Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
28 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Nicole Kidman rend sensible le déchirement entre ses convictions religieuses et l’amour maternel qui la pousse à soutenir son fils.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La rédaction
Un long métrage inspiré du récit de Garrard Conley qui ne peut être que bénéfique, alors que les agressions à caractère homophobe se sont multipliées ces derniers mois en France et à l’étranger.
GQ
par Alexandre Lazerges
Ce film vaut le détour pour sa galerie de portraits léchés et la description de l'Amérique profonde, prude et bornée.
La critique complète est disponible sur le site GQ
L'Express
par Antoine Le Fur
Émouvant sans être lacrymal, "Boy Erased" se distingue par quelques beaux moments, notamment ceux entre Lucas Hedges et Nicole Kidman, époustouflante en mère aimante mais impuissante face à la détresse de son fils.
Le Parisien
par La Rédaction
Un film édifiant et très émouvant, porté par le formidable Lucas Hedges (déjà vu dans «Manchester by the sea» ou «Ben is back»).
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télé Loisirs
par Marc Arlin
Ce drame émouvant, qui s'inspire d'une histoire vraie, se distingue par une photographie soignée et une solide interprétation du jeune Lucas Hedges.
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Afin de ne jamais offrir en spectacle la tragédie de Jared, le film vise une sobriété qui joue finalement contre lui.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Joël Edgerton use des ressorts du drame familial (il a la main lourde) pour dénoncer la toxicité des thérapies de conversion. L’acteur-réalisateur mène un combat au message haut et fort : « L’orientation sexuelle ne peut pas être changée ou « guérie », L’homosexualité n’est définitivement pas une maladie. »
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
L'Obs
par Nicolas Schaller
Film sur la famille, sur des parents dépassés par le coming out de leur fils, "Boy Erased" est avant tout un film d'acteurs.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Si la réalisation atténue la puissance émotionnelle du film, la sobriété de la mise en scène évite tout pathos. Boy erased évite également d’opposer méchants parents homophobes aveuglés par la religion et gentil fils homosexuel.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Une plongée terrifiante dans un centre qui « guérit » l’homosexualité.
Les Fiches du Cinéma
par Marie Toutée
Servi par de brillants acteurs, le film de Joel Edgerton dénonce des pratiques qui ont cours dans bon nombre d’États américains...
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Camille Nevers
Joel Edgerton signe un drame bancal, saturé de messages et de ralentis sur la «thérapie de conversion» d’un jeune homo dans l’Arkansas wasp.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Rolling Stone
par La Rédaction
Deuxième film réalisé par l’acteur australien, Boy Erased revient sur l’édifiante histoire vraie d’un jeune homosexuel américain forcé d’intégrer un centre de conversion. Bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
La réalisation, classique, mise sur ses acteurs : Lucas Hedges, renversant, mais aussi Russell Crowe et Nicole Kidman, parfaite en mère dévastée.
Télérama
par Frédéric Strauss
Une générosité soutient heureusement tant de nobles intentions : elle passe dans le jeu des comédiens, qui donnent de l’intensité à ce drame et veulent, à l’évidence, le rendre utile.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Le deuxième long métrage de Joel Edgerton s'empare d'un sujet fort et troublant, avec un beau casting. Mais de façon assez convenue, sans vraie intensité émotionnelle.
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Et, peut-être parce qu’il est plus difficile de filmer une conversion que le refus d’une conversion, le film choisit une facilité lisse en se rangeant d’emblée du côté de son héros, quand il aurait été plus âpre et plus risqué de se tenir avec les parents.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Sujet fort mais film qui pèse des tonnes.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
C’est dire que le film de Joel Edgerton (...) offre un côté documenté parfaitement édifiant. On regrette d’autant plus, du coup, que pour exposer la réalité des faits, la réalisation, assez pataude, retienne le schéma convenu d’un mélo familial qui n’évite aucun des clichés du genre.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Dommage, au regard d’un sujet si périlleux et nécessaire, que le film soit long et ennuyeux. Reste le talent de Lucas Hedges ("Manchester by the Sea").
Marie Claire
par Emily Barnett
Dans ce sommet de bienséance, un appel à la tolérance, bien sûr, et pas de grande surprise à part une Kidman rigolote en bigote "white trash".
Positif
par Baptiste Roux
[...] un vade-mecum lénifiant du pardon et de la tolérance.
Première
par Frédéric Foubert
Mais Edgerton le réalisateur, lui, s’égare dans une construction chronologique ultra alambiquée, faisant des sauts de puce dans le passé et le futur de son protagoniste, une structure qui voudrait se donner des airs virtuoses mais ne fait qu’alourdir et compliquer un propos simple (...).
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Lucas Hedges endosse le rôle de Jared avec une pieuse efficacité. Malheureusement, les poncifs abondent et malgré la présence de Nicole Kidman et de Russel Crowe en parents aimants mais bourrés de préjugés, le film de l’acteur Joel Edgerton demeure d’une plate insignifiance.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Le Figaro
par La Rédaction
Doloriste et long.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Le récit souffre alors à tous les étages d’un didactisme plombant, même lorsqu’il s’agit de restituer le mal-être de son héros […].
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
20 Minutes
Nicole Kidman rend sensible le déchirement entre ses convictions religieuses et l’amour maternel qui la pousse à soutenir son fils.
CNews
Un long métrage inspiré du récit de Garrard Conley qui ne peut être que bénéfique, alors que les agressions à caractère homophobe se sont multipliées ces derniers mois en France et à l’étranger.
GQ
Ce film vaut le détour pour sa galerie de portraits léchés et la description de l'Amérique profonde, prude et bornée.
L'Express
Émouvant sans être lacrymal, "Boy Erased" se distingue par quelques beaux moments, notamment ceux entre Lucas Hedges et Nicole Kidman, époustouflante en mère aimante mais impuissante face à la détresse de son fils.
Le Parisien
Un film édifiant et très émouvant, porté par le formidable Lucas Hedges (déjà vu dans «Manchester by the sea» ou «Ben is back»).
Télé Loisirs
Ce drame émouvant, qui s'inspire d'une histoire vraie, se distingue par une photographie soignée et une solide interprétation du jeune Lucas Hedges.
CinemaTeaser
Afin de ne jamais offrir en spectacle la tragédie de Jared, le film vise une sobriété qui joue finalement contre lui.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Joël Edgerton use des ressorts du drame familial (il a la main lourde) pour dénoncer la toxicité des thérapies de conversion. L’acteur-réalisateur mène un combat au message haut et fort : « L’orientation sexuelle ne peut pas être changée ou « guérie », L’homosexualité n’est définitivement pas une maladie. »
L'Obs
Film sur la famille, sur des parents dépassés par le coming out de leur fils, "Boy Erased" est avant tout un film d'acteurs.
La Croix
Si la réalisation atténue la puissance émotionnelle du film, la sobriété de la mise en scène évite tout pathos. Boy erased évite également d’opposer méchants parents homophobes aveuglés par la religion et gentil fils homosexuel.
Le Monde
Une plongée terrifiante dans un centre qui « guérit » l’homosexualité.
Les Fiches du Cinéma
Servi par de brillants acteurs, le film de Joel Edgerton dénonce des pratiques qui ont cours dans bon nombre d’États américains...
Libération
Joel Edgerton signe un drame bancal, saturé de messages et de ralentis sur la «thérapie de conversion» d’un jeune homo dans l’Arkansas wasp.
Rolling Stone
Deuxième film réalisé par l’acteur australien, Boy Erased revient sur l’édifiante histoire vraie d’un jeune homosexuel américain forcé d’intégrer un centre de conversion. Bouleversant.
Télé 7 Jours
La réalisation, classique, mise sur ses acteurs : Lucas Hedges, renversant, mais aussi Russell Crowe et Nicole Kidman, parfaite en mère dévastée.
Télérama
Une générosité soutient heureusement tant de nobles intentions : elle passe dans le jeu des comédiens, qui donnent de l’intensité à ce drame et veulent, à l’évidence, le rendre utile.
Voici
Le deuxième long métrage de Joel Edgerton s'empare d'un sujet fort et troublant, avec un beau casting. Mais de façon assez convenue, sans vraie intensité émotionnelle.
Cahiers du Cinéma
Et, peut-être parce qu’il est plus difficile de filmer une conversion que le refus d’une conversion, le film choisit une facilité lisse en se rangeant d’emblée du côté de son héros, quand il aurait été plus âpre et plus risqué de se tenir avec les parents.
La Voix du Nord
Sujet fort mais film qui pèse des tonnes.
Le Dauphiné Libéré
C’est dire que le film de Joel Edgerton (...) offre un côté documenté parfaitement édifiant. On regrette d’autant plus, du coup, que pour exposer la réalité des faits, la réalisation, assez pataude, retienne le schéma convenu d’un mélo familial qui n’évite aucun des clichés du genre.
Le Journal du Dimanche
Dommage, au regard d’un sujet si périlleux et nécessaire, que le film soit long et ennuyeux. Reste le talent de Lucas Hedges ("Manchester by the Sea").
Marie Claire
Dans ce sommet de bienséance, un appel à la tolérance, bien sûr, et pas de grande surprise à part une Kidman rigolote en bigote "white trash".
Positif
[...] un vade-mecum lénifiant du pardon et de la tolérance.
Première
Mais Edgerton le réalisateur, lui, s’égare dans une construction chronologique ultra alambiquée, faisant des sauts de puce dans le passé et le futur de son protagoniste, une structure qui voudrait se donner des airs virtuoses mais ne fait qu’alourdir et compliquer un propos simple (...).
Sud Ouest
Lucas Hedges endosse le rôle de Jared avec une pieuse efficacité. Malheureusement, les poncifs abondent et malgré la présence de Nicole Kidman et de Russel Crowe en parents aimants mais bourrés de préjugés, le film de l’acteur Joel Edgerton demeure d’une plate insignifiance.
Le Figaro
Doloriste et long.
Les Inrockuptibles
Le récit souffre alors à tous les étages d’un didactisme plombant, même lorsqu’il s’agit de restituer le mal-être de son héros […].
Ouest France
Un mélodrame convenu.