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    Boy Erased
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    118 critiques spectateurs

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    Sylvain P
    Sylvain P

    336 abonnés 1 356 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 mars 2019
    On peut ressortir la même critique que pour Come as you are sorti l'an dernier : On aurait finalement presque préféré un documentaire à une fiction sur un sujet aussi dur : les thérapies de conversion orchestrées par l'église pour les jeunes homosexuels. Les jeunes acteurs endossent brillament leur rôle de victimes que l'on apprend à dégouter d'eux-mêmes. La dangerosité de la religion à travers l'intolérance qu'elle porte, l'absence de liberté et le poids d'une culpabilité inexistante est bien rendue.
    amour13
    amour13

    45 abonnés 151 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 2 avril 2019
    L'homosexualité n'est pas une maladie et pas un choix non plus contrairement un sport que l'on peut choisir de pratiquer, non c'est un état de fait comme être hétérosexuel tout simplement donc je ne conseille à personne pas d'aller voir ce film !
    joelle g
    joelle g

    89 abonnés 869 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 mars 2019
    Un sujet sensible , lourd, traité avec finesse sans jugement de valeur....cru....direct....
    Pas facile à regarder....car il nous renvoie à nos certitudes...
    Comment réagirions nous face à l’homosexualite de nos enfants....
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 27 mars 2019
    La critique presse est vraiment en déperdition, ils encensent des navets (souvent français, par une sorte de lavage de cerveau mutuel lors des festivals et des projos de presse) et ils jouent les pointilleux (du Cahiers du Cinéma aux Inrocks, ils se ridiculisent, franchement, ils n'ont pas honte ?) pour un bon petit film qui traite d'un sujet super délicat de façon admirable. Tous les comédiens jouent super bien, l'histoire se suit avec l'impatience et la fébrilité d'un suspens psychologique qui t’empêche même d'aller aux toilettes (c'était mon cas, j'avoue) et on est à 100% avec le personnage du jeune homme. Quand on pense que 700 000 personnes LGBTQ ont du subir ce genre de traitements dans le 1er (soi-disant) pays libre du monde et que ça se développe partout dans le monde (à cause des évangélistes notamment, mais toutes les religions ont toujours un problème avec l'homosexualité - des pendaisons en Iran à la fausse tolérance chez nous), ce film devient vraiment URGENT à voir ! et en plus il est bien !
    ffred
    ffred

    1 698 abonnés 4 019 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 mars 2019
    Deuxième film derrière (et devant) la caméra pour l'acteur australien Joel Edgerton après le thriller The gift (inédit en salles chez nous). Pour se faire, il convoque sa compatriote Nicole Kidman (qui continue de rajeunir) qui joue pour la première fois avec son ami Russell Crowe (qui continue de s'arrondir). Mais c'est Lucas Hedges qui tient le haut de l'affiche. Le réalisateur s'est réservé le rôle du directeur du centre, parmi lesquels Xavier Dolan joue l'un des "clients". Ils sont tous très biens même s'ils ont tous été meilleurs par ailleurs. Quant au film lui-même, il est mis en scène assez mollement, pour un scénario à peine plus convaincant, même s'il ne juge pas et n'est pas manichéen. Parsemé de quelques longueurs, voir lourdeurs, l'intérêt principal de l'ensemble est qu'il est adapté du livre-témoignage du jeune homme interprété par Hegdes. Tout cela est donc bien réel, le plus hallucinant étant que la plupart des états américains autorisent encore ces thérapies de conversion, sans parler de dizaines de pays à travers le monde. Forcément, certaines scènes sont très fortes. Malheureusement, cela ne suffit pas à insuffler une épaisseur et une émotion qui manquent cruellement. Malgré le chemin parcouru, il reste encore du boulot, entre religions et homophobie, pour faire avancer les choses et changer les mentalités. Si Boy Erased, portrait d'une certaine Amérique, n'est pas un grand film, il a au moins le mérite d'exister et fera peut être ouvrir les yeux à certains...
    Danny N.
    Danny N.

    103 abonnés 296 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 mars 2019
    Un mois après ‘Destroyer’, je suis retourné dans le même cinéma à UGC ciné internationale

    car encore une fois, une sortie dans très peu de salles et uniquement en VO imposée !

    Encore un petit film d’auteur pour Kidman qui a été tourné en 2017 et n’arrive que maintenant ! J’ai été très ému par cette histoire vraie dont on voit les photos des vrais personnages dans le générique de fin de cet ado différent des autres, singulier, que le père n’a jamais compris et si proche de sa maman fusionnelle qui ne cesse de l’aider et le carresser d'amour…

    Kidman a d’ailleurs la même coiffure et couleur que maman avait quand j’avais l’âge du personnage du film…

    Comme il est incompris, on l’envoie dans une sorte d'école spécialisée censée l'aider dans ses difficultés sociales et autres, où il ne fera le boulot demandé mais ne s’intégrera jamais.

    Ce que j'ai vécu aussi dans une école spécialisée privée hyper cher.

    Le problème c’est qu’avec 1h55 en VO c’est beaucoup trop long et lent…

    L’esprit accaparé par l’enfer que je vivais (d’angoisse au sujet d’un colis déclaré livré dans ma boite mais que je n’avais pas eu avec le transporteur GLS impossible à joindre) et fatigué,

    j’ai piqué du nez et failli m’endormir de nombreuses fois au milieu du film

    jusqu’à ce que je me réveille… La dernière partie est heureusement plus prenante….

    Mais pourquoi ne pas avoir fait 1h35 ou 40 grand maximum ?!!!
    zorro50
    zorro50

    115 abonnés 249 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 mars 2019
    De et avec Joel Edgerton, un film intéressant à propos des problèmes que suscite le "Coming-out" des homosexuels, que ce soit aujourd'hui ou hier, et que ce soit aux USA ou en France, quel que soit le milieu familial. L'interprétation est de qualité et le film délivre vraiment un message utile. Pour ma part, j'ignorais que de tels établissements et de telles pratiques existaient ! C’est tellement débile et cruel que les bras m’en tombent !
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 27 mars 2019
    Joel Edgerton s’est lancé un pari risqué : celui de représenter à l’écran ces centres de réorientation sexuelle, en s’inspirant d’une histoire vraie. Et c’est là toute l’ironie : comment il réussit finalement à transformer une histoire qui a pourtant bel et bien vu le jour en un scénario à peine crédible.

    Parce que oui, Boy Erased manque cruellement de crédibilité.
    Tout commence déjà par l’histoire de Jared (Lucas Hedges) montrée à travers un montage alambiqué, qui nous perd plus qu’il nous guide et qui ne démontre pas un grand intérêt de son découpage aléatoire. On dirait qu’il s’amuse à nous perdre pour la seule raison de nous perdre. Peu d’éléments nous permettent de restituer la temporalité et le personnage de Jared ne semble pas évoluer et se dévoile à nous avec une palette d’émotions assez restreinte.

    Le film se positionne sans trouver son propos. Le titre « Boy Erased » (et pour une fois on ne peut pas blâmer la traduction française) sous-entend que le protagoniste est complètement effacé par cette thérapie, mais cette dernière finalement n’occupe qu’une partie de sa journée et on a du mal à évaluer l’impact à cause du montage qui revient sans cesse dans le passé. Centre de thérapie ? Plutôt garderie de 9h à 17h. Quand on voit que le protagoniste demande à sa mère de l’aide pour faire ses devoirs de génogramme comme s’il s’agissait de simples fonctions mathématiques à résoudre, on se demande si, à défaut de guérir, ce « Love In Action » est même capable de blesser. À vouloir trop ridiculiser et critiquer la pratique, Joel Edgerton apporte de l’embarras sur toute sa production. On en vient à se dire qu’il a opté pour l’option de facilité : le centre de thérapie transpire l’échec et la réaction démesurée de Jared lors de son premier jour rend transparentes les intentions du réalisateur. Tous les indices sont là pour construire une désillusion qu’il subira plus tard en réalisant dans quoi il est embourbé, sauf que cette deuxième phase est très peu travaillée et on passe largement à côté.
    Redondant dans son message et jamais pertinent, Boy Erased se perd et ne va plus retrouver son chemin.

    Par l’éducation religieuse qu’il reçoit de ses parents (Russel Crowe et Nicole Kidman), Jared est contraint de subir la décision du père de le « guérir » tandis que la mère, elle, accepte la sentence sans piper mot. Mais toute la cruauté du processus réside dans le fait que Jared en est aussi convaincu. Alors baser toute l’intrigue sur son incapacité à s’y conformer me paraît déplacer le problème là où il ne devrait pas y en avoir : n’est-ce pas Jared et lui seul qui se met dans cette position inconfortable, l’obligeant à partir ? On le voit lors de son dialogue avec Gary (Troye Sivan) qui nous fait bien comprendre que le seul moyen de s’en sortir est de prétendre. Quel dommage que ce paradoxe ne soit pas un peu plus creusé, car on devine ici la raison pour laquelle ces institutions demeurent encore aux Etats-Unis. Cercle vicieux insoutenable, c’est là pour moi toute l’horreur de ces thérapies, qu’aucune réaction colérique disproportionnée ne pourrait substituer. Et ce dialogue qui précède son départ marque toute l’absurdité de l’intrigue : la résistance n’a pas lieu d’être puisqu’il n’a finalement rien à cacher, comme il le dit, lorsqu’on le questionne sur Henry (Joe Alwyn) : « ce n’est pas mon péché ».

    Si la photographie est particulièrement poussée et la musique presque trop bonne pour être ici, le film manque d’émotions et de puissance. Les dialogues avec les parents, notamment à la fin, valent le détour et nous offrent une belle conclusion mais les acteurs secondaires, à l’effigie de Xavier Dolan et Troye Sivan sont plus des distractions qu’autre chose. Et alors que les deux heures se déroulent sous nos yeux, on se demande s’il ne manquerait pas toute une partie du film. Pourtant déjà très long pour le peu qu’il raconte, le film s’avère trop court pour développer son propos. Étrange de voir que sur deux heures, et avec un synopsis qui annonce un contentieux entre le jeune homme et le thérapeute principal, Victor Sykes (Joel Edgerton), spoiler: cet événement se produit à seulement 30 minutes de la fin
    et en se posant comme un cheveux sur la soupe.

    Boy Erased se borne à nous montrer ce qu’on savait déjà sur cette thérapie et même avec ce constat de départ, Joel Edgerton ne réussit pas à la déconstruire suffisamment pour nous marquer. C’est ainsi que Jared s’efface de notre mémoire, bien plus qu’il ne s’est effacé dans le film.
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    692 abonnés 2 746 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 mai 2024
    Boy Erased parle de ce sujet qui envahit en ce moment Hollywood : l’homosexualité et l’homophobie. Mais Joël Edgerton offre une approche pudique et intelligente, condamnant la religion chrétienne extrême, tout en modérant le propos avec le personnage de Russell Crowe. Dommage que la mise en scène n’offre rien de très personnelle.

    https://www.facebook.com/la7emecritique/

    https://cultea.fr/boy-erased-joel-edgerton-tape-gentiment-sur-la-religion-chretienne-critique.html
    laurentcmoi
    laurentcmoi

    18 abonnés 240 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 mars 2019
    Excellent film que j'ai pu voir en avant première au festival Chérie chéri de Paris en 2018. Nicole Kidman est comme à son habitude rayonnante, Lucas Hedges est très touchant, tout en retenu, Russell Crowe manque lui de relief. Une histoire incroyable et triste mais qui se termine bien ce qui n'est malheureusement pas toujours le cas.
    mic404
    mic404

    12 abonnés 25 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 mars 2019
    Ce film traite de la question des « thérapies de conversion » des gay dans le milieu chrétien évangélique des États-Unis des années 80. On est frappé par le réalisme du scénario tiré sans doute d’une histoire vraie. Le film montre le désarroi des patients qui subissent ce type de traitement qui pour beaucoup ne se sauvent qu’en jouant le jeu et en faisant semblant de « progresser ». Le film est servi par d’excellents acteurs. Il nous tient en haleine jusqu’à la fin.
    Clément R
    Clément R

    15 abonnés 346 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 mars 2019
    Bon film qui dénonce les thérapies de conversion. Très bon casting avec des acteurs qui ont pris au sérieux leurs rôles. Il manque peut être un peu de fond pour s’attacher aux personnages et mesurer encore plus l’incohérence de ces centres...
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 12 mars 2019
    Les films sur les minorités, cela marche toujours et les critiques vont pouvoir une fois encore s'attendrir des pauvres exclus en difficulté. Ce film est un enieme film sur l'homosexualité d'un jeune. Aucune originalité, aucune mise en scène créative. Quel ennui.
    Mathieu D.
    Mathieu D.

    17 abonnés 60 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 août 2019
    Un sujet de la vie de tout les jours pour certaine personne, c'est un sujet triste mais qui aussi fait comprendre pas mal de chose.
    L'acteur a bien réalisé le film, il est juste très dur, très triste et montre bien que la vie d'un croyant n'est pas possible d'être homosexuel..

    Je vous conseil d'allez le voir car c'est un sujet qui potentiellement est triste, mais qui est de la vie de tout les jours pour des personnes.

    C'est tellement compliqué d'en parler..
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 17 février 2019
    Adapté d'une histoire malheureusement vraie, ce film raconte l'histoire d'un jeune homme de 18 ans qui est contraint de faire son coming-out auprès de ses parents suite à une dénonciation calomnieuse. Il est alors envoyé dans un centre de conversion thérapeutique!

    Qu'en dire? Malgrès un casting impeccable, Nicole Kidman en mère dévouée à son mari pasteur, Russel Crowe et Lucas Hedge en ado mentalement torturé, ce film est rempli de clichés. Mais comment faire autrement quand l'intrigue évolue dans une Amérique puritaine? On peut cependant relever quelques moments d'émotion, nous glissant longuement vers une fin hélas trop prévisible. A noter, le petit clin d'oeil attribué par le réalisateur à Troye Sivan dans un rôle secondaire.

    Au final, qu'en reste t'il? Pas grand chose, si ce n'est qu'on en ressort soulagé de vivre librement en Europe loin de tous ces fanatiques religieux américains.
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