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Lemaildeml
4 critiques
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0,5
Publiée le 20 novembre 2024
Un film sans aucun intérêt. On atteint le niveau 0 du cinéma. Des situations loufoques situations qui se veulent comique mais qui sont avant tout grossières. Le festival de Cannes est tombé bien bas.
Dans ce film personne n’a le bon rôle à part le capitaine joué par l’incroyable Woody Harrelson. Les riches se font mettre plus bas que terre et la lutte des pouvoirs fini par tourner dans un cycle sans fin. C’est l’éternel combat dominer dominant.
« Triangle of Sadness » est une satire sociale mordante qui explore les dynamiques de pouvoir et les inégalités de classe à travers trois chapitres distincts. Le film débute avec Carl, un mannequin masculin, et Yaya, une influenceuse sur les réseaux sociaux, dont la relation est marquée par des tensions liées aux rôles de genre et aux attentes sociétales. Leur voyage à bord d'un yacht de luxe les plonge dans un microcosme de privilèges et d'excès, culminant lors d'un dîner chaotique où les apparences s'effondrent littéralement. La troisième partie, située sur une île déserte, renverse les hiérarchies établies, mettant en lumière la fragilité des structures sociales lorsque les compétences pratiques deviennent essentielles à la survie. La performance de Dolly De Leon, incarnant Abigail, une employée de ménage qui s'affirme comme leader, est particulièrement remarquable. Bien que le film puisse manquer de subtilité dans sa critique des élites, il offre une expérience cinématographique audacieuse et provocante, mêlant humour noir et réflexion profonde sur la nature humaine et les structures de pouvoir. WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
Palme d'or au Festival de Cannes, cette satire commence fort avec une 1ere scène mordante mais dont l'intérêt s'étiole au fil de 3 tableaux inégaux. Pire, la critique de la bourgeoisie et autres nouveaux riches succombe à ce qu'elle dénonce, son aspect chic pour images chocs est en toc. La scène du malaise en haute mer (euphémisme pour ne pas divulgacher) est bête et facile et le film va ensuite sombrer jusqu'à effacer toute l'acidité de cette fausse entreprise au vitriol, finalement bête et facile. Surcôté certes, mais certains personnages et certaines scènes sont bien sentis.
Je trouve les critiques spectateurs sur ce film sévères, il est certes imparfait, mais dégage quand même de très bonnes idées, une mise en scène de style, des questions philosophiques, et quelques scènes jubilatoires (le repas du comandant est mémorable). Personnellement j'ai pris mon pied en regardant ce film. Quelques longueurs en fin de 2ème partie (le Yacht) et dans la 3ème.
J’ai apprécié le départ mais plus difficile d’adhérer au côté déjanté qui suit. C’est assez spécial ! Pour l’originalité du sujet mais à cause de ses facilités 3,4/5
Dans un monde où le législateur est omniprésent, je proposerais volontiers une loi interdisant une durée de film supérieure à 100 minutes. Cela permettrait de sauver de l'ennui des milliers de spectateurs. Ce film, quel ennui et quelle prétention, deux idées qui tournent en boucle pendant plus de deux heures. Je viens de voir récemment deux Palmes d'Or, "Sans filtre" et "Anatomie d'une chute"... vive "Un p'tit truc en plus".
Belle variation du film précédent du réalisateur, litte des classes dans une croisière qui s'amuse et qui s'achève comme Lost mais en mode "folie". Belle prestation de la jeune actrice, disparue quelque temps avant la diffusion en France du film
Après une première heure bien longue en raison d'une absence d'émotion, de propos, d'action mais surtout sans intérêt, "sans filtre" offre quelques minutes bien plus rythmées tant dans l'action que dans les dialogues. Malheureusement le tout retombe rapidement. "Sans filtre" se veut être une satire d'un monde superficiel et vain, mais au final c'est le film lui-même qui est superficiel, vide et vain.
C'est un chef d'oeuvre absolu. La palme d'or américaine reste toujours un immence film. A l'instar des films belges. C'est un film très bien filmé avec un tempo idéal. Une bonne écriture. De très belles scènes à différents endroits sur la planète terre. Un très beau travail de réalisation. Même s'il y a des scènes qui paraissent être du déjà vu, ce film reste une chef d'oeuvre. C'est comme le personnage russe, il ressemble à un personnage du déjà vue, mais pas grave, c'est que du cinéma.
Un bon gros navet, et on a de la peine pour Woody Harrelson qui s’est égaré là dedans… Satire sociétale à la truelle, bien binaire, bien lourdingue, avec un message clair : faut tout pêter pour repartir à zéro et là, même le plus humble employé qui nettoie chiottes des riches pourra enfin faire éclater son talent méprisé… (relire la dialectique du maître et de l’esclave)