La Fameuse invasion des ours en Sicile : Critique presse
La Fameuse invasion des ours en Sicile
Note moyenne
4,0
26 titres de presse
20 Minutes
Femme Actuelle
Positif
Télérama
Voici
Bande à part
CNews
Culturopoing.com
Elle
L'Obs
La Croix
Le Dauphiné Libéré
Le Figaro
Le Journal du Dimanche
Le Parisien
Le Point
Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
Libération
Ouest France
Première
Télé Loisirs
Le Monde
Paris Match
Télé 7 Jours
Cahiers du Cinéma
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Il s’agit d’un grand film populaire, capable d'embarquer tous les publics dans son univers magique.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Un vrai chef-d'œuvre.
Positif
par Gilles Ciment
Comme dans ses bandes dessinées, Mattotti éblouit par son expressionnisme lumineux et coloré, par sa palette, dont les carambolages chromatiques dignes d’Emil Nolde apportent la dose d'abstraction qui semble vitale à son dessin, et par le brio avec lequel il associe les sentiments de ses personnages au décor qui les entoure [...].
Télérama
par Guillemette Odicino
Fable écologique qui confronte la candeur animale à la corruption politique, ce film à tiroirs puise ses charmes à de multiples sources, des légendes méditerranéennes à la Renaissance italienne, en passant par la commedia dell’arte et Paul Grimault.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par A.V.
Un conte plein de magie, sombre et poétique, aux images somptueuses.
Bande à part
par Olivier Pélisson
Un petit bijou d’animation, doublé d’une puissante parabole sur l’obsession du pouvoir, le tout servi par un graphisme éblouissant.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CNews
par La rédaction
[Un] beau conte d’animation [...].
Culturopoing.com
par Vincent Nicolet
Drôle, intelligent, émouvant, réflexif et pédagogique, ce coup d’essai confronte deux univers singuliers pour un résultat aussi étonnant qu’excitant.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Elle
par Héléna Villovitch
Une lumineuse pépite.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Une adaptation raffinée du livre de Dino Buzzati par un grand nom de la bande dessinée, dont c’est le premier film.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Stéphane Dreyfus
Hommage au théâtre à l’italienne, cette brillante adaptation d’un roman de Dino Buzzati est un conte moral sur les vices et vertus du pouvoir.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une adaptation du célèbre conte de Dino Buzzati qui, tout en en réduisant le foisonnement narratif, en préserve la poésie, et constitue une rareté originale dans le monde habituel de l’animation.
Le Figaro
par Aurélia Vertaldi
Un joyau graphique aux couleurs flamboyantes, empreint de poésie, qu’il a mis six ans à concrétiser.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphane Joby
Cette fable métaphorique entremêle de manière poétique un discours sur l'acceptation des différences, la quête du pouvoir et la relation père-fils. Le graphisme, surtout, est magnifique, tour à tour naïf, puissant et féerique.
Le Parisien
par Renaud Baronian
Bref, du grand art, au service d'une histoire pleine de rebondissements et d'humour tragi-comique : une pépite pour les enfants comme pour les adultes.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Victoria Gairin
Un vent de fraîcheur souffle sur l'animation.
Les Fiches du Cinéma
par Amélie Leray
Malgré quelques longueurs et maladresses d’écriture, "La Fameuse invasion des ours en Sicile" a dignement défendu le retour de l’animation en sélection cannoise et forme un joli conte écologiste et humaniste visuellement réussi.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Joli conte écologique, méditation sur la filiation et la masculinité (…), mais aussi sur le pouvoir, le conte de Dino Buzzati est ici bellement mis en dessins animés dans un style qui ne doit rien à l'animation américaine ou japonaise.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Marius Chapuis
Tour de force visuel qui peine à donner autant de souffle à son récit, la "Fameuse Invasion des ours en Sicile" parvient toutefois à restituer la puissance expressive des couleurs de Mattotti, son travail au crayon gras et au pastel s’accommodant à merveille avec l’outil numérique.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La Rédaction
Une ode à la nature et au vivre-ensemble magnifiquement animée.
Première
par Sophie Benamon
La Fameuse Invasion des ours en Sicile est un spectacle familial de haute tenue.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé Loisirs
par Marc Arlin
Un conte enchanteur et profond.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Si ces populations coexistent harmonieusement (dans l’équilibre du film, le récit est, lui, plutôt pessimiste quant à la cohabitation interspéciste), c’est d’abord grâce à l’imagination de Dino Buzzati, et ensuite grâce aux efforts et aux ruses virtuoses de Lorenzo Mattotti pour échapper, par le trait et la couleur, aux pièges que le « cinéma pour enfants » tend aux artistes.
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Nouveau film de Lorenzo Mattotti, grand illustrateur italien, cette chronique visuellement riche, presque expressionniste, oscille avec bonheur entre poésie, aventure et satire d’un monde plein de cupidité.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Poétique et surprenante, une belle invitation à la sagesse.
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Le film s’accommode assez mal de cette morale simple et de ce récit ennuyeusement scandé, et s’en remet ici aux pouvoirs de la stylisation, là à un horizon enfantin plus calibré, sans toujours parvenir à faire vivre un monde détaillé (…).
20 Minutes
Il s’agit d’un grand film populaire, capable d'embarquer tous les publics dans son univers magique.
Femme Actuelle
Un vrai chef-d'œuvre.
Positif
Comme dans ses bandes dessinées, Mattotti éblouit par son expressionnisme lumineux et coloré, par sa palette, dont les carambolages chromatiques dignes d’Emil Nolde apportent la dose d'abstraction qui semble vitale à son dessin, et par le brio avec lequel il associe les sentiments de ses personnages au décor qui les entoure [...].
Télérama
Fable écologique qui confronte la candeur animale à la corruption politique, ce film à tiroirs puise ses charmes à de multiples sources, des légendes méditerranéennes à la Renaissance italienne, en passant par la commedia dell’arte et Paul Grimault.
Voici
Un conte plein de magie, sombre et poétique, aux images somptueuses.
Bande à part
Un petit bijou d’animation, doublé d’une puissante parabole sur l’obsession du pouvoir, le tout servi par un graphisme éblouissant.
CNews
[Un] beau conte d’animation [...].
Culturopoing.com
Drôle, intelligent, émouvant, réflexif et pédagogique, ce coup d’essai confronte deux univers singuliers pour un résultat aussi étonnant qu’excitant.
Elle
Une lumineuse pépite.
L'Obs
Une adaptation raffinée du livre de Dino Buzzati par un grand nom de la bande dessinée, dont c’est le premier film.
La Croix
Hommage au théâtre à l’italienne, cette brillante adaptation d’un roman de Dino Buzzati est un conte moral sur les vices et vertus du pouvoir.
Le Dauphiné Libéré
Une adaptation du célèbre conte de Dino Buzzati qui, tout en en réduisant le foisonnement narratif, en préserve la poésie, et constitue une rareté originale dans le monde habituel de l’animation.
Le Figaro
Un joyau graphique aux couleurs flamboyantes, empreint de poésie, qu’il a mis six ans à concrétiser.
Le Journal du Dimanche
Cette fable métaphorique entremêle de manière poétique un discours sur l'acceptation des différences, la quête du pouvoir et la relation père-fils. Le graphisme, surtout, est magnifique, tour à tour naïf, puissant et féerique.
Le Parisien
Bref, du grand art, au service d'une histoire pleine de rebondissements et d'humour tragi-comique : une pépite pour les enfants comme pour les adultes.
Le Point
Un vent de fraîcheur souffle sur l'animation.
Les Fiches du Cinéma
Malgré quelques longueurs et maladresses d’écriture, "La Fameuse invasion des ours en Sicile" a dignement défendu le retour de l’animation en sélection cannoise et forme un joli conte écologiste et humaniste visuellement réussi.
Les Inrockuptibles
Joli conte écologique, méditation sur la filiation et la masculinité (…), mais aussi sur le pouvoir, le conte de Dino Buzzati est ici bellement mis en dessins animés dans un style qui ne doit rien à l'animation américaine ou japonaise.
Libération
Tour de force visuel qui peine à donner autant de souffle à son récit, la "Fameuse Invasion des ours en Sicile" parvient toutefois à restituer la puissance expressive des couleurs de Mattotti, son travail au crayon gras et au pastel s’accommodant à merveille avec l’outil numérique.
Ouest France
Une ode à la nature et au vivre-ensemble magnifiquement animée.
Première
La Fameuse Invasion des ours en Sicile est un spectacle familial de haute tenue.
Télé Loisirs
Un conte enchanteur et profond.
Le Monde
Si ces populations coexistent harmonieusement (dans l’équilibre du film, le récit est, lui, plutôt pessimiste quant à la cohabitation interspéciste), c’est d’abord grâce à l’imagination de Dino Buzzati, et ensuite grâce aux efforts et aux ruses virtuoses de Lorenzo Mattotti pour échapper, par le trait et la couleur, aux pièges que le « cinéma pour enfants » tend aux artistes.
Paris Match
Nouveau film de Lorenzo Mattotti, grand illustrateur italien, cette chronique visuellement riche, presque expressionniste, oscille avec bonheur entre poésie, aventure et satire d’un monde plein de cupidité.
Télé 7 Jours
Poétique et surprenante, une belle invitation à la sagesse.
Cahiers du Cinéma
Le film s’accommode assez mal de cette morale simple et de ce récit ennuyeusement scandé, et s’en remet ici aux pouvoirs de la stylisation, là à un horizon enfantin plus calibré, sans toujours parvenir à faire vivre un monde détaillé (…).