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35 critiques presse
Bande à part
par Pierre Charpilloz
Entre drame intime et fresque historique, le quatrième film de Pierre Schoeller, sept ans après "L'Exercice de l'État", est surtout un grand film politique.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Elle
par Françoise Delbecq
Les images rappelant des tableaux de Jacques-Louis David confèrent grandeur et éclat à cette fresque historique, qui se savoure exclusivement sur grand écran.
Positif
par Pierre Eisenreich
On est impressionné par la qualité de tous les interprètes, de leur énergie et de la justesse de leur jeu d'orateur. Cette superproduction française revendique avec force la vraie filiation cinématographique dont la mère est la photographie et le père, le théâtre.
20 Minutes
par Caroline Vié
Des recherches ont permis [à Pierre Schoeller] de découvrir des airs étonnants qui rythment l’action et apportent une originalité réelle à un sujet déjà beaucoup traité par le septième art. On souhaite un beau succès à "Un peuple et son roi".
CNews
par La rédaction
Avec un budget de près de 17 millions d’euros, cette fresque historique, politique et humaine célèbre le courage et l’insoumission de citoyens prêts à mourir pour la liberté, de la prise de la Bastille en 1789 jusqu’à la mort sur l’échafaud et en place publique du souverain déchu, incarné par Laurent Lafitte, en 1793.
Ecran Large
par Simon Riaux
Malgré un montage qui étouffe un peu les grandes ambitions de Schoeller, "Un peuple et son roi" demeure une fresque passionnante sur notre rapport fiévreux à la chose publique.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Femme Actuelle
par La rédaction
Ambitieuse et exigeante, servie par une affiche royale, cette fresque qui va de l'été 1789 à l'exécution du roi en 1793, ravira les férus d'histoire.
L'Humanité
par Dominique Widemann
Entre une aristocratie qui ne désarme pas, les options réformatrices et la raison du peuple qui l'emportera, pas ici de révisionnisme mais une vision. Un plaisir de lumières, de sons, de plasticité et une distribution prestigieuse.
L'Obs
par Jérôme Garcin
[...] ce grand film [...] mérite vraiment d'être qualifié de populaire.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Thomas Sotinel
Autant qu’un spectacle guidé par un souci de fidélité aux sources, le film de Schoeller est un essai voué à réveiller la réflexion sur l’idée de révolution, sur son actualité.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Dans un film qui impressionne par son esthétique et sa quête de vérité historique, Pierre Schoeller fait le pari de raconter l'instauration mouvementée de la République.
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
De la prise de la Bastille à la mort de Louis XVI, Pierre Schœller montre des gens en train de faire une révolution. Un film à la fois austère et lyrique, qui englobe intelligemment l’histoire et le présent dans une même réflexion.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Un film à la fois austère et lyrique, qui englobe intelligemment l'histoire et le présent dans une même réflexion.
Sud Ouest
par Sophie Avon
"Un peuple et son roi" se déploie non sans afféterie mais non sans beauté aussi.
Télérama
par Jérémie Couston
POUR : Chapitrée sans être strictement chronologique, la leçon d’histoire, au didactisme de bon aloi, permet à tout spectateur de réviser ses connaissances. Elle est rendue plaisante par la très vivante galerie de Parisiens [...].
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
[...] le film de Pierre Schoeller tient son rôle dans le décryptage équilibré de cette époque complexe en en évoquant toute la complexité, mais aussi dans de beaux efforts de mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Céline Rouden
Un peu empêtré dans un dispositif mêlant réalité et fiction, "Un peuple et son roi" parvient néanmoins à saisir ce moment de bouillonnement où un peuple conquiert sa souveraineté.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Pierre Schoeller signe une évocation riche et soignée de la Révolution française (de 1789 à 1793). Mais il veut trop en dire…
Le Figaro
par La rédaction
Pédagogue scrupuleux, Pierre Schoeller se focalise sur la cause qu'il défend, celle du peuple et de ses aspirations. Un choix fait au détriment de ses personnages, définitivement sans envergure.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Marianne
par Guy Konopnicki
Acteur majeur de la Révolution française, le peuple ne se représente pas aisément. Ici, Pierre Schoeller réussit à donner une image à des personnages vivant à l'ombre de la Bastille, dans le quartier de l'Arsenal.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Dommage que ce film avec un superbe casting soit inégal. Mais il est pédagogique.
Première
par Gaël Golhen
Soyons francs : le résultat n’est pas totalement à la hauteur de l’ambition.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
Au-delà de son dénouement attendu, le film rappelle aussi, surtout, l’importance des femmes au sein de la Révolution.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Transfuge
par Frédéric Mercier
C’est un film inégal, partagé entre sublime et inconsistance mais qui ne manque pas de panache.
Télé Loisirs
par Maryvonne Ollivry
Portée par des acteurs de qualité, cette ambitieuse reconstitution a le mérite de nous faire vivre ces événements depuis la rue. Dommage qu'elle s'étire inutilement et laisse peu de place à l'émotion.
L'Express
par Eric Libiot
L'ambition de Pierre Schoeller est à la hauteur de la déception finale. A vouloir tout faire, le film ne fait pas grand-chose.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Ce qui devait être une grande fresque humaine tourne à la relecture un peu édifiante et démonstrative, malgré (à cause de?) un casting haut de gamme jusque pour des personnages très secondaires. Reste la portée pédagogique de la reconstitution et les joutes oratoires
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
"Un peuple et son roi" fait plutôt l’effet d’une marmite qui déborde : un trop-plein de tout, de comédiens, d’importance, de pompe, d’enjeux et de perruques, qui a dégouliné de son cadre, manque de forme, menace presque de s’effondrer.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Olivier Lamm
Mais le récit du film, sa construction même, semblent contraints par la volonté de bien faire de Schoeller, qui semble tétanisé à l’idée de déployer l’histoire en une fiction qui pourrait faire voler en éclats la vérité au cœur de ses subtilités.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
"Un Peuple et son roi" est un objet fascinant, une œuvre dont les éclats sont précieux [...]. Mais les différentes pièces du puzzle s’imbriquent avec beaucoup de difficultés, surtout dans une première partie où l’on a la désagréable impression d’assister à plusieurs films en un, artificiellement liés par une voix-off et des cartons superflus.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Jacques Morice
CONTRE : Lancé sur trop de pistes, Pierre Schœller s’éparpille, au risque du survol ou de la confusion.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Entre approche politique démonstrative et point de vue romanesque moralisateur, Pierre Schoeller livre une œuvre bicéphale inaboutie, voire creuse.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Cyril Béghin
Une enfilade de vignettes baignées de clichés hâtifs et de slogans désincarnés.
Critikat.com
par Clément Graminiès
(...) les véritables enjeux historiques et politiques sont le plus souvent rendus illisibles, tués dans l’œuf par l’omniprésence accordée aux personnages (et donc aux acteurs) sur tout ce qui pouvait constituer la matière même d’un projet aussi ambitieux.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Septième Obsession
par Thomas Aïdan
L’ensemble est particulièrement soporifique, sans souffle ni palpitation. Une fois le film terminé, c’est comme un cours d’histoire qui s’est conclu, sans avoir eu l’impression de vivre une expérience sensitive.
Bande à part
Entre drame intime et fresque historique, le quatrième film de Pierre Schoeller, sept ans après "L'Exercice de l'État", est surtout un grand film politique.
Elle
Les images rappelant des tableaux de Jacques-Louis David confèrent grandeur et éclat à cette fresque historique, qui se savoure exclusivement sur grand écran.
Positif
On est impressionné par la qualité de tous les interprètes, de leur énergie et de la justesse de leur jeu d'orateur. Cette superproduction française revendique avec force la vraie filiation cinématographique dont la mère est la photographie et le père, le théâtre.
20 Minutes
Des recherches ont permis [à Pierre Schoeller] de découvrir des airs étonnants qui rythment l’action et apportent une originalité réelle à un sujet déjà beaucoup traité par le septième art. On souhaite un beau succès à "Un peuple et son roi".
CNews
Avec un budget de près de 17 millions d’euros, cette fresque historique, politique et humaine célèbre le courage et l’insoumission de citoyens prêts à mourir pour la liberté, de la prise de la Bastille en 1789 jusqu’à la mort sur l’échafaud et en place publique du souverain déchu, incarné par Laurent Lafitte, en 1793.
Ecran Large
Malgré un montage qui étouffe un peu les grandes ambitions de Schoeller, "Un peuple et son roi" demeure une fresque passionnante sur notre rapport fiévreux à la chose publique.
Femme Actuelle
Ambitieuse et exigeante, servie par une affiche royale, cette fresque qui va de l'été 1789 à l'exécution du roi en 1793, ravira les férus d'histoire.
L'Humanité
Entre une aristocratie qui ne désarme pas, les options réformatrices et la raison du peuple qui l'emportera, pas ici de révisionnisme mais une vision. Un plaisir de lumières, de sons, de plasticité et une distribution prestigieuse.
L'Obs
[...] ce grand film [...] mérite vraiment d'être qualifié de populaire.
Le Monde
Autant qu’un spectacle guidé par un souci de fidélité aux sources, le film de Schoeller est un essai voué à réveiller la réflexion sur l’idée de révolution, sur son actualité.
Le Parisien
Dans un film qui impressionne par son esthétique et sa quête de vérité historique, Pierre Schoeller fait le pari de raconter l'instauration mouvementée de la République.
Les Fiches du Cinéma
De la prise de la Bastille à la mort de Louis XVI, Pierre Schœller montre des gens en train de faire une révolution. Un film à la fois austère et lyrique, qui englobe intelligemment l’histoire et le présent dans une même réflexion.
Les Fiches du Cinéma
Un film à la fois austère et lyrique, qui englobe intelligemment l'histoire et le présent dans une même réflexion.
Sud Ouest
"Un peuple et son roi" se déploie non sans afféterie mais non sans beauté aussi.
Télérama
POUR : Chapitrée sans être strictement chronologique, la leçon d’histoire, au didactisme de bon aloi, permet à tout spectateur de réviser ses connaissances. Elle est rendue plaisante par la très vivante galerie de Parisiens [...].
Franceinfo Culture
[...] le film de Pierre Schoeller tient son rôle dans le décryptage équilibré de cette époque complexe en en évoquant toute la complexité, mais aussi dans de beaux efforts de mise en scène.
La Croix
Un peu empêtré dans un dispositif mêlant réalité et fiction, "Un peuple et son roi" parvient néanmoins à saisir ce moment de bouillonnement où un peuple conquiert sa souveraineté.
La Voix du Nord
Pierre Schoeller signe une évocation riche et soignée de la Révolution française (de 1789 à 1793). Mais il veut trop en dire…
Le Figaro
Pédagogue scrupuleux, Pierre Schoeller se focalise sur la cause qu'il défend, celle du peuple et de ses aspirations. Un choix fait au détriment de ses personnages, définitivement sans envergure.
Marianne
Acteur majeur de la Révolution française, le peuple ne se représente pas aisément. Ici, Pierre Schoeller réussit à donner une image à des personnages vivant à l'ombre de la Bastille, dans le quartier de l'Arsenal.
Ouest France
Dommage que ce film avec un superbe casting soit inégal. Mais il est pédagogique.
Première
Soyons francs : le résultat n’est pas totalement à la hauteur de l’ambition.
Rolling Stone
Au-delà de son dénouement attendu, le film rappelle aussi, surtout, l’importance des femmes au sein de la Révolution.
Transfuge
C’est un film inégal, partagé entre sublime et inconsistance mais qui ne manque pas de panache.
Télé Loisirs
Portée par des acteurs de qualité, cette ambitieuse reconstitution a le mérite de nous faire vivre ces événements depuis la rue. Dommage qu'elle s'étire inutilement et laisse peu de place à l'émotion.
L'Express
L'ambition de Pierre Schoeller est à la hauteur de la déception finale. A vouloir tout faire, le film ne fait pas grand-chose.
Le Journal du Dimanche
Ce qui devait être une grande fresque humaine tourne à la relecture un peu édifiante et démonstrative, malgré (à cause de?) un casting haut de gamme jusque pour des personnages très secondaires. Reste la portée pédagogique de la reconstitution et les joutes oratoires
Les Inrockuptibles
"Un peuple et son roi" fait plutôt l’effet d’une marmite qui déborde : un trop-plein de tout, de comédiens, d’importance, de pompe, d’enjeux et de perruques, qui a dégouliné de son cadre, manque de forme, menace presque de s’effondrer.
Libération
Mais le récit du film, sa construction même, semblent contraints par la volonté de bien faire de Schoeller, qui semble tétanisé à l’idée de déployer l’histoire en une fiction qui pourrait faire voler en éclats la vérité au cœur de ses subtilités.
Paris Match
"Un Peuple et son roi" est un objet fascinant, une œuvre dont les éclats sont précieux [...]. Mais les différentes pièces du puzzle s’imbriquent avec beaucoup de difficultés, surtout dans une première partie où l’on a la désagréable impression d’assister à plusieurs films en un, artificiellement liés par une voix-off et des cartons superflus.
Télérama
CONTRE : Lancé sur trop de pistes, Pierre Schœller s’éparpille, au risque du survol ou de la confusion.
aVoir-aLire.com
Entre approche politique démonstrative et point de vue romanesque moralisateur, Pierre Schoeller livre une œuvre bicéphale inaboutie, voire creuse.
Cahiers du Cinéma
Une enfilade de vignettes baignées de clichés hâtifs et de slogans désincarnés.
Critikat.com
(...) les véritables enjeux historiques et politiques sont le plus souvent rendus illisibles, tués dans l’œuf par l’omniprésence accordée aux personnages (et donc aux acteurs) sur tout ce qui pouvait constituer la matière même d’un projet aussi ambitieux.
La Septième Obsession
L’ensemble est particulièrement soporifique, sans souffle ni palpitation. Une fois le film terminé, c’est comme un cours d’histoire qui s’est conclu, sans avoir eu l’impression de vivre une expérience sensitive.