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Contre la trame tragique, une palette nuancée détoure pointes de tendresse ou de violence, les vérités qui affleurent ont goût d’amandes, subtil et vert sous les langues.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Si « Menina » vaut le détour, c’est aussi parce qu’en mettant en scène une gamine qui grandit entre une mère analphabète et un père qui, un jour, lui révèle qu’il va bientôt disparaître, il parle avec beaucoup de finesse de ces enfants écartelés entre deux cultures, des non-dits dans la famille et de la mort.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ce premier film est la chronique poétique et profonde d’une enfance entre deux cultures, dans ces années 1970 où les « Portos » s’intégraient à la société française en baissant la tête.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
(...) un très joli conte cruel dans lequel il est autant question d’une bouleversante relation père-fille que des problèmes de double culture rencontrés par ces enfants d’immigrés.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Ce quotidien familial, Cristina Pinheiro en extrait une matière humaine toujours vivante, palpitante, parfois même explosive. Son premier atout est son rapport aux acteurs : elle les regarde attentivement, amoureusement, et ils le lui rendent bien.
Parfois un peu trop lesté de bons sentiments, "Menina" a le mérite de porter le parfum d’une fraîcheur grave, alternant instants violents et câlins rassurants, cette odeur que l’on retrouve justement quelquefois sur la peau des enfants qui vivent précocement un événement tragique.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Malgré une introduction qui peine à présenter les enjeux autour des origines et de l’identité, les acteurs apportent une véritable substance à leurs personnages, notamment à travers une relation père-fille très émouvante.
La critique complète est disponible sur le site Première
Convoquant ses souvenirs, Cristina Pinhero signe un premier film très personnel, ancré dans un contexte précis, mais touchant à l’universel. Dommage qu’il souffre de quelques passages à vide.
L'Humanité
Contre la trame tragique, une palette nuancée détoure pointes de tendresse ou de violence, les vérités qui affleurent ont goût d’amandes, subtil et vert sous les langues.
Le Parisien
Si « Menina » vaut le détour, c’est aussi parce qu’en mettant en scène une gamine qui grandit entre une mère analphabète et un père qui, un jour, lui révèle qu’il va bientôt disparaître, il parle avec beaucoup de finesse de ces enfants écartelés entre deux cultures, des non-dits dans la famille et de la mort.
Positif
(...) un joli premier film, tendre et mélancolique comme un fado.
Télérama
Ce premier film est la chronique poétique et profonde d’une enfance entre deux cultures, dans ces années 1970 où les « Portos » s’intégraient à la société française en baissant la tête.
Critikat.com
Restituant avec tact les ambiguïtés de l'enfance (...), la réalisatrice rejette en bloc cette mignonnerie qui la menaçait.
L'Express
Un premier film loin d'être parfait mais tout de même assez charmant.
L'Obs
C'est du cinéma intimiste, à la fois gai et triste, profondément sincère. Une jolie réussite – sur le mode mineur.
La Croix
(...) un très joli conte cruel dans lequel il est autant question d’une bouleversante relation père-fille que des problèmes de double culture rencontrés par ces enfants d’immigrés.
Le Figaro
Émouvante chronique sur une enfance compliquée avec des acteurs plus vrais que nature.
Le Figaroscope
Émouvante chronique sur la fin de l'enfance, un premier long-métrage prometteur.
Les Fiches du Cinéma
Un récit autobiographique rappelant que la migration est rarement un choix et un plaisir.
Les Inrockuptibles
Ce quotidien familial, Cristina Pinheiro en extrait une matière humaine toujours vivante, palpitante, parfois même explosive. Son premier atout est son rapport aux acteurs : elle les regarde attentivement, amoureusement, et ils le lui rendent bien.
Libération
Parfois un peu trop lesté de bons sentiments, "Menina" a le mérite de porter le parfum d’une fraîcheur grave, alternant instants violents et câlins rassurants, cette odeur que l’on retrouve justement quelquefois sur la peau des enfants qui vivent précocement un événement tragique.
Ouest France
Un joli premier film subtil et touchant.
Première
Malgré une introduction qui peine à présenter les enjeux autour des origines et de l’identité, les acteurs apportent une véritable substance à leurs personnages, notamment à travers une relation père-fille très émouvante.
Studio Ciné Live
Cette chronique sent parfois le forcé, mais son mélange de naturalisme et de poésie fonctionne joliment.
aVoir-aLire.com
Le regard poétique et hésitant d’une enfant partagée entre ses racines familiales et son identité culturelle.
Le Journal du Dimanche
Convoquant ses souvenirs, Cristina Pinhero signe un premier film très personnel, ancré dans un contexte précis, mais touchant à l’universel. Dommage qu’il souffre de quelques passages à vide.
Le Monde
Le film ne trouve jamais la bonne distance pour traiter la question complexe de la double culture.