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    L'Heure de la sortie
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    war m
    war m

    30 abonnés 447 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 juillet 2019
    Un thriller parano préapocalyptique sur l'urgence de sauver la planète, qui réussit à faire flipper juste avec une bande d'ados faisant la gueule !
    VeganForAnimalRights
    VeganForAnimalRights

    134 abonnés 216 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 juillet 2019
    Excellent sujet et quelques beaux plans.
    On regrettera cependant la touche franchouillarde qui semble coller aux basques du cinéma hexagonal, que ce soit dans le scénario et plus encore dans le jeu des acteurs de ce pays, guère habitués à sortir de rôles strictement réalistes.
    Les jeunes comédiens en revanche sont bons.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 28 juin 2019
    Ce film a un ambiance assez pesante pendant tout le long du film. Le jeu d'acteur est bon sans être plus spectaculaire mais est remarquable dans les scènes clés. La fin est assez décevante et on aurait pû attendre une scène plus longue avec quelques dialogues, elle nous fait resté sur notre faim. Mise à part ça, ce film exprime excellemment bien son message. Pour un film Français, c'est réussi !
    Gustave Aurèle
    Gustave Aurèle

    143 abonnés 2 431 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 juin 2019
    Un bon film car le suspens est bien présent et les interprètes sont crédibles mais le fond de l'histoire est risible.
    pfloyd1
    pfloyd1

    135 abonnés 2 115 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 juin 2019
    L'heure de la sortie est un drame psychologique très fort et terriblement efficace, c'est un véritable coup de cœur pour moi. Dés le début du film, on assiste au suicide d'un professeur de classe en plein après midi; de là le talentueux Laurent Laffitte se présente en prof remplaçant devant cette classe traumatisée par le drame passé. L'aspect psychologique de cette situation est intense, les élèves ne sont peut etre pas si traumatisés que cela, certains, manipulateur dérouteraient plus d'un adulte. La bande son participe grandement aux situations de malaises brillamment jouée par les élèves et ce prof perdu face à des situations dramatiques incompréhensibles. Un jeu d'acteurs talentueux et une réalisation qui amène l'histoire crescendo vers un drame qui se prépare...
    Pascal I
    Pascal I

    774 abonnés 4 133 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 juin 2019
    La première moitié du film est intéressante, dialogues assassins, postures, attitudes, mystère. S'en suit une marteau-thérapie qui devient fatigante et un twist final risible. Les gamins avec leur froideur campent des rôles typés "zombies" (voulu, avec un clin d’œil sur une séquence). Souvent maladroit, le scénario finit par ne plus capter le spectateur ! 2/5 !!!
    I'm A Rocket Man
    I'm A Rocket Man

    296 abonnés 3 148 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 juin 2019
    Je me doutais que ce film avait quelque chose de louche mais je me suis laissé tenter quand même et je dois avouer que le début est très convaincant et même plutôt intrigant et je me suis dit que je m'étais peut être trompé en sentant l'entourloupe mais non !! A la demie heure de film, tout bascule, on tombe dans le grand n'importe quoi, l'histoire devient bancale, agaçante, les réactions des élèves ne sont plus réalistes, le scénario devient brouillon, étrange et sans intérêt et ne parlons pas de la bande originale qui casse les oreilles et manque de vous faire devenir fou. Franchement j'ai vécu un vrai moment de solitude à la fin et le début du film si prometteur est parti bien loin (ainsi que l'excellent prestation de Laurent Lafitte au passage) Vraiment dommage...
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 8 juin 2019
    Disons-le définitivement : OUI au film français de genre, audacieux et transgressant les approches éculées. Après les bonnes surprises en la matière de 2018, il est bon de débuter le nouveau millésime avec ce thriller scolaire inclassable. Une affaire de climat d'abord, ce savant dosage d'ambiguïté dans le jeu des acteurs, de l'usage des silences gênés, de la musique intrigante voire oppressante. Saluons en particulier la performance de Laurent Lafitte dans le rôle principal, aussi flippé qu'il fut flippant dans Elle face à Isabelle Huppert. Coup de chapeau aussi à ces enfants surdoués mais trop hautains pour être admirables. Leur prestation plein d'arrogance et de dureté convainc aussitôt le spectateur de marcher dans les pas des soupçons de leur professeur remplaçant. Une absence d'empathie instantanée envers ces collégiens d'exception pour mieux appréhender leurs troubles liés à une conscience du monde trop prématuré, une jeunesse volée de leur plein gré. Faire remonter les problématiques de l'écologie et de l'humanité en pertes de valeurs par ce biais, voilà le tour de force d'un Sébastien Marnier dont il s'agit du 2e long-métrage après le déjà original Irréprochable en 2016. Le genre de voix peu entendu dans l'hexagone, assurément auteur dans l'âme sans ressentir le besoin de l'exprimer avec prétention. Car son film ne s'adresse pas à une élite cinéphile, il est inclusif, il invite à élargir notre approche du Septième Art, à redécouvrir l’œuvre de Patti Smith sous l'aspect chorale du groupe Zombie Zombie, à regarder en face la catastrophe climatique amorcée, à ne pas prendre à la légère l'innocence perdue des jeunes générations. Une claque salutaire à l'heure où les grossièretés insultant l'intelligence du spectateur comme Qu'est-ce qu'on a encore fait au bon dieu gardent le vent en poupe.
    Benjamin L
    Benjamin L

    17 abonnés 250 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 mai 2019
    Après le visionnage de ce film, je demeure un peu perplexe. Tout commence plutôt bien, le jeu des acteurs est plutôt bon, une ambiance étrange, pesante s’installe progressivement, et l’intrigue se met tranquillement en place. Mais arrive un moment où ça commence à tourner en rond, sans parler de quelques vraisemblance et choix scénaristiques qui ont commencé à me faire tiquer. Quant au twist final, j’avoue être passé à côté... dommage, Il y avait mieux à faire.
    Vinz1
    Vinz1

    186 abonnés 2 447 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 mai 2019
    Avec « L’heure de la sortie », Sébastien Marnier sort des habituels films sur les profs que l’on a l’habitude de voir. Ici, pas de comédie potache avec un professeur débarqué de nulle part et qui va conquérir sa classe, mais plutôt un drame sur fond d’écologie qui fait réfléchir avec ces enfants précoces soucieux du monde de demain semblant abhorrer les adultes qu’ils jugent responsables de l’état actuel de la Terre, un peu comme le sublime mais oublié « Demain les mômes » de Jean Pourtalé. Dans l’absolu, même si les rebondissements ne sont pas légion, il faudrait que ce métrage de facture honorable déclenche une prise de conscience auprès de son public mais comme la fin semble le démontrer, le pire est à venir, même si adultes et enfants pourraient se donner la main pour améliorer les choses…
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 25 mai 2019
    Ce film est un honnête thriller, assez linéaire et prévisible, dommage... Les ados sont étranges, pas toujours crédibles dans leur jeu malheureusement, Laurent Lafitte navigue dans une histoire nimbée de mystères... On aurait aimé avoir un très bon film de genre, mais le scénario ne fait qu'effleurer certains aspects... Dommage...
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    702 abonnés 3 053 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 décembre 2020
    Le professeur de français, dans L’Heure de la sortie, ne cesse de se demander ce que ses élèves trament et préparent, avant d’apprendre, à terme, qu’ils préparent moins quelque chose qu’ils ne se préparent à leur disparition, anticipée par une série d’épreuves dont la finalité est de dompter sa peur de la mort. Aussi l’enseignement change-t-il de camp pour devenir l’apanage d’une classe qui a déjà étudié les textes et qui invite son enseignant à participer à un jeu de pistes au terme duquel il sera éduqué et saura affronter l’apocalypse avec sérénité. Le corps enseignant apparaît comme débauché et dégénéré : pensons à la principale-adjointe qui s’amourache du nouveau venu au point de le harceler jour et nuit, ou encore aux soirées organisées au cours desquelles l’un des élèves assiste aux danses lascives d’adultes ivres. La transmission s’inverse, et ce renversement des positions permet au long métrage de susciter un sentiment d’étrangeté qui gagne en gravité à mesure que s’enchaînent les révélations sans qu’elles n’aboutissent à une résolution. S’opposent ici deux rapports à l’existence qui passent par deux regards portés sur le corps, tantôt dégradé par les adolescents, tantôt érotisé par le professeur dont le t-shirt moule des abdos sculptés à grand renfort de vélo et de natation. La fétichisation du corps de Pierre Hoffman, très explicitée par la mise en scène au point de paraître quelque peu obsessionnelle, sert de vanité à une finitude que le personnage s’efforce d’affronter en composant une thèse sur Kafka, auteur tourmenté par excellence. L’Heure de la sortie est une œuvre malade où le somnambulisme de son protagoniste principal n’a d’égal que les distorsions d’un réel rendu inquiétant par le subtil travail de composition du cadre : ici les couleurs chaudes semblent figées, lissées, déjà mortes. Les mouvements de caméra sont tout aussi déréglés : un *travelling* avant cherche l’étrangeté dans la nature environnante, une caméra embarquée suit Laurent Laffite dans son exploration de ce paradis verdoyant changé en colline sacrificielle pour une poignée d’adolescents-prophètes. Écartelés entre ces deux mouvements se tiennent des corps dont la plupart font office de décor : la classe évoque *Le Village des damnés* et leur uniformité glaçante, les collègues de travail ont chacun une petite bizarrerie qui les rend intrigants ; c’est surtout le corps enseignant – littéralement de l’enseignant de littérature – qui fascine. Son corps se heurte à l’environnement extérieur, il est celui qui n’aurait pas dû se trouver là et qui, pourtant, s’efforce de remplir son rôle, surtout de comprendre, de procéder à un commentaire composé – comme on dit dans le jargon – avec un texte de prime abord illisible qu’il s’agit de faire sien et de décortiquer. L’exercice scolaire se change vite en initiation artistique : le son se transforme en alarme et en ondes, l’atmosphère se remplit d’une chaleur écrasante sous laquelle interviennent des dysfonctionnements de toute sorte (électricité, eau potable) ; les rêves du professeur se peuplent peu à peu de visions cauchemardesques, les disques trouvés dans une cachette lui font prendre conscience de l’horreur du monde duquel il se tenait jusqu’alors épargné, comme tenu à l’écart par une vie menée à courte vue. Le choc c’est l’image, c’est la caméra de l’adolescent qui capte le chemin de croix au terme duquel quelques êtres espèrent mettre un terme à leur malaise existentiel, ce sont aussi des images prélevées un peu partout dans les médias, des images quotidiennes que le spectateur quotidien ne regarde même plus. Dans L’Heure de la sortie, le professeur s’éveille au contact des élèves, et non l’inverse. Cet éveil se passe très souvent hors champ, et l’on a l’impression que ce que nous avons sous les yeux n’est qu’une conséquence partielle d’un plus grand chaos qui se jouerait non loin de là. Immense, fascinant, dérangeant, le film de Sébastien Marnier est un dérèglement climatique à lui tout seul, fait du dérèglement climatique sa structure porteuse sans jamais prétendre philosopher sur elle. Pourtant, l’humanité demeure, *in extremis*, saisie par un geste délicat, une compassion aussi soudaine qu’inespérée et qui nous plonge dans un bain d’empathie et de tristesse dont on ressort avec l’envie de réitérer cette si saisissante sortie.
    landofshit0
    landofshit0

    278 abonnés 1 745 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 20 mai 2019
    Nommer son film comme celui d'une chanson de Sheila donne déjà une bonne indication quant à la qualité de ce long-métrage. Avoir si peut d'inspiration quant au choix d'un titre en dit beaucoup sur le contenu du film. Dans un premier temps l'ambiance fonctionne, il plane sur cette classe une atmosphère inquiétante, seulement plus le film avance, plus le voile se découvre, et plus tout ça sent l'univers de pacotille. Le sujet des ados hauts potentiels n'est pourtant pas dépourvu d’intérêt, il est même plus tôt bien vu, mais le traitement manque de tenue. Ces enfants ont quelque chose de différent, non seulement leur esprit est vif, mais ils voient clair. Il y a une vraie idée là derrière, et celle-ci pourrait clairement aspirer à créer le suspense, seulement le traitement du réalisateur qui choisit la lenteur des plans, tombe carrément à coté avec cet effet. Il n'arrive qu'à créer un suspense en carton, la lenteur n'apporte rien si ce n'est le fait d'étirer certaines scènes, et l'ambiance qu'il tente de fabriquer penche bien plus vers le ridicule que vers l’inquiétude. C'est le cas aussi de certaines révélations, comme celle des coups de téléphone anonyme reçus par Lafitte. Le casting est aussi un problème Laffite a jeu d'une grande justesse ce que sont loin d'avoir les ados, quand les deux se retrouvent à jouer l'un en face l'autre cette différence de ton passe encore plus mal. Les images de cataclysmes sont très mal intégrées au film, elles sont aussi bien trop nombreuses. Le final est cependant pas mal, mais pour en arriver là, il y a une route bien trop sinueuse et surtout trop mal conduite par un réalisateur qui avait une idée mais qui ne sait pas la mener. Il enlise son récit dans une enquête inutile
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 18 mai 2019
    Tout laissait penser que ce film prenait le chemin d'un thriller forcément glaçant et angoissant. Mais au final malgré une mise en scène Hitchcockienne plutôt réussie on s'achemine vers une sortie de route sans réel suspense. La forme a pris le dessus sur le fond qui est ici assez superficiel. On regrette une bande son assez pauvre musicalement malgré son coté froid et anxiogène qui se prêtait à l'ambiance du film. Laurent Lafitte ne me fait personnellement aucun effet. On n'arrive pas lire les émotions sur son visage et dans ce genre de film c'est problématique.Reste les ados qui sont assez crédibles dans leurs rôles de surdoués nihilistes.
    elriad
    elriad

    440 abonnés 1 867 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 mai 2019
    Si le postulat de départ promet le meilleur, très vite hélas le film se délite en métaphore prétentieuse et grossière dans le coup de pinceau. Manque de crédibilité, absence de couloir d'analyse pour le spectateur, tout est trop écrit, trop balisé. Trop prévisible même. et ce qui aurait pu être une fable écologique insolente et marquante, se transforme très vite en une leçon de morale suffisante et indigeste. Comme dans "Irréprochables", Sébastien Marnier malgré des scénarios forts sur le papier, peine terriblement à les faire évoluer, suscitant l'ennui, et parfois même l'exaspération...
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