Note moyenne
3,2
21 titres de presse

Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

21 critiques presse

Critikat.com

par Théo Charrière

Le cœur secret du film s’affirme pas à pas comme le récit du passage d’une compréhension du visible à une autre (...) Seul un très grand cinéaste pouvait parvenir à définir aussi précisément la condition de ses propres images.

La critique complète est disponible sur le site Critikat.com

20 Minutes

par Caroline Vié

Un conte érotique, philosophique et pétillant de malice, tourné en 3D, autour de trois femmes bien décidées à s’épanouir avec ou sans les hommes.

Culturopoing.com

par Bénédicte Prot

"Que le diable nous emporte" se présente comme une invitation à la légèreté, à ce fameux « lâcher prise » dont tout le monde parle : mais là on prend la mesure de ce que c’est vraiment.

La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com

L'Humanité

par Emile Breton

Ce qui compte c’est « comment c’est fait ». Et la surprise est agréable. Téléphone portable ou ordinateur permettant des effets inattendus sont pour Brisseau des jouets qui le ravissent.

La critique complète est disponible sur le site L'Humanité

La Septième Obsession

par Claire Micallef

"Que le diable nous emporte" est une fantaisie douce-amère, un conte moderne dans lequel la luminosité, la gaieté, la poésie hétéroclite d’un vivre-ensemble triomphent sur le scabreux, le malheur et la solitude.

Le Journal du Dimanche

par Baptiste Thion

On s’attache à ces personnages mus par le besoin d’aider ou d’être aidés, qu’interprètent des acteurs convaincants. Les héros d’un récit sensuel et bienveillant, mystique et réaliste, psychanalytique et philosophique.

La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche

Les Inrockuptibles

par Jean-Baptiste Morain

[...] c’est du Brisseau à l’état le plus brut, sans distance – et pourtant cette comédie sentimentale, ce marivaudage est très drôle par moments. Avec des aspects politiques (les différences de niveau social des trois femmes), mystiques, des apparitions, des visions, des fantômes. Et puis le sexe, qui peut être à la fois un passage vers le sublime, le plaisir, et un outil de destruction [...].

La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

Libération

par Marcos Uzal

Ce qui rend pourtant l’économie de Brisseau si précieuse, par-delà sa part de maladresse et de statisme, est la liberté qui lui est inhérente - ce film est d’une audace rare, insoumise aux conventions narratives, formelles, morales.

La critique complète est disponible sur le site Libération

Positif

par Pierre Eisenreich

Cette comédie de moeurs alliant érotisme et onirisme réussit son intrigue amoureuse grâce à un épatant trio féminin et un remarquable sens des dialogues.

Transfuge

par Sidy Sakho

"Que le diable nous emporte" dévoile avec grâce le caractère malicieux du cinéma de Jean-Claude Brisseau.

aVoir-aLire.com

par Frédéric Mignard

Marivaudages sensuels et spirituels chez un Brisseau plus sage et plus optimiste que précédemment.

La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com

CNews

par La rédaction

(...) un chassé-croisé sensuel.

L'Obs

par Xavier Leherpeur

Un marivaudage déculotté où dialogues sulfureux et corps sans tabous composent une harmonie gracile et gracieuse.

La critique complète est disponible sur le site L'Obs

Le Monde

par Isabelle Regnier

Distillant, avec la complicité du pacha pince-sans-rire Jean-Christophe Bouvet, un humour qu’on ne lui connaissait pas, Brisseau semble lui-même avoir atteint une forme de légèreté qui, s’accordant avec ce sérieux presque enfantin qui le caractérise, rend son film particulièrement attachant.

Les Fiches du Cinéma

par Thomas Fouet

Moins fort que son prédécesseur, le film chronique la formation d’un trio de femmes fortes et renoue avec les motifs emblématiques du cinéma de Brisseau. En dépit de ses faiblesses, l’auteur trouve à émouvoir.

La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma

Télérama

par Jacques Morice

Heureusement, l’humour s’invite, ce qui est rare chez Brisseau. Le plus loufoque étant assuré par le locataire du dessus, surnommé Tonton, mi-­illuminé mi-sage épris de yoga, à la fois drôle et persuasif. En contrepoint à la fièvre des corps, il incarne avec beaucoup d’esprit le détachement absolu.

La critique complète est disponible sur le site Télérama

Cahiers du Cinéma

par Nicolas Azalbert

Dommage que la recherche de l’absolu, des mystères et des choses secrètes n’ait abouti qu’à cette pauvre adoration des images.

Studio Ciné Live

par Laurent Djian

Brisseau filme sensuellement leurs étreintes, mais ses naïfs discours sur le désir laissent circonspect.

L'Express

par Christophe Carrière

A enchaîner les banalités au sein de séquences si mal écrites qu'elles sonnent au mieux creux, au pire prétentieux, le scénario de ce film qui se veut érotique a autant de relief que celui d'un porno.

Le Figaro

par La Rédaction

Les personnages sont découpés comme des pièces de puzzle. Le film s'occupe à les assembler. Cela reste appliqué, confiné, artificiel.

La critique complète est disponible sur le site Le Figaro

Première

par Thierry Cheze

Seules Anna Sigalevitch et Fabienne Babe (qui retrouve Brisseau 30 ans après le magistral De bruit et de fureur) s’en tirent avec les honneurs.

La critique complète est disponible sur le site Première
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