Mon compte
    Un Peuple et son roi
    Note moyenne
    2,2
    1795 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Un Peuple et son roi ?

    261 critiques spectateurs

    5
    16 critiques
    4
    37 critiques
    3
    54 critiques
    2
    70 critiques
    1
    53 critiques
    0
    31 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Joris Guitton
    Joris Guitton

    9 abonnés 26 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 octobre 2018
    Trop déçu après je devrais pas être étonné, les films français sont en général chiant. Pour ce film ont voit plus le côté politique avec des longs bavardages politicien qui se termine jamais. Le roi et transparent, il ne montre pas les moments importants comme la prise de la bastille ou le côté de la royauté. Manque de rythme
    Carlos Stins
    Carlos Stins

    80 abonnés 657 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 octobre 2018
    "Un peuple et son roi" illustre à mon sens toute la difficulté à produire une fresque historique de grande ampleur au cinéma. Le principal défaut du long-métrage est surement sa longueur, il est à mon sens beaucoup trop court par rapport à la densité de son récit. En effet, il est tout simplement impossible de brasser près de 4 années aussi riches d'un point de vue historique en seulement deux heures. Résultat, chaque scène est expédiée en moins de deux minutes, le spectateur ne maîtrisant par la période sera surement perdu tant les événements s’enchaînent à toute vitesse sans véritable lien ni logique apparente. Le travail de précision historique mené par les scénaristes est très louable mais il ne sert à rien si le spectateur n'a pas le loisir d'apprécier chacun des événements et de saisir la dimension unique de ces derniers. Le scénario va bien trop vite pour que le réalisateur puisse installer une véritable atmosphère et nous fasse ressentir ce fameux souffle révolutionnaire, le peuple étant réduit la plupart du temps à une poignée de personnages. Cela est bien dommage car Pierre Schoeller démontre derrière la caméra qu'il est un metteur en scène talentueux qui sait donner de la puissance par le biais d'une simple image. C'est particulièrement vrai dans les scènes intimistes dont certaines dégagent une véritable maestria mais, c'est moins le cas pour les scènes d'émeutes et de foules qui sont maladroitement filmées en plus de souffrir d'un montage beaucoup trop haché. Le casting est à l'image du métrage, formellement très talentueux, les acteurs sont tous bons mais paraissent souvent un peu perdus et dépassés. C'était un véritable projet casse-gueule et le résultat confirme mes craintes de départ, le film n'est pas mauvais mais n'est tout simplement pour moi pas à la hauteur de ses immenses ambitions.
    Zharradan
    Zharradan

    5 abonnés 90 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 octobre 2018
    Raconter la révolution vue par le petit peuple est en soi une idée intéressante. Mais cela nécessite des personnages forts et une narration fluide. Tout ce qui manque à "Un peuple et son roi" ; mis à part le souffleur de verre d'Olivier Gourmet, on ne s'attache guère à ce troupeau de mégères hystériques ou au criminel repenti interprété par Gaspard Ulliel. On est bien plus intéressés par les figures comme Robespierre, Marat ou Louis XVI, mais ils ne sont malheureusement que peu présents à l'écran. Quant au côté pédagogique on repassera ; soit vous ne connaissez rien à la Révolution et vous aurez bien du mal à saisir la logique des évènements ; soit vous êtes calé sur la période, et vous serez effrayé par les raccourcis et le parti pris du réalisateur. Le gentil peuple contre le méchant roi, ou plutôt le roi muet tellement Laurent Laffite a peu de réplique à se mettre sous la dent. A la décharge du réalisateur, difficile de balayer la Révolution en seulement deux heures...
    Le film a cependant quelques bons côtés : une très belle photographie, des acteurs globalement investis, et par moments d'intéressantes fulgurances (la prise des Tuileries, le procès du roi, son exécution). L'ensemble se laisse regarder jusqu'au bout, mais m'a plus frustré qu'autre chose. Un grand film politique, concentré sur les débats à l'assemblée et l'entourage du roi, se laissait pourtant deviner par instant, mais sans aller plus loin. Quel dommage.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 4 octobre 2018
    Oui, c est long et sans grand intérêt. Les acteurs ne sont pas en cause, rien a critiquer quant à leur jeu. Mais on reste sur sa faim, et j ai été choquée des anachronismes dans un film qui se veut historique. Le "dégage" lancee par la lavandière lorsqu elle s aperçoit qu elle a affaire a un "voleur de poules" n existait pas à l époque dans un tel contexte ! Et la version du Notre Père récité est tres
    contemporaine, puisqu elle date du Concile Vatican 2, (1966!) , avant lequel on utilisait le vouvoiement. Peut être y a t il d autres anachronismes, mais c est déjà 2 de trop!
    csma
    csma

    4 abonnés 66 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 octobre 2018
    Il faut aimer les fresques historiques...qui s étirent en longueur. C'est long long, très long, trop long...interminablement long...des scènes qui se juxtaposent dans un décor parfois onirique..le réalisateur aurait il voulu composer une fable ?...le réalisme de cette époque troublée n'est pas reproduit. Le talent de Laurent L n'aurait pas dû se compromettre dans un lyrisme décalé.
    Jorik V
    Jorik V

    1 284 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 octobre 2018
    Pierre Schoeller nous avait épaté avec un film à priori austère et rébarbatif sur le fonctionnement étatique. Il se nommait très logiquement « L’exercice de l’état » et vulgarisait le quotidien d’un ministre avec brio dans un film passionnant, fluide et qui parlait à tous. L’ambition de nous rappeler le fonctionnement politique de notre pays lors d’une période charnière, si ce n’est la plus importante, de notre Histoire est louable. Avec « Un peuple et son roi », on replonge donc à la fin du XVIIIème siècle entre la Prise de la Bastille et l’exécution du roi Louis XVI. Le film entend développer les rapports entre le peuple et le roi durant ces quatre années tout en décrivant les conditions de vie de chacun et le contexte politique du moment. Vaste ambition qui ne supporte pas les deux petites heures d’un film de cinéma et qui aurait davantage eu de résonance et de pertinence en série télévisée. Au final, le résultat nous apparaît fastidieux et paradoxalement long. Pour ne pas dire boiteux et raté. Tout cela ressemble à un cours d’Histoire pour les nuls mal dégrossi et finalement nébuleux pour qui ne connaîtra pas les grandes lignes de l’Histoire de France à cette période.

    Au rayon des (rares) bonnes choses présentes, il faut souligner la reconstitution opulente et soignée du Paris de l’époque. A ce niveau, il n’y a rien à redire. La mise en scène de Schoeller regorge d’idées, elle est élégante et met bien en valeur décors et costumes tout en restant ample et adroite dans sa manière de prendre le pouls de cette époque tumultueuse. C’est indéniable, certains plans sont aussi beaux que des tableaux d’antan et semblent n’être que les vestiges ou les fulgurances esthétiques de ce que ce film malade aurait pu (et du) être. Louis Garrel en Robespierre et Denis Lavant remontent aussi le niveau de l’interprétation dans d’illustres seconds rôles qu’ils magnifient. Pour le reste, le casting est impressionnant avec de grands acteurs jusque dans les seconds et même troisièmes rôles. Mais au service de pas grand-chose puisqu’ils n’ont pas grand-chose à jouer, juste des ombres de personnages mal dégrossis. Reste la longue séquence du vote de la mort ou non du Roi, peut-être la plus intéressante du film…

    A côté de ces quelques sursauts de qualité que reste-t-il ? Et bien un film fantôme au scénario totalement décousu et à qui il manque l’essentiel, à savoir une ligne directrice claire et une narration cohérente. Le script d’éparpille sur une douzaine de personnages sans qu’aucun ne soit réellement creusé. De fait, on ne s’attache à personne. Alors que de se concentrer sur quelques-uns aurait certainement élagué le vide et recentrer l’intérêt du spectateur. « Un peuple et son roi » nous semble relever de la fausse bonne idée et on trouve le temps bien long plus les minutent passent. Il n’y a aucun souffle épique dans cette fresque, aucune émotion. Les scènes s’enchaînent sans logique narrative si ce n’est celle de la chronologie. On passe d’un personnage à l’autre sans véritable raison pour que soit dit l’essentiel de l’Histoire. Pourtant, on n’a pas l’impression de sortir de la projection plus éclairé, la faute à une œuvre à la fois trop précise et trop vague. A force, ça devient rébarbatif et fatiguant bien que cela nous rappelle tout de même quelques vérités essentielles grâce aux personnages historiques connus, bien mieux esquissés que ceux du peuple. C’est donc un long-métrage bien poussiéreux qui s’étire sous nos yeux, un film duquel les belles images auraient pu juste être utilisées pour une publicité pour un parfum ou une banque !

    Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.
    Christiane H.
    Christiane H.

    1 abonné 5 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 octobre 2018
    Passionnée d'histoire je nai pas attendu pour aller voir ce film...Déception ! Je me suis rarement autant ennuyée ....
    Ce n'est pas les acteurs ils sont tous très bons....les débats certe étaient authentiques.. mais c'était toujours du côté revolutionnaire ...quand à Louis XVI on le voit très peu et on ne voit pas non plus ses avocats plaider..De toute façon le film n'accroche pas il est long et ennuyeux...Ah j'oubliais la prise de la Bastille désolée de dire que c'était ...hum ..pas terrible !
    elbandito
    elbandito

    352 abonnés 964 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 octobre 2018
    A vouloir faire trop dans l’originalité, grâce à son découpage très stylisé, et une réalisation souvent chantée par ses comédiens de renommée, l’œuvre de Pierre Schoeller perd en crédibilité et surtout en intensité dramatique. Bien trop propre sur lui, le peuple censé avoir faim ne fait ni pitié ni envie… Reste Versailles et son Roi, excellent Laurent Lafitte, de la Comédie-Française… Ce qui aurait pu être une grande fresque baroque reste, contre toute attente, une énumération rapide des grandes dates de notre révolution, et fait l’impasse sur un casting pourtant remarquable.
    AZZZO
    AZZZO

    309 abonnés 823 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 octobre 2018
    Commençons par remercier Pierre Schoeller pour son audace : les films d'histoire se font rares et les costumes sont ici aussi beaux que le propos est noble. Rien à dire sur les reconstitutions, pas une erreur, seulement quelques adaptations de l'histoire à sa mise-en-scène. Malheureusement, le film souffre de son érudition ; le spectateur a droit à une longue leçon d'histoire un peu lourde, effleurant tous les thèmes de la Révolution mais ne montrant ni l'incarnation du peuple ni la désacralisation du monarque. C'est hors sujet et désincarné, ça manque de cris, de peur, de violence et de rêve. La Révolution française s'y prête pourtant aisément. On a beau goûter les analyses de Soboul ou de Furet, on leur préfèrera toujours les récits épiques de Michelet.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 4 octobre 2018
    La révolution racontée par Disney...Le réalisateur n' a pas du lire son Malet & Isaac scolaire car sa vision romanesque de la période 1789-1793 nous décrit un peuple très politisé ,spectateurs assidus des débats révolutionnaires.Ils sont beaux, ils sont propres,ils sont cultivés et ils mangent du pain bio...euh non,en fait ils n'ont pas de pain.Mais voilâ, c'est bien une révolution bobo qui nous est proposée ici et qui pourra à la limite servir de révision aux étudiants de second cycle (Ne rêvons pas, ce film leur assurera à peine la moyenne et certainement pas les félicitations du prof !).
    Bref, un film qui assurera un bon score d'audience un dimanche soir sur France 2.
    Un détail : un film que même vos enfants de 5 ans peuvent regarder !
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 4 octobre 2018
    Film esthétique mais je me demande ce qu'une personne ne connaissant pas déjà l'histoire de la Révolution pourrait comprendre. Succession de "flashs" sans lien entre eux : la Bastille est prise, les femmes vont à Versailles....la tuerie du Champ de Mars (comment comprendre que c'est l'Assemblée et la Commune de Paris qui ont envoyé la troupe tirer ?). Les massacres de septembre sont évoqués entre deux portes. Quant à la libération des femmes, quid d'Olympe de Gouges ?
    Projet je pense trop ambitieux : qui trop embrasse, mal étreint !!
    Yves G.
    Yves G.

    1 517 abonnés 3 532 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 octobre 2018
    Jeudi Saint de l'an de grâce 1789. Comme ses prédécesseurs avant lui, Louis XVI (Laurent Lafitte) lave les pieds des pauvres à Versailles. Ce sera la dernière fois. Car la Révolution éclate. En octobre 1789, une foule de femmes trempées par la pluie vient en délégation à Versailles et force le Roi et sa famille à les raccompagner à Paris.
    Tandis que l'Assemblée constituante se réunit dans le manège des Tuileries, on suit la vie au jour le jour d'un verrier du Faubourg Saint-Antoine : L'Oncle (Olivier Gourmet), sa femme (Noémie Lvovsky), leurs deux filles, Françoise (Adèle Haenel) et Margot (Izïa Higelin).
    Après la fuite à Varennes (juin 1791) et la fusillade du Champ-de-Mars par les troupes de La Fayette (juillet 1791), l'animosité à l'égard du monarque ne cesse de croître. la monarchie constitutionnelle a vécu. Les Tuileries sont prises d'assaut le 10 août 1792. Plus de six cents gardes suisses sont tués. Le Roi et sa famille sont faits prisonniers. La royauté est abolie ; la République est proclamée. Le procès de Louis XVI s'ouvre qui conduira à sa condamnation et à son exécution le 21 janvier 1793.

    Révélé en 2011 pour "L'Exercice de l'Etat", un film qui ambitionnait de percer les arcanes du pouvoir, Pierre Schoeller, avec un budget de 16.9 millions d'euros s'est lancé à l'assaut d'un Himalaya : la Révolution française. D'autres s'y sont frottés avant lui : Jean Renoir - dont j'oserais affirmer, au risque de me faire guillotiner en place de Grève, que sa "Marseillaise" (1938) a bien mal vieilli - Jean-Paul Rappeneau et les rebondissants "Mariés de l'an II" (1971), Andrzej Wajda et son fiévreux "Danton" (1983), Robert Enrico et son académique diptyque bicentenaire (1989), Eric Rohmer et le so British "L'Anglaise et le duc" (2001), Sofia Coppola avec une "Marie-Antoinette" Fashion victim (2006), etc.

    Pierre Schoeller a une double ambition : nous raconter la Révolution en consacrant une vignette à chacun de ses épisodes les plus marquants (la chute de la Bastille, la fuite à Varennes, la prise des Tuileries, l'exécution de Louis XVI...) et nous faire partager le quotidien des Parisiens durant cette période. Il ne parvient ni tout à fait à l'un ni tout à fait à l'autre.

    Son film, trop court, dont le financement et le tournage du second volet dépendent du succès rencontré par le premier, ne brille pas par sa clarté pédagogique. Il faut avoir quelques connaissances historiques - ou une bonne 4G - pour comprendre tout ce bruit et toute cette fureur. Et Pierre Schoeller fait plusieurs fois fausse route à vouloir en actualiser les enjeux, par exemple en en faisant un combat féministe ou en mettant dans la bouche d'Adèle Haenel un slogan soixante-huitard ("Je ne veux pas perdre ma vie à la gagner").

    Pour louable que soit son souci de nous faire toucher du doigt la vie quotidienne des Parisiens, Pierre Schoeller, qui s'est entouré des conseils de l'historienne du sensible Arlette Farge, n'y parvient pas non plus. Par exemple, la longue scène, qui alterne les déclarations des députés durant le procès de Louis XVI et l'apprentissage de Basile (Gaspard Ulliel) au métier de verrier, ne fait guère sens.

    Le film de Pierre Schoeller a un mérite qu'il faut lui reconnaître : il échappe à la vision téléologique qu'on a trop souvent de la Révolution. Il évite de lire les événements de 1789 et de 1791 au prisme de ce que nous savons de la Terreur et du Directoire. Mais, son échec relatif a des causes plus profondes et hélas plus définitives : si la Révolution française fut un événement historique considérable, il n'est pas certain qu'elle suscite encore un écho chez le spectateur du début du XXIème siècle.
    Jean H.
    Jean H.

    3 abonnés 31 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 octobre 2018
    La révolution française revue et corrigée mais sans grande réussite les évènements sont survolés une vague histoire d'amour s'insère la dedans mais rien de convainquant personnages décors un film raté
    Paul B
    Paul B

    75 abonnés 16 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 octobre 2018
    De beaux décors,de beaux costumes...mais un récit bâclé ( coupures de scènes intempestives et récurrentes), un jeu de comédiens catastrophique (même pour les stars Gaspard Ulliel, Adèle Haenel, Louis Garrel) et des dialogues creux et insipides. Fuyez !
    SebLefr3nch
    SebLefr3nch

    193 abonnés 687 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 octobre 2018
    Vouloir parler de l'Histoire de France et traiter de l'événement qui l'a plus marqué est audacieux. "Un peuple et son roi" est un film qui s'apparente à une grande fresque chorale, avec un casting 4 étoiles et qui souhaite parler de tout. Mais le problème de trop vouloir parler de tout et montrer tous les points de vues, on finit par se perdre un peu. Et ici on n'y échappe pas. C'est dommage car les acteurs sont bons, la reconstitution de l'époque est bien faite, il y a une volonté de mettre des métaphores dans le scénario qui est plutôt bien pensée, donc ces points-là sont réussis. Mais la réalisation fait très scolaire tout comme le développement de l'histoire. On a l'impression être à un cours de philo sur la Révolution Française. Au bout d'un moment ça lasse et c'est dommage car l'intention est bonne. Il aurait été peut-être plus judicieux d'aborder le sujet en séries pour vraiment aborder tous les points de vues avec intérêt.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top