Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
40 critiques presse
Bande à part
par Jo Fishley
POUR - Dans un grand éclat de rire noir, Ruben Östlund radicalise sa critique politique d'un monde libéral obscène, grotesque et décadent.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Le Parisien
par La Rédaction
Palme d’or à Cannes, le film de Ruben Östlund rentre dans le lard du politiquement correct à l’aide de dialogues et situations féroces. Et ce tout en soignant la mise en scène : avec Östlund, on a toujours droit à du grand cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Autour du schéma classique de l'île déserte et des naufragés, l'auteur de « The Square » signe un film acide, excessif et cinglé.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Un irrésistible mélange de rires, de sang et de délires poussés jusqu'au paroxysme.
Positif
par Jean-Philippe Domecq
Force est de constater la puissance de feu intellectuelle et formelle de Sans filtre (Triangle of Sadness), féroce comédie sur notre monde gangrené par la finance, décapante comme du Buñuel ou du Ferreri et aussi grandiose que du Fellini.
Transfuge
par Jean-Noël Orengo
Palme d’or à Cannes, Sans filtre de Ruben Östlund réactualise la lutte des classes, avec panache, humour et iconoclasme.
20 Minutes
par Caroline Vié
Dans « Sans filtre », le réalisateur de « The Square » malmène joyeusement ses héros pour le bonheur du spectateur.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Cette satire sociale féroce vomit l’ultra-richesse et les monstres de la société avec un humour de guillotine. La révolution grotesque est en marche, les têtes tombent.
Ecran Large
par Alexandre Janowiak
Sans filtre est un éloge du chaos. Un délire grossier et impertinent démantelant la société, explosant les hiérarchies et détruisant tout le monde dans une folie jubilatoire totalement anarchique.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Françoise Delbecq
Une comédie désopilante et cruelle, donc sans filtre.
Femme Actuelle
par La Rédaction
L'un des musts de la rentrée.
L'Obs
par François Forestier
POUR : Déconcertant et poilant. C’est la grande qualité de ce film où les passagers d’une croisière de luxe se retrouvent transformés en naufragés sur une île probablement déserte.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Décapant, clivant, glaçant, hilarant...
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Cette satire sociale féroce vomit l’ultra-richesse et les monstres de la société avec un humour de guillotine. La révolution grotesque est en marche, les têtes tombent.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Feu sur le politiquement correct. Haro sur le fric roi. Assez de la tyrannie des apparences. Sa caméra est un lance-flammes. Cette bataille navale réjouit, décoiffe. Le malaise s’installe. Il est savoureux.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Point
par Jean-Luc Wachthausen
Un humour décapant et iconoclaste qui vire parfois à la mélancolie.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Si The Square était une satire au vitriol (pour reprendre l’expression consacrée) du milieu de l’art contemporain, Sans filtre est une critique à l’arme bactériologique de l’écosystème capitaliste, représenté par le cosmopolite équipage d’un yacht en perdition...
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télérama
par F.S.
POUR : On rit sacrément et cela aide à méditer sur la situation. La liberté que ses personnages cherchent, le Suédois se la donne en tant que cinéaste. Et nous en fait cadeau.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Une satire férocement organique et méchamment ironique. On aime beaucoup.
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Aussi puissant que The Square, et encore plus corrosif, Sans filtre est un récit étrange et jubilatoire, grand moment de cinéma et d’humour féroce.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CinemaTeaser
par Renan Cros
Le film assume ses excès et s’impose comme un spécimen curieux de cinéma défouloir qui permet à toute une salle de rire de ses angoisses et de la laideur du monde.
Closer
par O.C.
Même si les provoc d'Östlund sont parfois en top, plusieurs scènes s'avèrent jubilatoires.
Critikat.com
par Corentin Lê
S’il confirme de film en film un véritable savoir-faire comique, Östlund est surtout en train de passer maître dans l’art de nager dans la fange.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
[...] une approche sans doute un peu simpliste d’une lutte des classes actualisée, par un réalisateur de talent et un rien provoquant, certes, mais au discours attendu.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Néanmoins, en dépit de ces quelques réserves, sa démonstration au vitriol, servie par une mise en scène au cordeau, élégante pour masquer le sordide, a séduit le jury du Festival de Cannes qui lui a accordé une deuxième Palme d’or, cinq ans après la première pour The Square.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche et Alexis Campion
POUR - En dépit de quelques longueurs, cet ovni aussi singulier qu’impitoyable brille par sa mise en scène qui ose tout et ses comédiens qui se débattent au cœur du chaos. CONTRE - Prévisible, cet humour ne se dépare jamais de son cynisme béat, ni du luxe obscène qu’il dénonce. Ostlünd s’y engouffre sans offrir de cinéma ni d’émotion.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Marie Claire
par Emily Barnett
Assez jouissif dans ses deux premiers tiers, le film tombe dans un schéma simpliste en imaginant une société façon "Lost".
Paris Match
par Yannick Vely
La charge est un peu facile, certains gags se répètent jusqu’à la nausée mais Ruben Östlund réussit une nouvelle fois son coup. Provoquer un rire du «malaise» en nous tendant un miroir si peu déformant.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
GQ
par Adam Sanchez
La limite du cinéma de Ruben Östlund réapparaît alors brutalement : peut-il être autre chose qu'une succession de happenings faits pour choquer les âmes les plus sensibles ?
La critique complète est disponible sur le site GQ
Le Monde
par Clarisse Fabre
La croisière, sa mouise : il faudra une tempête, un repas trop copieux et un naufrage pour réinitialiser les rapports de classe, mais à quel prix…
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Murielle Joudet
Le cinéaste suédois dégaine une redoutable machine à flatter son public, travestie en fable faussement subversive.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Luc Chessel
Farce sur notre époque embarquée sur un yacht en compagnie de milliardaires et d’influenceurs, le film de Ruben Ostlund, palme d’or à Cannes, liquide toutes les valeurs, à commencer par l’amour, dans un siphon scatologique.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Gael Golhen
Sans idéal de recours, Sans filtre finit par ronronner de son propre rictus et ses charges explosives s’étoufferaient presque dans leur propres inanités (la fin du film est d’ailleurs la partie la plus faible).
La critique complète est disponible sur le site Première
Bande à part
par Pierre Charpilloz
CONTRE - Le monde néolibéral a de beaux jours devant lui si pour riposte le cinéma ne lui offre que cette gentille comédie trash, qui ne froisse personne.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Yal Sadat
La scène de l’hommes-singe était donc la plus forte de The Square, celle des éphèbes publicitaires est à peu près la seule lueur de finesse de son dernier film palmé à Cannes. Après s’amorce une chute sociale pour les personnages, couplée à une autre chute, esthético- rhétorique celle-ci, et non moins consternante.
Culturopoing.com
par Noëlle Gires et Hugo Jordan
Que nous dit réellement l’œuvre d’Östlund ? Que les sociétés européennes sont profondément inégalitaires, que les ultrariches sont des êtres immoraux et que le pouvoir appelle le vice, la cupidité au détriment de la solidarité ? Loin de s’en offusquer, le cinéaste semble s’en réjouir car il a trouvé de quoi faire son miel, faisant de la provocation teintée de misanthropie la seule matière de son travail.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
CONTRE : De son comique de la gêne ne reste que la gêne d’un film peu comique, formellement aussi creux et lisse que ses personnages. Après « la Grande Bouffe », la petite « gerbouille »…
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par David Ezan
SANS FILTRE est la conséquence directe de la Palme attribuée à THE SQUARE ; un monstre fabriqué par ricochet, comme pour enfoncer le clou (ou plutôt les portes ouvertes) d’un cinéma chic et choc sans grand intérêt.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Certains ont vu dans « Sans filtre » une satire audacieuse sur la lutte des classes. Nous y voyons une horrible potion démonstrative, incapable de s’embarrasser des nuances de la vie et de la complexité des êtres, et faisant son business dans la décharge de nos mauvaises consciences.
Télérama
par S.D.
CONTRE : Östlünd voudrait créer le malaise en étirant toutes ses scènes au-delà du supportable. Sa misanthropie crasse, sa détestation narquoise de tous ses personnages ne suscitent que l’ennui.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Bande à part
POUR - Dans un grand éclat de rire noir, Ruben Östlund radicalise sa critique politique d'un monde libéral obscène, grotesque et décadent.
Le Parisien
Palme d’or à Cannes, le film de Ruben Östlund rentre dans le lard du politiquement correct à l’aide de dialogues et situations féroces. Et ce tout en soignant la mise en scène : avec Östlund, on a toujours droit à du grand cinéma.
Les Echos
Autour du schéma classique de l'île déserte et des naufragés, l'auteur de « The Square » signe un film acide, excessif et cinglé.
Ouest France
Un irrésistible mélange de rires, de sang et de délires poussés jusqu'au paroxysme.
Positif
Force est de constater la puissance de feu intellectuelle et formelle de Sans filtre (Triangle of Sadness), féroce comédie sur notre monde gangrené par la finance, décapante comme du Buñuel ou du Ferreri et aussi grandiose que du Fellini.
Transfuge
Palme d’or à Cannes, Sans filtre de Ruben Östlund réactualise la lutte des classes, avec panache, humour et iconoclasme.
20 Minutes
Dans « Sans filtre », le réalisateur de « The Square » malmène joyeusement ses héros pour le bonheur du spectateur.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Cette satire sociale féroce vomit l’ultra-richesse et les monstres de la société avec un humour de guillotine. La révolution grotesque est en marche, les têtes tombent.
Ecran Large
Sans filtre est un éloge du chaos. Un délire grossier et impertinent démantelant la société, explosant les hiérarchies et détruisant tout le monde dans une folie jubilatoire totalement anarchique.
Elle
Une comédie désopilante et cruelle, donc sans filtre.
Femme Actuelle
L'un des musts de la rentrée.
L'Obs
POUR : Déconcertant et poilant. C’est la grande qualité de ce film où les passagers d’une croisière de luxe se retrouvent transformés en naufragés sur une île probablement déserte.
La Voix du Nord
Décapant, clivant, glaçant, hilarant...
Le Dauphiné Libéré
Cette satire sociale féroce vomit l’ultra-richesse et les monstres de la société avec un humour de guillotine. La révolution grotesque est en marche, les têtes tombent.
Le Figaro
Feu sur le politiquement correct. Haro sur le fric roi. Assez de la tyrannie des apparences. Sa caméra est un lance-flammes. Cette bataille navale réjouit, décoiffe. Le malaise s’installe. Il est savoureux.
Le Point
Un humour décapant et iconoclaste qui vire parfois à la mélancolie.
Les Fiches du Cinéma
Si The Square était une satire au vitriol (pour reprendre l’expression consacrée) du milieu de l’art contemporain, Sans filtre est une critique à l’arme bactériologique de l’écosystème capitaliste, représenté par le cosmopolite équipage d’un yacht en perdition...
Télérama
POUR : On rit sacrément et cela aide à méditer sur la situation. La liberté que ses personnages cherchent, le Suédois se la donne en tant que cinéaste. Et nous en fait cadeau.
Voici
Une satire férocement organique et méchamment ironique. On aime beaucoup.
aVoir-aLire.com
Aussi puissant que The Square, et encore plus corrosif, Sans filtre est un récit étrange et jubilatoire, grand moment de cinéma et d’humour féroce.
CinemaTeaser
Le film assume ses excès et s’impose comme un spécimen curieux de cinéma défouloir qui permet à toute une salle de rire de ses angoisses et de la laideur du monde.
Closer
Même si les provoc d'Östlund sont parfois en top, plusieurs scènes s'avèrent jubilatoires.
Critikat.com
S’il confirme de film en film un véritable savoir-faire comique, Östlund est surtout en train de passer maître dans l’art de nager dans la fange.
Franceinfo Culture
[...] une approche sans doute un peu simpliste d’une lutte des classes actualisée, par un réalisateur de talent et un rien provoquant, certes, mais au discours attendu.
La Croix
Néanmoins, en dépit de ces quelques réserves, sa démonstration au vitriol, servie par une mise en scène au cordeau, élégante pour masquer le sordide, a séduit le jury du Festival de Cannes qui lui a accordé une deuxième Palme d’or, cinq ans après la première pour The Square.
Le Journal du Dimanche
POUR - En dépit de quelques longueurs, cet ovni aussi singulier qu’impitoyable brille par sa mise en scène qui ose tout et ses comédiens qui se débattent au cœur du chaos. CONTRE - Prévisible, cet humour ne se dépare jamais de son cynisme béat, ni du luxe obscène qu’il dénonce. Ostlünd s’y engouffre sans offrir de cinéma ni d’émotion.
Marie Claire
Assez jouissif dans ses deux premiers tiers, le film tombe dans un schéma simpliste en imaginant une société façon "Lost".
Paris Match
La charge est un peu facile, certains gags se répètent jusqu’à la nausée mais Ruben Östlund réussit une nouvelle fois son coup. Provoquer un rire du «malaise» en nous tendant un miroir si peu déformant.
GQ
La limite du cinéma de Ruben Östlund réapparaît alors brutalement : peut-il être autre chose qu'une succession de happenings faits pour choquer les âmes les plus sensibles ?
Le Monde
La croisière, sa mouise : il faudra une tempête, un repas trop copieux et un naufrage pour réinitialiser les rapports de classe, mais à quel prix…
Les Inrockuptibles
Le cinéaste suédois dégaine une redoutable machine à flatter son public, travestie en fable faussement subversive.
Libération
Farce sur notre époque embarquée sur un yacht en compagnie de milliardaires et d’influenceurs, le film de Ruben Ostlund, palme d’or à Cannes, liquide toutes les valeurs, à commencer par l’amour, dans un siphon scatologique.
Première
Sans idéal de recours, Sans filtre finit par ronronner de son propre rictus et ses charges explosives s’étoufferaient presque dans leur propres inanités (la fin du film est d’ailleurs la partie la plus faible).
Bande à part
CONTRE - Le monde néolibéral a de beaux jours devant lui si pour riposte le cinéma ne lui offre que cette gentille comédie trash, qui ne froisse personne.
Cahiers du Cinéma
La scène de l’hommes-singe était donc la plus forte de The Square, celle des éphèbes publicitaires est à peu près la seule lueur de finesse de son dernier film palmé à Cannes. Après s’amorce une chute sociale pour les personnages, couplée à une autre chute, esthético- rhétorique celle-ci, et non moins consternante.
Culturopoing.com
Que nous dit réellement l’œuvre d’Östlund ? Que les sociétés européennes sont profondément inégalitaires, que les ultrariches sont des êtres immoraux et que le pouvoir appelle le vice, la cupidité au détriment de la solidarité ? Loin de s’en offusquer, le cinéaste semble s’en réjouir car il a trouvé de quoi faire son miel, faisant de la provocation teintée de misanthropie la seule matière de son travail.
L'Obs
CONTRE : De son comique de la gêne ne reste que la gêne d’un film peu comique, formellement aussi creux et lisse que ses personnages. Après « la Grande Bouffe », la petite « gerbouille »…
La Septième Obsession
SANS FILTRE est la conséquence directe de la Palme attribuée à THE SQUARE ; un monstre fabriqué par ricochet, comme pour enfoncer le clou (ou plutôt les portes ouvertes) d’un cinéma chic et choc sans grand intérêt.
Sud Ouest
Certains ont vu dans « Sans filtre » une satire audacieuse sur la lutte des classes. Nous y voyons une horrible potion démonstrative, incapable de s’embarrasser des nuances de la vie et de la complexité des êtres, et faisant son business dans la décharge de nos mauvaises consciences.
Télérama
CONTRE : Östlünd voudrait créer le malaise en étirant toutes ses scènes au-delà du supportable. Sa misanthropie crasse, sa détestation narquoise de tous ses personnages ne suscitent que l’ennui.