Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
GQ
par Jérémy Patrelle
Brillant, dérangeant, vrai, malsain, drôle... nos sentiments se succèdent puis s'entremêlent pour terminer sur un "génial" final (le film pas les faits). Merci de nous avoir dérangé Boots Riley.
Libération
par Luc Chessel
Critique radicale du capitalisme et du racisme, la brillante fable de Boots Riley met en scène l’ascension d’un télé-vendeur de centre d’appel, jeune Noir ambitieux doté d’une voix de Blanc.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Franck Garbarz
À partir de ce postulat réjouissant, fustigeant au passage la banalisation du racisme aux États-Unis, le réalisateur signe une satire sociopolitique trempée dans un vitriol inventif et déjanté.
20 Minutes
par Caroline Vié
Les aventures d’un démarcheur téléphonique qui, par ambition, fait exploser les règles du politiquement correct, sont aussi fortes qu’originales.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La rédaction
Une œuvre à l’humour corrosif et décapant, qui dénonce le racisme et la société capitaliste.
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Un débordement constant d’idées fortes ou moins fortes, abouties ou à peine esquissées, mais joyeusement fracassantes.
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Un coup de maître, bourré de coups de génie.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Culturopoing.com
par Thibault Vicq
"Sorry to Bother You" est un objet filmique contestataire, fun et rythmé, percutant, aidé par une réalisation décomplexée sans visée moralisatrice. La caricature n’en est pas une : elle participe aux trouvailles cocasses d’un film enragé et populaire, dans les bons sens du terme.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Geoffrey Crété
Cocktail explosif entre un brulôt politique et une farce tendance cauchemar-SF, "Sorry to Bother You" est un coup de massue brutal, réjouissant, grotesque, absurde et halluciné. A ne pas rater, donc.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Ecran Fantastique
par Ava Cahen
On pense au cinéma radical et militant de Spike Lee, au surréalisme de Spike Jonze et Charlie Kaufman, ou bien encore à l'excentricité et l'acidité des films de Kevin Smith. Le mélange est explosif.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Un film libre et fondateur.
Les Fiches du Cinéma
par Michaël Ghennam
Malgré quelques longueurs, cette comédie noire et inventive, érigée en pamphlet anti-capitaliste par son auteur aux multiples casquettes, est une véritable surprise.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par La rédaction
Fort de son humour loufoque et de ses bricolages visuels, évoquant Michel Gondry ou Spike Jonze, Riley démonte parfaitement les rouages socio-économiques de l’exploitation, mais aussi culturels, puisque tout finit par pouvoir être récupéré.
Ouest France
par François Léger
Une comédie trash qui cache une satire explosive.
Paris Match
par Clément Mathieu
Mené par une très belle distribution [...], “Sorry to bother you” est un glorieux foutoir, une révolte dans la joie, un film ébouriffant et absurde, qui fourmille, de bout en bout, d’idées lumineuses de mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par François Léger
On reprochera certainement à Sorry to bother you de s’éparpiller et de parfois dire tout et son contraire, mais c’est justement cette friction entre ses messages qui nourrit son énergie dévorante et sa capacité à faire le grand écart entre les genres cinématographiques.
La critique complète est disponible sur le site Première
Voici
par Daniel Blois
Hilarant et grinçant. Très fort.
Critikat.com
par Laetitia Scherier
Boots Riley ne cherche pas le réalisme mais la provocation par l’exagération.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par François Forestier
Surprenant, parfois longuet, assez original, mais surtout bordélique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un objet cinématographique délirant, à l’humour caustique.
aVoir-aLire.com
par Franck Lalieux
Oscillant sans cesse entre comédie, satire et anticipation, ce nouvel uppercut d’un cinéma indépendant afro-américain à la face d’une société trop blanche et méprisante réjouit en même temps qu’elle inquiète, comme seuls les grands films peuvent le faire.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Figaro
par La Rédaction
Une satire anticapitaliste du rappeur Boots Riley, amusante au début et laborieuse à la fin.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Mad Movies
par Laurent Duroche
[...] Boots Riley s'évertue surtout à enfoncer des portes ouvertes en tirant sur les ambulances les plus évidentes (le capitalisme, Amazon) avec un discours d'une finesse qui ferait passer Mélenchon pour un philosophe grec. Le tout est asséné via une mise en scène censément inventive qui dissimule mal une absence flagrante de rythme et de timing comique [...].
GQ
Brillant, dérangeant, vrai, malsain, drôle... nos sentiments se succèdent puis s'entremêlent pour terminer sur un "génial" final (le film pas les faits). Merci de nous avoir dérangé Boots Riley.
Libération
Critique radicale du capitalisme et du racisme, la brillante fable de Boots Riley met en scène l’ascension d’un télé-vendeur de centre d’appel, jeune Noir ambitieux doté d’une voix de Blanc.
Positif
À partir de ce postulat réjouissant, fustigeant au passage la banalisation du racisme aux États-Unis, le réalisateur signe une satire sociopolitique trempée dans un vitriol inventif et déjanté.
20 Minutes
Les aventures d’un démarcheur téléphonique qui, par ambition, fait exploser les règles du politiquement correct, sont aussi fortes qu’originales.
CNews
Une œuvre à l’humour corrosif et décapant, qui dénonce le racisme et la société capitaliste.
Cahiers du Cinéma
Un débordement constant d’idées fortes ou moins fortes, abouties ou à peine esquissées, mais joyeusement fracassantes.
CinemaTeaser
Un coup de maître, bourré de coups de génie.
Culturopoing.com
"Sorry to Bother You" est un objet filmique contestataire, fun et rythmé, percutant, aidé par une réalisation décomplexée sans visée moralisatrice. La caricature n’en est pas une : elle participe aux trouvailles cocasses d’un film enragé et populaire, dans les bons sens du terme.
Ecran Large
Cocktail explosif entre un brulôt politique et une farce tendance cauchemar-SF, "Sorry to Bother You" est un coup de massue brutal, réjouissant, grotesque, absurde et halluciné. A ne pas rater, donc.
L'Ecran Fantastique
On pense au cinéma radical et militant de Spike Lee, au surréalisme de Spike Jonze et Charlie Kaufman, ou bien encore à l'excentricité et l'acidité des films de Kevin Smith. Le mélange est explosif.
Le Monde
Un film libre et fondateur.
Les Fiches du Cinéma
Malgré quelques longueurs, cette comédie noire et inventive, érigée en pamphlet anti-capitaliste par son auteur aux multiples casquettes, est une véritable surprise.
Les Inrockuptibles
Fort de son humour loufoque et de ses bricolages visuels, évoquant Michel Gondry ou Spike Jonze, Riley démonte parfaitement les rouages socio-économiques de l’exploitation, mais aussi culturels, puisque tout finit par pouvoir être récupéré.
Ouest France
Une comédie trash qui cache une satire explosive.
Paris Match
Mené par une très belle distribution [...], “Sorry to bother you” est un glorieux foutoir, une révolte dans la joie, un film ébouriffant et absurde, qui fourmille, de bout en bout, d’idées lumineuses de mise en scène.
Première
On reprochera certainement à Sorry to bother you de s’éparpiller et de parfois dire tout et son contraire, mais c’est justement cette friction entre ses messages qui nourrit son énergie dévorante et sa capacité à faire le grand écart entre les genres cinématographiques.
Voici
Hilarant et grinçant. Très fort.
Critikat.com
Boots Riley ne cherche pas le réalisme mais la provocation par l’exagération.
L'Obs
Surprenant, parfois longuet, assez original, mais surtout bordélique.
Le Journal du Dimanche
Un objet cinématographique délirant, à l’humour caustique.
aVoir-aLire.com
Oscillant sans cesse entre comédie, satire et anticipation, ce nouvel uppercut d’un cinéma indépendant afro-américain à la face d’une société trop blanche et méprisante réjouit en même temps qu’elle inquiète, comme seuls les grands films peuvent le faire.
Le Figaro
Une satire anticapitaliste du rappeur Boots Riley, amusante au début et laborieuse à la fin.
Mad Movies
[...] Boots Riley s'évertue surtout à enfoncer des portes ouvertes en tirant sur les ambulances les plus évidentes (le capitalisme, Amazon) avec un discours d'une finesse qui ferait passer Mélenchon pour un philosophe grec. Le tout est asséné via une mise en scène censément inventive qui dissimule mal une absence flagrante de rythme et de timing comique [...].