beaux films du monde et le temps l'embellit encore. Télérama, 26 octobre 83
aVoir-aLire.com
Un chef-d’œuvre indémodable du néo-réalisme italien. Implacable.
L'Obs
La solitude, l'impuissance à agir nous sont représentées avec un extraordinaire goût du malheur et de l'irrémédiable. Le Nouvel Obs., 12 juin 87