Film poignant et émouvant !!! Une interprétation pleine d’authenticité de Russel Crowe, Nicole Kidman et Lucas Hedge ! Un sujet dur sur les thérapies de reconversions dans le milieu des communautés religieuses où comment sur fond de foi et de dieu on en arrive à détruire l’âme humaine. Je pense que Joel Edgerton aurait même pu aller encore plus loin et pousser encore plus certains passages du film montrant la dureté et l’horreur psychologique dans laquelle on se retrouve au milieu de ses jeunes et moins jeunes !
Film intéressant, je ne connaissais pas qu'il y avait des centres de conversion. Quelques longueurs, mais on comprend où le film veut nous mener et les sentiments du personnage principal. D'autant plus que c'est une histoire vraie ! je recommande, même si ce n'est pas le film de l'année !
Un bon film sur une histoire vraie, qui met en avant et dénonce la bêtise des thérapies de conversion pour homosexuel. La bêtise humaine fait peur ! Les acteurs sont convainquant, seul bémol les flash-back qui nous perdent un peu au début. Bien 3.5/5
Un film americain d'une subtilité rare dans ce cinema. Cette histoire poignante est traité avec délicatesse et l'acteur principal nous touche du début à la fin. beau , simple et efficace.
Magnifique, émouvant, ce film expose la dure réalité de ce que subissent de nombreux jeunes gays américains dont les parents pensent que ce doit être leurs enfants qui doivent changer et non l’inverse, ce qui est totalement faux.
Même aujourd’hui, de nombreux parents ne comprennent pas que ce sont eux qui ont tort de vouloir empêcher leurs enfants d’être ce qu’ils sont, et c’est ce que montre ce film.
J'y étais allé sans connaître le sujet ! Pour Russell Crowe (devenu énorme et portant vraisemblablement une moumoute) en pasteur baptiste et Kidman (son épouse) . Il faut avouer que le sujet en question, délicat , est traité avec plus de circonspection qu'on aurait pu le craindre : le jeune homme sspoiler: ubit quasiment un viol avant de « découvrir » son orientation et le propos du père (aimer n'est pas tout accepter) est juste. Pas de démagogie .
L’histoire courante du gay rejeté par sa famille, qui peut déjà être considéré comme traumatisante, en plus envoyer des enfants dans un centre ou les dirigeants semblent déjà aussi mal au point que les enfants qu’ils veulent aider... donner des coups de bible, des bains d’eau bénites ou inciter les enfants à détester leur père sous prétexte que...
Au final ils se retrouvent 2 fois plus traumatisés et perdus qu’ils ne l’étaient en arrivant... celui qui joue la comédie oui tout va bien afin de quitter le centre au plus vite, l’autre qui prétend se sentir bien mais dans son regard on lit « vaut mieux répondre ça après l’histoire des coups de bible etc », le seul qui est sensé et lucide c’est celui qui envoie bouler tout le monde et rentre chez lui...
Les gens s’imaginent que tous le monde a le temps de s’arrêter et de blâmer l’autre; d’autre vivent leur vie en allant de l’avant...
S’il avait vraiment confiance en Dieu au centre ils auraient eu une autre approche avec ces enfants s’il voulait les aider...
Je suis choqué par cette scène de l’exorcisme à coup de bible...on aurait du fermer ce centre et interner sous haute surveillance dans un hôpital psychiatrique les dirigeants.
Film magnifique extrêmement touchant voilà une œuvre cinématographique qui fait avancer les choses et qui dénonce tout le côté le plus obscur de l'âme humaine mais aussi le côté le plus beau comme on peut le voir dans le comportement de la mère Nicole Kidman magistrale et de l'ami en centre qui s'interpose voilà un film que beaucoup de gens devraient voirune très belle œuvre à voir absolument
Un goût d'inachevé, clairement. On parle d'un sujet important, mais cela reste quelque peu en surface. Les acteurs sont parfaits, le rythme et l'ambiance sont les bons selon moi. Mais il manque un peu de puissance.
On retrouve dans Une intime conviction, la passion d’un réalisateur très bien documenté, soucieux du détail de la non-approximation, qui dépeint les rouages du système judiciaire français avec brio.
Antoine Raimbault a par ailleurs réussi le tour de force de nous faire croire en la véracité du personnage de Nora, en tant qu’actrice dans le procès Viguier. Bien évidemment, Marina Foïs, toujours aussi juste, participe vivement au réalisme de cette tranche de fiction parfaitement dissoute dans l’ensemble du film. Olivier Gourmet est quant à lui magistral et complètement habité par cette forte personnalité qu’est l’avocat Éric Dupont-Moretti, dans un jeu agréablement troublant, à tel point qu’on pourrait presque s’y méprendre.
Derrière l’a priori d’un film «tiré d’une histoire vraie», nous ne sommes pas de simples spectateurs d’une retranscription de la réalité. Nora et son «intime conviction» deviennent la personnification de l’interprétation humaine. Il y a en cela une vraie réflexion philosophique.