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    Sorry To Bother You
    Note moyenne
    3,8
    23 titres de presse
    • GQ
    • Libération
    • Positif
    • 20 Minutes
    • CNews
    • Cahiers du Cinéma
    • CinemaTeaser
    • Culturopoing.com
    • Ecran Large
    • L'Ecran Fantastique
    • Le Monde
    • Les Fiches du Cinéma
    • Les Inrockuptibles
    • Ouest France
    • Paris Match
    • Première
    • Voici
    • Critikat.com
    • L'Obs
    • Le Journal du Dimanche
    • aVoir-aLire.com
    • Le Figaro
    • Mad Movies

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    23 critiques presse

    GQ

    par Jérémy Patrelle

    Brillant, dérangeant, vrai, malsain, drôle... nos sentiments se succèdent puis s'entremêlent pour terminer sur un "génial" final (le film pas les faits). Merci de nous avoir dérangé Boots Riley.

    Libération

    par Luc Chessel

    Critique radicale du capitalisme et du racisme, la brillante fable de Boots Riley met en scène l’ascension d’un télé-vendeur de centre d’appel, jeune Noir ambitieux doté d’une voix de Blanc.

    La critique complète est disponible sur le site Libération

    Positif

    par Franck Garbarz

    À partir de ce postulat réjouissant, fustigeant au passage la banalisation du racisme aux États-Unis, le réalisateur signe une satire sociopolitique trempée dans un vitriol inventif et déjanté.

    20 Minutes

    par Caroline Vié

    Les aventures d’un démarcheur téléphonique qui, par ambition, fait exploser les règles du politiquement correct, sont aussi fortes qu’originales.

    La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes

    CNews

    par La rédaction

    Une œuvre à l’humour corrosif et décapant, qui dénonce le racisme et la société capitaliste.

    Cahiers du Cinéma

    par Florence Maillard

    Un débordement constant d’idées fortes ou moins fortes, abouties ou à peine esquissées, mais joyeusement fracassantes.

    CinemaTeaser

    par Emmanuelle Spadacenta

    Un coup de maître, bourré de coups de génie.

    La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser

    Culturopoing.com

    par Thibault Vicq

    "Sorry to Bother You" est un objet filmique contestataire, fun et rythmé, percutant, aidé par une réalisation décomplexée sans visée moralisatrice. La caricature n’en est pas une : elle participe aux trouvailles cocasses d’un film enragé et populaire, dans les bons sens du terme.

    La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com

    Ecran Large

    par Geoffrey Crété

    Cocktail explosif entre un brulôt politique et une farce tendance cauchemar-SF, "Sorry to Bother You" est un coup de massue brutal, réjouissant, grotesque, absurde et halluciné. A ne pas rater, donc.

    La critique complète est disponible sur le site Ecran Large

    L'Ecran Fantastique

    par Ava Cahen

    On pense au cinéma radical et militant de Spike Lee, au surréalisme de Spike Jonze et Charlie Kaufman, ou bien encore à l'excentricité et l'acidité des films de Kevin Smith. Le mélange est explosif.

    Le Monde

    par Jacques Mandelbaum

    Un film libre et fondateur.

    Les Fiches du Cinéma

    par Michaël Ghennam

    Malgré quelques longueurs, cette comédie noire et inventive, érigée en pamphlet anti-capitaliste par son auteur aux multiples casquettes, est une véritable surprise.

    La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma

    Les Inrockuptibles

    par La rédaction

    Fort de son humour loufoque et de ses bricolages visuels, évoquant Michel Gondry ou Spike Jonze, Riley démonte parfaitement les rouages socio-économiques de l’exploitation, mais aussi culturels, puisque tout finit par pouvoir être récupéré.

    Ouest France

    par François Léger

    Une comédie trash qui cache une satire explosive.

    Paris Match

    par Clément Mathieu

    Mené par une très belle distribution [...], “Sorry to bother you” est un glorieux foutoir, une révolte dans la joie, un film ébouriffant et absurde, qui fourmille, de bout en bout, d’idées lumineuses de mise en scène.

    La critique complète est disponible sur le site Paris Match

    Première

    par François Léger

    On reprochera certainement à Sorry to bother you de s’éparpiller et de parfois dire tout et son contraire, mais c’est justement cette friction entre ses messages qui nourrit son énergie dévorante et sa capacité à faire le grand écart entre les genres cinématographiques.

    La critique complète est disponible sur le site Première

    Voici

    par Daniel Blois

    Hilarant et grinçant. Très fort.

    Critikat.com

    par Laetitia Scherier

    Boots Riley ne cherche pas le réalisme mais la provocation par l’exagération.

    La critique complète est disponible sur le site Critikat.com

    L'Obs

    par François Forestier

    Surprenant, parfois longuet, assez original, mais surtout bordélique.

    La critique complète est disponible sur le site L'Obs

    Le Journal du Dimanche

    par Stéphanie Belpêche

    Un objet cinématographique délirant, à l’humour caustique.

    aVoir-aLire.com

    par Franck Lalieux

    Oscillant sans cesse entre comédie, satire et anticipation, ce nouvel uppercut d’un cinéma indépendant afro-américain à la face d’une société trop blanche et méprisante réjouit en même temps qu’elle inquiète, comme seuls les grands films peuvent le faire.

    La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com

    Le Figaro

    par La Rédaction

    Une satire anticapitaliste du rappeur Boots Riley, amusante au début et laborieuse à la fin.

    La critique complète est disponible sur le site Le Figaro

    Mad Movies

    par Laurent Duroche

    [...] Boots Riley s'évertue surtout à enfoncer des portes ouvertes en tirant sur les ambulances les plus évidentes (le capitalisme, Amazon) avec un discours d'une finesse qui ferait passer Mélenchon pour un philosophe grec. Le tout est asséné via une mise en scène censément inventive qui dissimule mal une absence flagrante de rythme et de timing comique [...].

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